La présente invention porte sur un agencement pour la fixation d’une glace d’une pièce d’horlogerie, ainsi que sur une pièce d’horlogerie en tant que telle, particulièrement une pièce d’horlogerie extra-plate. L’invention porte aussi sur un procédé de fixation d’une glace d’une pièce d’horlogerie, appartenant à un procédé plus général de fabrication d’une pièce d’horlogerie.

Pour réaliser une pièce d’horlogerie de faible épaisseur, il faut prendre en compte le fait qu’une glace est susceptible de se déformer sous une pression extérieure. En effet, la réduction de l’épaisseur d’une pièce d’horlogerie peut reposer sur la réduction de l’épaisseur de la glace et/ou sur son rapprochement du mouvement et/ou des aiguilles. Il en résulte que les effets d’une déformation de la glace deviennent problématiques, puisqu’il faut éviter qu’elle n’entre en contact avec le mouvement ou les aiguilles, pour ne pas perturber la marche de la pièce d’horlogerie, voire endommager le mouvement. De plus, si la glace devient plus fragile, il faut aussi veiller à ne pas la casser en cas de déformation.

Le document CH706978 décrit une solution consistant à utiliser une surface du bâti d’un mouvement horloger pour former une butée qui réduit la course de la glace en cas de déformation, pour l’empêcher d’entrer en contact avec une aiguille. Cette solution intervient dans les cas extrêmes d’une forte déformation de la glace. En configuration normale de la pièce d’horlogerie, une telle butée n’a pas d’effet. Cette solution permet donc d’éviter certains problèmes extrêmes, mais reste insuffisante. Par exemple, la glace reste libre de subir des faibles déformations, jusqu’à venir en contact ou non avec la butée, par exemple des micro-vibrations, ce qui exige l’utilisation d’une glace suffisamment résistante, notamment d’épaisseur adaptée. Un objet général de la présente invention est de proposer une solution pour la fixation d’une glace sur une boîte d’une pièce d’horlogerie, particulièrement adaptée à une pièce d’horlogerie de faible épaisseur.

A cet effet, l’invention est définie par les revendications.

Notamment, l’invention repose sur un agencement pour la fixation d’une glace d’une pièce d’horlogerie comprenant une boîte, comprenant un dispositif de fixation de la glace sur la boîte au niveau du pourtour de la glace, caractérisé en ce qu’il comprend un dispositif de liaison de la glace comprenant au moins un plot de support coopérant avec la glace en dehors de son pourtour ou hors de la boîte de montre, notamment dans une zone centrale de la glace.

Le au moins un plot peut comprendre une partie inférieure de montage sur la pièce d’horlogerie, et une partie supérieure en contact avec la surface inférieure de la glace.

L’agencement peut comprendre plusieurs plots de support, notamment entre 1 et 10, et plusieurs plots de support en contact avec la glace au niveau de sa zone centrale.

L’agencement pour la fixation d’une glace peut comprendre plusieurs plots de support répartis de manière sensiblement homogène sur une zone centrale de la glace et/ou à proximité de composants du mouvement destinés à un positionnement à une très faible distance de la glace, comme une roue ou une aiguille.

L’invention porte aussi sur une pièce d’horlogerie, comprenant une glace et une boîte, caractérisée en ce qu’elle comprend un agencement pour la fixation de la glace sur la boite tel que défini précédemment. Le au moins un plot de support peut être fixé sur un pont du mouvement de la pièce d’horlogerie.

Le au moins un plot de support peut être fixé sur une tête d’une vis d’un pont du mouvement de la pièce d’horlogerie. Le plot de support pouvant comprendre une forme annulaire apte à coopérer avec une protubérance de la vis du pont du mouvement de la pièce d’horlogerie.

Le au moins un plot de support peut être fixé de manière réglable en hauteur de sorte à pouvoir garantir son contact avec la glace.

La glace peut comprendre une épaisseur inférieure ou égale à 0.4 mm, voire inférieure ou égale à 0.35 mm, notamment comprise entre 0.2 et 0.4 mm, et/ou la glace peut comprendre un diamètre supérieur ou égal à 30 mm, voire supérieur ou égal à 30 mm, et/ou un diamètre inférieur ou égal à 45 mm, voire inférieur ou égal à 40 mm.

La pièce d’horlogerie peut comprendre une épaisseur totale inférieure ou égale à 2 mm, voire inférieure ou égale à 1 .9 mm, voire inférieure ou égale à 1 .85 mm.

L’invention porte aussi sur un procédé de fixation d’une glace d’une pièce d’horlogerie, caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes :

- Fixation de la glace au niveau de son pourtour sur une boîte de la pièce d’horlogerie ;

- Liaison de la glace par au moins un plot de support venant en contact, optionnellement en fixation, avec la glace sur une zone en dehors de son pourtour ou en dehors de la boîte, notamment en partie centrale de la glace. D'autres avantages et caractéristiques ressortiront plus clairement de la description qui va suivre d’un mode de réalisation particulier de l'invention donné à titre d'exemple non limitatif et représenté sur les dessins annexés, dans lesquels :

La figure 1 représente une vue de dessus d’une pièce d’horlogerie selon un mode de réalisation de l’invention.

La figure 2 représente une vue en coupe perpendiculaire au niveau d’un pont de la pièce d’horlogerie selon le mode de réalisation de l’invention.

La figure 3 représente une vue en coupe perpendiculaire au niveau d’un plot de support de la pièce d’horlogerie selon le mode de réalisation de l’invention.

La figure 4 représente une vue en perspective d’une vis de la pièce d’horlogerie selon le mode de réalisation de l’invention.

La figure 5 représente une vue en perspective d’un plot de support de la pièce d’horlogerie selon le mode de réalisation de l’invention.

La figure 6 représente une vue en perspective de l’assemblage d’un plot de support sur la vis de la pièce d’horlogerie selon le mode de réalisation de l’invention.

Pour simplifier la description, nous utiliserons par convention les termes de « direction horizontale >> pour toute direction parallèle à la glace de la pièce d’horlogerie. Nous utiliserons la « direction perpendiculaire >> pour toute direction perpendiculaire à la glace de la pièce d’horlogerie. Nous utiliserons les adjectifs « supérieur >> et « inférieur >> pour désigner des éléments ou des surfaces en référence à la direction perpendiculaire, respectivement positionnés du côté du regard de l’utilisateur de la pièce d’horlogerie et à l’opposé, par exemple du côté du poignet d’un porteur dans le cas d’une montre-bracelet.

La figure 1 représente une vue de dessus d’une pièce d’horlogerie 1 selon un mode de réalisation de l’invention. Cette pièce d’horlogerie 1 est une montre bracelet comprenant une boîte 2, qui comprend des cornes 3 prévues pour la fixation de brins de bracelet, non représentés.

La boîte 2 comprend un fond ou platine et une carrure, et une lunette 4 agencée sur la carrure sur le pourtour de la boîte 2. En variante, toute autre architecture de la boîte 2 est envisageable.

La pièce d’horlogerie 1 comprend de plus une glace 10, peu visible sur la figure 1 , qui est d’abord fixée de manière conventionnelle par un dispositif de fixation au niveau de son pourtour, au niveau de la boîte 2, et plus particulièrement de la carrure et/ou de la lunette 4. Ce premier moyen de fixation peut être un collage, ou un moyen mécanique. La lunette est fixée de manière traditionnelle à la carrure, par exemple par des vis, comme des vis à tête octogonale, depuis le fond de la montre. Ainsi, ce dispositif de fixation, plutôt traditionnel, implique des zones du pourtour de la glace et des zones correspondantes sur la boîte de montre.

La pièce d’horlogerie 1 comprend de plus un mouvement horloger, fixé en partie supérieure par des ponts 5. Elle comprend aussi au moins un cadran 6 et au moins une aiguille 7. La boîte 2 et la glace délimitent en tout ou partie un volume intérieur de la pièce d’horlogerie, dans lequel le mouvement horloger est agencé.

La figure 2 montre une vue en coupe par un plan perpendiculaire de la pièce d’horlogerie 1 . Selon ce mode de réalisation, la pièce d’horlogerie est extra-plate. Avantageusement, l’épaisseur totale de la pièce d’horlogerie est inférieure ou égale à 2 mm, voire inférieure ou égale à 1.9 mm, voire inférieure ou égale à 1.85 mm. Cette épaisseur peut être supérieure ou égale à 1.7 mm.

Il en résulte d’abord que la glace 10 est choisie de très faible épaisseur, par exemple de l’ordre de 0.3 mm. Avantageusement, l’épaisseur de la glace est inférieure ou égale à 0.4 mm, voire inférieure ou égale à 0.35 mm. Elle est aussi avantageusement supérieure ou égale à 0.2 mm, voire supérieure ou égale à 0.25 mm. Cette épaisseur est de préférence constante. En variante, elle peut être variable, auquel cas les valeurs mentionnées précédemment sont les valeurs minimales, ou moyennes. La glace 10 présente de plus un diamètre supérieur ou égal à 30 mm, voire supérieur ou égal à 35 mm. La glace 10 présente de plus un diamètre inférieur ou égal à 45 mm, voire inférieur ou égal à 40 mm. Son contour peut être circulaire. En variante, elle peut présenter toute autre forme, carrée, rectangulaire, ellipsoïdale, etc. Dans tous les cas, son aire peut rester dans les mêmes valeurs que celles résultant de la plage de diamètre susmentionnée. La glace 10 peut se présenter en tout matériau connu, par exemple en saphir.

En complément, la glace 10 vient à proximité du mouvement, pour minimiser l’épaisseur globale de la pièce d’horlogerie. Il apparaît ainsi que l’espace 1 1 entre la surface inférieure de la glace 10 et la surface supérieure d’un pont 5 du mouvement ou d’une aiguille 7, comme représenté schématiquement sur la figure 2, peut être très faible, par exemple inférieure ou égale à 0.1 mm.

Il apparaît qu’avec le dimensionnement défini ci-dessus, la glace 10 serait susceptible de se déformer de manière non négligeable si elle n’était fixée que par le dispositif de fixation susmentionné, et que cette déformation serait suffisante pour qu’elle vienne en contact avec le mouvement, notamment un pont, qui pourrait induire un pincement du rouage, et/ou une aiguille 7. Pour cette raison, selon le mode de réalisation, la glace 10 est de plus maintenue par un ou plusieurs plots de support 20, qui viennent en contact avec la surface inférieure de la glace 10. Autrement dit, la glace 10 est en appui sur le ou les plots de support 20. Une telle glace, du fait de son épaisseur réduite, est de plus susceptible de subir toutes sortes de vibrations et déformations, même de très faible amplitude, sans nécessairement venir en contact avec le mouvement ou une aiguille. Ces déformations sont susceptibles d’induire une usure et une fragilisation de la glace. Le ou les plots de support 20 permettent de supprimer ou réduire ce phénomène.

Selon un mode de réalisation, un plot de support 20 est avantageusement agencé sur un pont 5 supérieur du mouvement, voire sur une platine. Il s’étend ainsi verticalement depuis un tel pont 5, jusqu’à venir en contact avec la surface inférieure de la glace 10. En variante, il peut être fixé à toute autre surface du mouvement ou de la pièce d’horlogerie. De préférence, il est fixé en dehors d’un axe du mouvement, pour ne pas risquer de perturber la rotation d’un tel axe. Il s’étend donc avantageusement depuis une surface fixe, sans lien avec un axe de rotation du mouvement. Il est donc distinct d’un axe du mouvement horloger, ou d’un élément mobile du mouvement horloger. Un tel plot de support 20 est ainsi monté de manière fixe relativement à la pièce d’horlogerie, plus précisément relativement à la boîte 2 de montre, au contraire de composants du mouvement horloger, comme des rouages et des axes de pivotement, et au contraire d’éléments susceptibles de se déformer.

La fonction d’un plot de support 20 est de compléter le dispositif de fixation de la glace prévu au niveau de son pourtour, en formant tout ou partie d’un dispositif de liaison, positionné au niveau d’une zone hors du pourtour de la glace ou hors de la boîte de montre, c’est-à-dire hors des zones du pourtour de la glace et de la boîte de montre sur lesquelles le dispositif de fixation de la glace est mis en oeuvre. Le plot de support vient donc ajouter des éléments de maintien de la glace, distincts et complémentaires du dispositif de fixation traditionnel.

Un plot de support est ainsi disposé préférentiellement dans une zone centrale de la glace 10. Une telle zone centrale peut se définir comme un disque de rayon R/2 ou 3R/4 de la glace, centré sur le centre de la glace, où R est le rayon de la glace. Si la glace ne présente pas une forme de contour circulaire, le même principe peut être appliqué en considérant le disque de rayon minimal dans lequel la glace est inscrite. Un plot de support est donc positionné dans le volume intérieur de la pièce d’horlogerie, comprend une partie inférieure fixée sur la pièce d’horlogerie, comme une platine ou un pont du mouvement, et une partie supérieure en contact avec la surface inférieure de la glace.

Ce dispositif de liaison comprenant un ou plusieurs plots de support a pour fonction d’empêcher la déformation de la glace 10, au moins au niveau d’un plot de support 20. Par cette construction, la fixation d’une glace, obtenue par la combinaison du dispositif de fixation et du dispositif de liaison, est telle qu’elle ne se déforme pas, ou très peu, de sorte qu’elle n’entre pas en contact avec le mouvement ou une aiguille. Plus généralement, elle ne subit pas ou très peu de déformations.

Selon le mode de réalisation représenté par la figure 1 , deux plots de support 20 sont utilisés. Avantageusement, le dispositif de liaison comprend plusieurs plots de support 20, par exemple 2, 3, 4, 5, ou 6, ou plus généralement tout nombre entre 1 et 10. D’autre part, selon un mode de réalisation, ces plots de support sont avantageusement répartis de manière assez homogène, et au moins en partie en dehors du pourtour de la glace. Préférentiellement, ils sont positionnés sur une partie centrale de la pièce d'horlogerie. Ainsi, plusieurs plots de support 20 peuvent être avantageusement positionnés au niveau du disque de rayon R/2, voire de rayon 3R/4, de la glace 10, où R est le rayon de la glace. Autrement dit, la zone centrale est délimitée par un cercle de rayon 3R/4, voire R/2, où R est le rayon du cercle dans lequel la glace (10) est inscrite. En variante ou complément, le ou les plots de support 20 peuvent être positionnés à proximité des surfaces de pont 5 et/ou d’aiguille 7 les plus proches de la glace 10. Les plots de support 20 peuvent être identiques ou différents.

Selon le mode de réalisation préféré, représenté par la figure 3, un plot de support 20 est fixé sur une vis 1 1 du mouvement, plus exactement sur une tête 12 d’une vis 1 1 fixée sur un pont 5 du mouvement. Pour cela, la tête 12 de la vis 1 1 est agencée pour comprendre un premier dispositif de coopération, par exemple un axe central, apte à coopérer avec un plot de support 20.

Les figures 4 à 6 illustrent à cet effet un exemple d’assemblage d’une vis 11 d’un pont du mouvement avec un plot de support 20. La figure 4 représente une vis 1 1 . Cette vis 1 1 comprend une portion protubérante 12 cylindrique 12 au niveau de sa tête, qui s’étend autour d’un axe vertical confondu avec l’axe de la vis 1 1. Des encoches 13 sont prévus sur le pourtour de la tête de vis, pour permettre l’insertion d’un outil et l’éventuel actionnement de la vis 1 1 . La figure 5 représente un plot de support 20, qui présente une forme annulaire, de dimension correspondant à la vis 1 1 , pour pouvoir coopérer avec sa tête, comme représenté par la figure 6, et dépasser en hauteur au-dessus de la tête, en comblant exactement l’espace entre la vis 11 et la glace 10 pour venir en contact avec la glace 10, comme représenté par la figure 3.

Dans un tel mode de réalisation, il est possible de prévoir des plots de support 20 de hauteurs différentes, éventuellement fabriqués sur mesure, pour combler parfaitement la hauteur entre un pont 5 et la glace 10. Selon une telle réalisation, un plot de support 20 présente ainsi une hauteur calculée pour correspondre exactement à la distance entre le mouvement et la glace, notamment dans les cas où les jeux de construction sont faibles ou peuvent être négligés.

Un plot de support 20 est avantageusement suffisamment rigide pour empêcher la déformation de la glace, tout en étant suffisamment souple pour ne pas former un point dur sur la glace, ce qui risquerait de l’endommager. Pour cela, le plot de support 20 est de préférence en matériau caoutchouc ou polymère rigide, par exemple un silicone transparent.

Selon une variante de réalisation non représentée, le positionnement d’un plot de support 20 peut être réglable en hauteur. Pour cela, il peut comprendre une partie inférieure de montage vissée sur le mouvement, par exemple sur un pont 5, de sorte que sa hauteur peut varier en fonction du vissage. En variante, toute autre solution mécanique de réglage de hauteur est envisageable. Une telle réalisation permet de rattraper les éventuels jeux et/ou de garantir le contact avec la glace dans tous les cas, avec une éventuelle pression souhaitée, même quand les jeux de construction ne sont pas négligeables.

En remarque, dans tous les cas, la surface inférieure de la glace 10 peut comprendre un revêtement au niveau du contact avec un plot de support 20. Un tel revêtement peut avoir une première fonction de renfort de la glace au niveau du contact, et une deuxième fonction esthétique de masquage du plot de contact pour un utilisateur de la pièce d’horlogerie.

L’invention porte donc sur un agencement pour la fixation d’une glace 10 d’une pièce d’horlogerie, comme décrit précédemment. Elle porte aussi sur une pièce d’horlogerie en tant que telle. Comme décrit précédemment, elle est particulièrement adaptée à une pièce d’horlogerie de très faible épaisseur, notamment une montre-bracelet.

En remarque complémentaire, l’agencement a été décrit comme comprenant au moins un plot de support qui vient en contact avec la glace, pour maintenir sa position à une hauteur constante, pour empêcher sa déformation en cas de contrainte exercée sur sa surface supérieure. Comme cela ressort implicitement de la description précédente, un tel contact est formé avec la glace dans sa position de repos, c’est-à-dire non déformée. Autrement dit, le contact du plot de support avec la glace est ainsi un contact permanent. En variante, le plot de support 20 peut être fixé à la glace, par exemple par un collage ou un moyen mécanique, et former ainsi un deuxième dispositif de fixation de la glace.

Dans tous les cas, un plot de support se comporte donc différemment d’une butée telle que décrite dans le document CH706978, qui n’a pas d’effet sur la glace en dehors de ses déformations les plus importantes. Le plot de support de l’invention agit comme un élément de maintien de la glace dans une position initiale non déformée, et agit de manière permanente sur cette glace pour la maintenir dans cette position initiale. Il participe donc bien à la fixation globale de la glace sur la pièce d’horlogerie.

L’invention porte aussi sur un procédé de fixation d’une glace sur une pièce d’horlogerie, caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes : Fixation de la glace 10 au niveau de son pourtour sur une boîte 2 de la pièce d’horlogerie ;

Liaison de la glace 10 par au moins un plot de support 20 venant en contact, optionnellement en fixation, avec la glace 10 sur une zone en dehors de son pourtour fixé à l’étape précédente, notamment en partie centrale.

Avantageusement, le procédé comprend une étape de réglage de la hauteur du au moins un plot de support 20 pour garantir son contact avec la glace 10.

Ce procédé de fixation d’une glace s’intégre dans un procédé plus général de montage d’une pièce d’horlogerie, et de fabrication d’une pièce d’horlogerie.