Depuis le 20 mai 2019, la physique est passée en mode ondulatoire des unités de mesures aux divers fonctionnements des technologies qui ont un seul support, une seule réalité continue. Nous quittons la perception ‘électron’ et masse pour le champ unifié magnétique ho, couplé par les phonons entre ondulatoire et corpusculaire. Le sujet traité a été décomposé en plusieurs déposes de droits d’auteurs, de PCT en septembre 2021. Ces déposes oublient la globalité du sujet dans le champ unifié dans sa vision globale au point zéro des effets de cette dépose de PCT. Les universités traitent en mode indépendant les sujets, ce qui n’est pas la vie réelle. Nous intégrons et procédons dans le domaine des interactions utiles intriquées en cascade qui sont toutes corrélées dans le contexte quantique, constituant une seule entité vivante de la physique des particules élémentaires et des ondes, des structures dynamiques sans frontière, que constitue la gestion d’entropie magnétique de l’amortissement vibratoire dans un monde plus uniforme, permet de révéler toutes les nuances. Le procédé est la levée les inhibitions des brouillards magnétiques/électromagnétiques qui se succèdent en cascade, qui empêchent à la réalité dynamique des composantes élémentaires de s’exprimer dans un ordre convenable de la nature et de voir l’équilibre naturel exister paisiblement, débridé, se révéler sans aucune ombre de sur-vibrations inutiles de réactions. Les corrections ‘ondulatoire et corpusculaire’ sont de débrider les photons, pour interagir en totale cohérence sur les électrons qui deviennent par retour actifs, stabilisés en totale harmonie/cohérence dans l’espace ‘air’ ambiant des informations d’origines ‘’lumière et son”. Suivant les tensions magnétiques fortes et agitées, les équilibres sous-jacents ne peuvent s’exprimer, le nettoyage constant du brouillard magnétique s’impose jusqu’à retrouver l’ordre correct de l’action vibratoire intriquée de l’origine. L’environnement est fortement déséquilibré par les surcharges de rayonnements magnétiques électromagnétiques, industriels, ils bloquent les fluctuations magnétiques utiles naturelles, l’électrodynamique quantique qui gère la communication des particules élémentaires. Des polarisations connues par la boussole, la gravité, à cela s’ajoutent les surcharges d’effets radios, satellites et toutes les transformations mécaniques, électriques, chimiques que le procédé traite pour retrouver l’équilibre au point zéro de Cari David Anderson, de Paul Dirac, la beauté silencieuse du monde. Les quark, les Bosons, la glue des électrons sont partiellement diminués en mode quantique par les supraconducteurs en température ambiante. Le brouillard magnétique/électromagnétique, par sa résurgence constante, doit être nettoyé en continu afin de laisser apparaitre la vraie réalité de l’action cohérente des photons/électrons en interaction pour avoir un espace propre, harmonique qui corrige la perméabilité de l’espace, propice à toute activité des rayons lumineux, du son à traverser l’espace en droite ligne sans perturbation, sans frein, pour une diffusion idéale sans distorsion. Le mouvement Brownien est aussi une de ces composantes qui trouble le chemin des composantes des particules élémentaires, pour un ordre de relation dite de cohérence-harmonique. Ainsi l’action de nettoyage successif est obligatoire simultanément sur plusieurs plans de physique convergents au point zéro silence du bruit électronique. Le voile chaos magnétique masque la fonction des photons. Les photons retrouvent leurs fonctions initiales, ils reprennent la fonction première de mise en ordre d’activité harmonique de tout milieu de rayonnement thermique, lumineux, sonore, hygrométrique, dynamique, mécanique, électrique, chimique. L’alternance des dérives électromagnétiques magnétiques vibratoires est abaissée, recentrée, redistribuée au centre de leur opérateur jusqu’au point zéro afin que les corrections libèrent la fonction principale initiale. L’intrication photons/électrons est fondamentale dans la cohérence harmonique de toutes les fonctions vibratoires mécaniques et électromagnétiques, ondulatoire et corpusculaire, toutes intriquées. Le processus de correction est une cascade de corrections qui permet de lever le voile sur les fonctions fondamentales des particules élémentaires, d’ordre d’actions des particules non visibles, dont les phonons qui relient les 2 mondes particule et ondulatoire. Dans ce PCT, par le retour au point zéro de Paul Dirac et Cari Anderson, toutes les activités de physique, structures réorganisées, sont optimisées sans interférence de distorsion, par les mouvements des charges magnétiques stabilisées.

Du point zéro résolution des ondes vibratoires, l’acoustique se mesure par les ondes sonores, leur hauteur, le silence infraliminaire peut émerger, il n’appartient pas aux mesures. L’acoustique, la performance musicale appartient à la biologie ultrafine de perception, d’où les perceptions des sentiments enfouis révélés se réveillent, éclosent à la surface de la conscience invisible. Expression muette des pensées de Beethoven, sourd à la fin de sa vie, il fait émerger la pensée indicible à la 9 ^eme symphonie. L’application du point zéro des résonnances de l’émergence correcte des sons est issue de l’alternance du plein et du vide. En effet, les vibrations font des turbulences de nature ‘magnétique élastique’, couplées de l’air et de structure en vibration, dégageant en magnétostriction des décharges magnétiques. Le son traverse toute structure à l’infini se frayant un chemin dans toutes les structures mises en agitations successives des chocs des particules élémentaires et en signatures magnétiques dépendant de l’élasticité de l’espace traversé de ses déformations élastiques. Nous percevons physiologiquement un signal lissé du son, continu, un trait d’onde sonore continu, constitué d’amplitudes sonores et de silences imperceptibles noyés que sont les ondes magnétiques d’ultime résonnance de la composante sonore. L’appareil Fig.2, suite au silence des bruits électroniques corrigés de l’intensité des ondes perçues en continu, le résonateur indépendant répond à l’aspect chirurgical des sons, le grain sonore permet la perception des émotions occultées. Le grain émerge, transperce l’écoute fine sublime d’une autre nature signature magnétique/mécanique dynamique vibratoire couplée, l’écoute infraliminaire hypersensible vers le silence est établie, milieu d’écoute mis en place par les technologies de corrections en cascade de résonnance vers le point zéro. Ainsi la source sonore subtile, anche des instruments à vent est très fine, l’air à haute vitesse active le son autour du bois très spécifique, cette condition de haute finesse des turbulences de l’air est activée par le couple des trous et des fentes autour du point zéro de Paul Dirac, c’est l’amortissement final vibratoire qui meurt d’émotion. La turbulence est la résolution en référence vers l’amortissement du silence, sifflante du bec de l’instrument à vent. Fig.2, un résonnateur indépendant, lui aussi joue de l’élasticité interactive magnétique de l’air, du bois, et des phonons. Le résonnateur indépendant est une plaque sur son pied (8), où sont insérés les lèvres, biseaux, traversant ou pas la plaque, à la jonction du couple fente/trou du résonnateur. Plaque de résonnance plate ou bombée de bois, polymère, métallique, structure cristalline siège des phonons, coquille St jacques, constituant une plaque (1), métallique, polymère, pierre, plâtre, bois, plane ou courbée de 8x10 centimètres sur 4 à 10 millimètres d’épaisseur environ, par exemple est posée dans l’espace ambiant. Le résonnateur révèle la finale vibratoire acoustique d’amortissement des sons ambiants d’instrument de musique ou de reproduction du son avec une finesse inégalée dans un milieu corrigé, traité, propre magnétiquement. Les trous et fentes droite ou en Z, S affinés entrelacés, caractérisent le différentiel de masse vibratoire qui va rendre l’excellence des sons de la plaque de résonnance corpusculaire et de mode ondulatoire magnétique couplé, du fait de la loi de magnétostriction. Des insertions de fentes (2,12) en Z, S artistique entrelacées constituent au moins une lèvre avec des trous (3). 3 trous (5,6,7) de diamètre allant proche de zéro d’une mini-flûte de pan accentuent les résonnances. Au moins un biseau, lèvre de turbulences (4) sur la plaque accentue les turbulences air, faisant office de anche, directement implanté à proximité, tangent aux trous et/ou aux fentes. Au moins un Z ou S artistique découpé, révèle tous les spectres sonores audibles jusqu’à l’extinction sonore du dernier souffle à la fin de l’extrême subtilité acoustique, aux confins de l’infini amortissement vibratoire. L’affinement est constitué d’une fine feuille d’aluminium couplée à la plaque de bois, libre, juste collée à son extrémité haut et/ou bas de la plaque, feuille volante pouvant ainsi vibrer de façon libre, par résonnance. Le différentiel de masse de la plaque sculptée découpée et au moins une fine feuille d’aluminium permettent ainsi un autre différentiel de masse qui par résonnance se transmet à la feuille d’aluminium afin d’éteindre l’amortissement des vibrations infraliminaires magnétiques/physiques, aux confins des harmoniques, là où le son meurt. Cet appareil sonore indépendant remplit, rend généreux dans la mort d’un Son, tous les autres Sons amortis, complets. C’est tout le paradoxe de l’achèvement sonore dans la condition du milieu quantique linéaire à faible tension magnétique, le faible bruit électronique laisse entendre le dernier respire, aux confins du soupir, soupçon musical. Ces vibrations mécaniques engendrent les effets de champ magnétique qui sont toujours couplés. Ainsi la résolution ultime du silence au point zéro permet d’amortir l’effet secondaire ondulatoire du champ magnétique par un amortissement du champ électrique en quadrature du champ magnétique suivant la loi de Maxwell révisée d’ Ampère.

Un fil (9) Fig.2 d’un côté (11) est mis au coin dans le résonnateur, l’autre côté du fil (10) est placé à l’autre bout dans le résonateur. Le fil électrique avec au moins une boucle capte le champ magnétique du résonnateur et le transpose en champ électrique, le fil en contact se décharge sur au moins un bout de bois et/ou un bout de cristal (12) par exemple non limitatif de décharge, contre réaction de champ électrique qui participe à l’acoustique, le cycle est couplé en résonnance suivant la loi de Maxwell, les vibrations transverses. Le fil électrique, le résonnateur, le cristal et/ou le bois constituent ensemble l’appareil d’amortissement des 2 champs couplés. Appareil d’amortissement du cycle des 2 champs optimisés est utile pour tout instrument de musique, tout résonnateur sonore. Une variante intégrée, les trous, les fentes, les biseaux sont directement découpés sur support de découpes, comme sur un panneau acoustique, enceintes acoustiques, instruments de musique qui constituent les caisses de résonnance. Ces intégrations génèrent des sons ultrafins audibles en complément de précision d’effet sonore respectant le point zéro de Paul Dirac avec le différentiel de masse vibrante des découpes en Z ou S simple ou plusieurs entrelacés. L’onde sonore a en cascade son amortissement équilibré qui tend vers le zéro centré immobile, par son onde de vide et de plein complémentaires tendant vers l’amortissement complet des vibrations utiles, raffinées, audibles.

La l ^ere correction magnétique vibratoire du milieu ambiant est installé par le double résonnateur Fig.l qui reçoit en opposition de phase sur le volume avant afin d’annuler les effets des bruits, au moins 2 ou 3 fentes en Z ou S entrelacés (8) chacune de 1 à 5 millimètres et au moins un trou (9) de 2 à 10 millimètres de diamètre, qui sont des points, zone du silence pour restituer les grains sonores devenus audibles, libres de tension magnétique/électromagnétique. Le magnétique utile quantique couple les photons, les électrons, les sons, la lumière, les matières, par résonnance débridée quantique des vibrations mécaniques et magnétiques couplées. Fentes et trous ont un espace de proximité entre eux de 1 millimètre jusqu’à 1 centimètre entre fente et trou. Au moins 2 ou trois découpes des couples ‘trou/fente’ peuvent être installées sur le périmètre de l’appareil du double résonnateur étalon qui amplifie sa précision d’étalon vers le silence. Par sa référence au point zéro de l’amortissement vibratoire de structure magnétique élastique, c’est la mise en phase vibratoire sonore de référence à tout instant T de toutes les notes, qui supprime tout déphasage acoustique, laisse se révéler les micros Sons. Le monde ondulatoire de la lumière et du son permet d’avoir l’outil parfait de correction centrée qui matérialise tous les Sons de nos pensées en musique par les ondes, le langage, discontinu et continu, qui sculpte les sons et formes, dans l’espace air et dans les matières, harmonisés par résonnance magnétique en mode quantique, liés à la fréquence et aux différentes vitesses de l’air, turbulent, calme, stationnaire, comme sur et dans l’océan. La subtilité de la présente dépose est la précision nécessaire des relations du plein et du vide au subtil infini relié par la masse en référence de stabilité, point physique qui permet de constituer un appareil de précision vibratoire étalonné à 3 composants d’une réaction en chaine de stabilisation vibratoire générale du milieu bruyant d’origine ondulatoire magnétique/corpusculaire couplés. Fig.l. La liaison additionnelle du tube (6) des 2 réflecteurs de diffraction accentue la mise en phase, base stable référence des vibrations. Cette l ^ere relation est une fonction de mise en phase dans un milieu d’ondes vibratoires harmonisées, sonore et de la lumière, des couleurs des images, d’écran, cinéma, ordinateur, télévision, naturellement recalibrées, répondant aux lois du monde ondulatoire universel sensible à toute matière qui se retrouve à l’infini, sans tension de glue électromagnétique/ magnétique. Les énergies sonores en diffusion du point zéro de Paul Dirac s’établissent sur toutes les nuances de variations sonores et lumineuses intriquées, depuis la source référence en tout instant, avec 2 structures volumétriques de résonnances en équilibre qui prennent appui sur une structure dense, une masse, source de référence des répartitions sonores dans 2 résonateurs. Fig. 1 : De part et d’autre de ce point névralgique (1), point d’appui physique d’une petite masse, se dissipent les ondes sonores en avant (2) et en arrière (3), où se couplent les 2 types de propagations sonores en parfaites phases du point source d’émission (1), qui captent et renvoient les ondes sonores par résonances, en inverse de phase autour du vide et du plein. Ainsi la lecture sonore se fait entre les espaces des notes, des Sons. Le vide neutre stable point de référence est signé par la masse et aussi par au moins un tube vide ouvert (6). La résonnance sonore est passive et active par l’amortissement des énergies vibratoires en retour au centre fondamental magnétique et physique. L’appareil double résonateur n’est pas couplé avec un générateur sonore, il est simplement activé par la résonnance propre des sons ambiants qui effectue les amortissements de fin de vie des vibrations, l’élasticité de l’air amortit les vibrations avec l’appareil à leur silence ultime. Evolution, involution des vibrations sonores complémentaires sont équilibrées, remastérisées dans tout espace d’écoute, par liaison de résonnance magnétique élastique quantique. L’interaction vibratoire relève de la chaine de réactivités vibratoires subtiles en cascades intriquées. C’est la charge de résonnance magnétique élastique transmise par les champs magnétiques/ électromagnétiques qui relie les résonnances mécaniques corpusculaires des structures et de l’air magnétique. Cette composante magnétique linéaire apporte la spatialité et la précision sonore naturelle libérée :-l ^ere de la masse entre les 2 formes, 2 ^eme des résonnances affinées du couplage des fentes/des trous. Ce qui rend fines les performances particulières de la vraie restitution sonore recentrée à sa source, de toutes ces signatures d’origine des sons, qui sont par le plein et le vide respectées en cascades, constituant l’alternance des vibrations et le discernement sonore musical oublié, perdu, ce qui est fondamental. L’oubli vient de l’usage en référence des appareils de mesures insuffisamment sensibles, cependant devenant lecture référence de performances. Emotion musicale, contexte de nature profonde biologique, silencieuse, humaine, animale, végétale fleur-agriculture, se découvre sur l’intelligence des langages fins vivants, qui sont liés en mode quantique grâce aux appareils. Le quantique hu rend l’appareil hyper sensible par la peinture quantique constituée d’oxyde de graphène ou graphène et du liant excipient peinture sur les matières peintes de l’appareil Fig.l en surface ou en interne de la matière en totalité ou partiellement (4) du volume avant et la structure du plan arrière constitué d’une coupelle : elle est plate, bombée, éventuellement avec un rebord. L’appareil sur son pied (5) est au cœur de la réactivité générale, d’équilibrage sonore, il relève de la sensibilité complémentaire et opposée des ondes sonores différentes avant et arrière de la masse, masse constituée d’une petite boule de plomb (1), ou métallique de 10 à 50 grammes environ. Le volume avant et le plan arrière sont hyper légers en plastique, polymère ou en un fin aluminium d’ 1/10 de millimètre, ou en titane ou métal souple. L’appareil ainsi constitué a sa partie avant d’un volume déterminé par une longueur 8 centimètres sur un diamètre, ou un carré de 5 centimètres et son plan arrière est une coupelle de 10 centimètres de diamètre. Dimension et forme sont des exemples non limitatifs de réalisation par l’homme de l’art de résonnance complémentaire en mode quantique vibratoire portés par la sensibilité quantique de distribution des énergies utiles autour d’un point zéro. La gestion du point zéro implique la dualité naturelle de position de l’expression de l’Âme, la dualité de position naturelle, particule et magnétique, implique elle -même une référence invisible des équilibres couplés, une expression à l’infini petit, la rencontre de la source de la vie intelligente sous-jacente d’équilibre, résonnance magnétique linéaire couplée aux particules, pas que des particules, l’appareil de mesure audio capte les particules, il ne capte pas le message magnétique ! Le son est la dimension naturelle immense, précise, les infrabasses sont présentes.

La 2 ^eme correction variante de cet équilibre est la suppression d’onde électromagnétique/ magnétique, qui déséquilibre, bloque les variables magnétiques. Les incidences de surcharges nocives ont des oscillations amorties par un équilibre des vibrations magnétiques régulées, captées, renvoyées, rétablies dans l’air de part et d’autre du point zéro. L’application est obtenue par les inversions des charges des ondes magnétiques émises et renvoyées, en habitat et/ou pour toute technologie, automobile, data center, moteur électrique par exemple. La gestion du rayonnement thermique/magnétique d’un moteur est activée par, Fig.3, un 8 (1) de 2 boucles, voire en spirale (3,4) d’un câble électrique. Le câble électrique est posé sur un bloc moteur thermique (5), à sa dimension pour le couvrir dessus et sur les côtés éventuellement. L’admission (8), l’allumage (7) du moteur situent l’activité du câble électrique à minima sur les cylindres du bloc moteur, d’où partent les rayonnements. Le câble métallique a pour office de capter et d’annuler les champs magnétiques de déséquilibre par le ‘8’, il capte et renvoie les champs à leur origine centrée, par inversion de phase naturelle, créée par son centre d’intersection, le point zéro (2) des 2 boucles, 2 cercles formant le ‘8’ de l’équilibre centré, le point zéro simultanément d’une boucle à l’autre. L’appareil, câble simple ou multibrin jusqu’à 25 millimètres carré par exemple est recouvert en plusieurs points (6) ou totalement de la peinture quantique, constituée d’oxyde de graphène ou de graphène à raison de 30% environ de son excipient peinture. Les champs magnétiques/ électromagnétiques par inversion des tensions de leurs champs s’annulent au point zéro du ‘8’. Les polarités complémentaires sont rééquilibrées autour du point zéro de jonction d’énergies du carrefour des cercles, apportant silence et plus d’efficacité au moteur thermique sans les inconvénients des surtensions magnétiques qui se diffusent et se reportent sur toutes les structures métalliques. Ainsi les suspensions, les organes dynamiques ne sont plus affectés par les blocages de surtensions magnétiques, qui activent des seuils d’insensibilités fonctionnelles mécaniques, chimiques, électriques, nuisant aux performances et modifiant les conditions théoriques. Dans le monde magnétique/ électromagnétique, le point zéro du carrefour des boucles métalliques annule les surcharges déséquilibrées des champs, supprimant les pollutions magnétiques du moteur. Dans les moteurs la propagation magnétique/électromagnétique est régulée par un retour à la source des pertes rayonnantes d’énergie. Le point zéro permet la gestion équilibrée naturelle retrouvée de toutes les réactivités en général et assainit les fonctions des technologies qui produisent des dissipations décalées par absence de régulation dualiste du plein et du vide. L’altération de phases magnétiques unidirectionnelles des technologies agit sur les qualités magnétiques de l’air, bloquées, déséquilibrées de l’espace densifié par les réseaux hertziens, téléphoniques, radios, tout satellite qui créent les tensions magnétiques. Les conditions initiales dynamiques altérées nocives des éléments de l’espace électrons/photons/positrons obligent un rééquilibrage des réactivités des particules élémentaires polarisées alors recentrées, corrigées. L’appareil rétablit, recalibre le sens équilibré des énergies dépolarisées en conditions optima. L’appareil rééquilibre et corrige au point milieu, point zéro, l’espace ambiant, la condition de vie par brassage magnétique de l’air réorganisé. L’impédance magnétique/électromagnétique de l’air corrigée, modifiée a une incidence sur la chimie, notre biologie, la propagation acoustique, les altérations magnétiques des moteurs et sur les autres organes en fonction de proximité pour retrouver les performances espérées du vrai dialogue échange de la matière retrouvé dans son océan magnétique, comme le bateau libre agité qui oscille sur l’océan que représente le milieu magnétique vibratoire, interdépendant, actif, variable, interactif, couplé avec les structures. Les boucles magnétiques corrigent les dérives de tensions magnétiques au point milieu du carrefour magnétique dans toute technologie et espace rayonnant magnétique. L’appareil permet l’électrodynamique, l’intrication intelligente qu’interconnecte le quantique ho. Les notes sont les mémoires du passé encodées du cerveau, d’où émergent les émotions libérées des turbulences, le ‘grain’ des émotions musicales. Les appareils interpellent l’équilibre de toute énergie interactive vivante. -Ces préparations permettent de passer à la phase d’activité libérée des photons - Du point zéro final du nettoyage des 2 corrections magnétiques, le retour du couplage électrons/ photons est devenu accessible, de l’équilibre de nos origines de la vie, sans pollution ni dérive magnétique, totalement intriqué entre particule et onde, cela implique d’intégrer 2 aspects physiques intriqués. 1 “L’environnement est pollué par les technologies magnétiques intrusives qui nous coupent de la réalité. 2° Les sons sont en interférence des rayons lumineux, en milieu photonique, dont on ne parle jamais, cependant des concerts attendent la descente du soleil, lumière régulée par l’horloge du ciel. Les corrections recentrées des champs magnétiques/ électromagnétiques, le miroir des performances quantiques permet le retour de correction de la vie des photons avec les électrons, une optimisation en cascades de toutes les technologies devenues ordonnées et performantes. La lumière, le laser est la clé de la cohérence, il est possible dans un milieu de supraconducteur à température ambiante, de réactiver des photons bridés, noyés, les particules élémentaires sont libérées des contraintes magnétiques.

La communication/énergie en milieu quantique est facilitée, activée, renforcée, par l’introduction d’un sandwich à photons, constitué par un Miroir brillant de lumière agitant la sensibilité des photons en effet ping-pong des photons avec des régulations quantiques déjà installées sur tout type de technologie mécanique, électrique, chimique. Le procédé est l’interposition comme une boite à photons, mais ici c’est un sandwich à photons dans l’espace ambiant d’une machine, d’un véhicule.

Le sandwich est constitué par au moins un miroir à photons et des opérateurs quantiques comme le graphène/oxyde de graphène/supraconducteur qui gère de faibles niveaux de tensions de champs magnétiques/ électromagnétiques à seuils bas pour la gestion des informations/ énergies. Ces conditions sont utiles pour avoir des photons libres, activés en cohérence, sans surcharge de tension magnétique. Dans le milieu ambiant et les matières, le procédé constitue une émission stimulée de photons qui s’accélère, amplifie les divers dispositifs techniques quantiques, par la présence de réflecteurs de photons, couverture de survie très efficace, Miroir qui en réactions en chaine, amplifie, démultiplie les activités des performances déjà acquises de produit quantique intégré, appliqué sur les moteurs, les pièces électriques, mécaniques, les carburations d’admissions d’air, conduits de carburant, pièces mécaniques entre elles, dans les montres, les horloges, des liaisons au sol des voitures, des différentes technologies des avions, bateaux, véhicule air/terre/mer, toute industrie de transformation, de gestion mécanique, électrique, chimique, alimentaire. Fig.5

Des plots (3) parsemés, constitués de peinture à raison de 30% volume, de supraconducteur/oxyde de graphène/graphène à 70% volume, activent l’effet miroir sur lui- même, par exemple non limitatif de réalisation par l’homme de l’art. Le réseau du Miroir photonique dans un milieu quantique, accélère, intensifie les diverses régulations améliorées d’au moins 30% des technologies actuelles. La multiplication des photons dynamisés par le sandwich est une amplification spontanée par l’appareil ‘Miroir’ lumineux, émetteur de photons, placé dans les espaces de technologie quanti que/supraconducteur. L’espace traité du Miroir réflexif sensible aux photons tapisse/enrobe les compartiments moteur, habitacle, d’une voiture. Fig. 4 le garde boue (1) carénage de la roue, pneu (2), autour duquel s’activent les mécaniques de transmission de puissance et/ou directionnelle en mode quantique qui sont améliorées par au moins un miroir, par exemples non limitatifs de réalisations par l’homme de l’art. Le ou les miroirs est constitué d’au moins une feuille (3) et/ou une peinture réflexive, réfléchissante, lumineuse, véritable miroir photonique. L’incidence pour la biologie, oblige une remise en ordre de spin cohérent des photons. La surcharge magnétique induit la ‘glue photonique’, une souche, terrain marigot à virus, covid, le terrain à virus est en partie détruit. L’aspect photonique débloqué est utile pour la santé, levant les aspects instables des comportements en neurologie et perceptions de tous les sens et notamment des images et des sons eux-mêmes lésés. L’instabilité est éliminée du comportement neurologique, pour Alzheimer, due à l’absence de l’action cohérente des photons. Pour la variante technique, il enrobe et/ou se place aussi autour ou dans le capot d’ordinateur, de téléphone, de matériel audio- visuel, dans toute machine traitée au préalable quantique/ supraconducteurs. Un écran Miroir, métal, de feuille polie, d’aluminium, de cuivre, par exemples, réfléchit les photons et constitue la technologie sandwich qui a quitté le chaos de la soupe magnétique. L’espace traité en mode quantique au préalable peut être l’appareil lui-même, pour un local, l’habitat ou le véhicule. L’application des Miroirs se fait dans l’espace ambiant sur et/ou autour d’écran d’image, télévision, cinéma, ordinateur, et/ou proche d’acoustique naturelle et/ou de reproduction sonore. Au moins un Miroir est pulvérisé en peinture et/ou en feuille collée, vissée sur la ou les parois et/ou autour des capots. Exemple Fig.5 le Miroir métal, feuille d’aluminium (1) et/ou feuille de cuivre et/ou autre réflecteur est posé sur le capot (2) en interne au-dessus du moteur traité au préalable en quantique. Le Miroir photonique s’adapte suivant les longueurs d’ondes des couleurs appropriées, il est puissant, doux, d’exécution rapide. C’est un nouveau type de gestion cohérente des énergies fluides des photons. La correction de la glue des photons en décohérence met les photons en cohérence, dans un milieu propice quantique. Il apparait dans cette configuration, l’usage des Miroirs pour la musique qui devient très dynamique en gardant la densité sonore. Au moins un Miroir modifie l’impédance de l’air et nettoie l’espace des fluctuations magnétiques et la perturbation brownienne, des réseaux radios, hertziens qui apportent décohérence des particules élémentaires. Le Miroir supprime les bruits, installe le silence acoustique où la musique se révèle belle, totalement présente, les images d’écran ont des couleurs denses. L’usage de 2 miroirs face à face permet l’apparition d’hydrogène et d’oxygène par ces deux conditions liées dans le sandwich du milieu quantique qui abaisse fortement les seuils des champs électromagnétiques/magnétiques en présence des supraconducteurs/ de l’oxyde de graphène libérant l’activité photonique. Ce sandwich apporte les énergies utiles ordonnées par la complémentarité d’ordre magnétique qui couple les particules électrons/photons au son à la lumière, tous intriqués.

Le milieu magnétique est vibratoire et il est actif, variable, interactif sur les structures. Deux miroirs côte à côte ou face à face ou encore en opposition de positionnement, constituent un réseau Miroir de la trame photonique. Ils génèrent, dans les admissions d’air des moteurs, des énergies supplémentaires pour la carburation de tout véhicule air, terre, mer, turbine, chaudière à bois fuel, four à bois, fuel, tout type de carburant, en diminuant fortement les pollutions, redonnant la stœchiométrie juste. Le réseau, trame photonique ordonnée des Miroirs photoniques, guide les électrons qui se comportent comme effet laser, structurant les espaces ambiants des technologies, quand les charges magnétiques sont dépolarisées, ce qui est le cas dans un milieu quantique de supraconducteur, où les champs magnétiques sont à des seuils rendus très bas, ce qui donne un milieu relativement libre aux électrons et aux particules élémentaires : ce sont les conditions en milieu ambiant devenu cohérent pour les activités des photons libres d’exploitation quantique qui guident les électrons de façon homogène, en totale rectitude, droiture sans aléa de comportement. Le son clair est l’émergence de nos mémoires dévoilées de nos cerveaux, c’est le logiciel support de structuration de notre intelligence, suivant Ernest Ansermet. La dynamique cohérente des photons est la ligne droite sans polarisation, référence du point zéro, carrefour de toutes les informations.

L’installation du procédé photonique a des effets sur nos sensations, comportement détendu, plus de sensibilité, plus réceptif, avec des perceptions très douces. Les photons créent une ambiance qui stimule tout l’environnement qui se trouve presque allégé du désordre ambiant nettoyé de la glue photonique, du fait de l’espace milieu quantique à bas niveau de gradient, tension magnétique, de l’activité nouvelle des photons qui reprend naissance, donne l’émission cohérente qui permet la modification en beauté des sons, des images des écrans, du cinéma, sons et images qui sont liés par la porteuse magnétique. La rectitude des photons Miroir, en rayonnement laser est couplée avec les électrons en interaction intriquée de la stabilité des spins des photons dans l’espace qui imprime ces forces cohérentes à toutes les particules élémentaires et en cascades, rétablit l’ordre cohérent de toutes les fonctions, mécanique, électrique, chimique, rayonnement thermique, hygrométrique, sonore, lumineuse. Les appareils corrigent les rayonnements du moteur, des mécaniques par les boucles métalliques dans toute technologie rayonnante pour permettre la libération des photons.

Procédé et appareils sont aussi pour l’électricité, les chimies, les rayonnements thermiques, sonores et l’hygrométrie, libérant les activités photoniques ‘’miroir” qui sont couplées aux électrons, ce qui modifie toutes les relations entre anciennement les particules et les effets d’ondes qui sont indissociables, inter- agissants dans la réalité quand les tensions magnétiques sont abaissées par la présence de supraconducteur, milieu propice aux échanges libres ordonnés retrouvés des particules élémentaires, la trame photonique impose l’ordre de la cohérence vibratoire des particules. La vision particule/ondulatoire est une illusion de vitesse relative, non compatible avec la réalité dynamique de l’ électrodynamique longtemps ignorée des particules, ce qui permet d’inscrire les faits intriqués en résonnance, entre électrons/photons, reformant la trame de l’organisation dynamique de tous les espaces, air/matières.

La gestion thermique montre l’importance de l’activité photonique et des phonons associés à cette dynamique. La gestion photonique est linéaire droite des ondes, elle conduit la gestion de l’espace thermique, sonore, lumineux, et de l’hygrométrie sans effort, obstacle, en toute cohérence.

Dans un habitat, défini pour les revendications, habitat constitué des maisons, des magasins, des usines, d’un véhicule air, terre mer, d’un bateau, d’une voiture, d’un avion, salle de spectacle, gymnase, locaux administratifs, serre de fleurs et agriculture, animalerie, l’air traité photonique dégagé du seuil de champ électromagnétique/magnétique trop élevé, permet d’avoir un confort thermique et hygrométrique et une protection des ondes nocives hertziennes ou électromagnétiques intenses de l’environnement par l’activité photonique, qui constitue un interface avec l’espace ambiant externe, un coussin de protection interne de l’habitat.

En effet, les ondes droites se répartissent sans obstacle, notamment dépourvues de mouvement brownien, en contraste avec hors de l’habitacle, de l’habitat, dehors, en externe, où il y a le vacarme, l’agitation brownienne, les ondes hertziennes, les tumultes des variations des bruits, des machines, des circulations, qui constituent un coussin d’isolement thermique, une barrière thermique, sonore, électromagnétique externe qui s’oppose à la libre circulation droite photonique interne qui devient perturbée et très vite annulée dans l’espace ambiant de l’environnement externe. Nous voilà par les appareils successifs installés et l’application photonique active, dans un milieu sain des Miroirs Photoniques, l’habitat est corrigé, protégé du milieu ambiant externe agité, incohérent, constituant un écran thermique et des radiations magnétiques externes nocives. Le calme, la tempête dehors, résulte de ce contraste de cette innovation du champ unifié magnétique photonique interne, laissant dehors le tumulte de la vie actuelle. La vision particule/ondulatoire a une vitesse relative de la réalité dynamique de l’électrodynamique photonique/phonon cohérente des particules. Les surcharges magnétiques/électromagnétiques mécaniques et des mouvements browniens externes constituent un écran, qui s’oppose au champ unifié, elles deviennent un coussin isolation thermique, sonore, hygrométrique de leurs propres radiations externes nocives, aléatoires. Les fluctuations s’opposent au champ unifié magnétique photonique de droiture installée dans tout habitat protégé et véhicule air/terre/ mer, par la résonnance de l’organisation dynamique des particules élémentaires, qui reforme la nouvelle trame de confort, de tous les espaces air et matières, vivants, de nature humaine, animale, végétale fleur- agriculture. La différence des 2 types d’ondes, constitue une interface, le coussin magnétique thermique, hertzien. La cohérence photonique est bloquée par l’interférence de l’activité brownienne qui est un écran majeur accentué par les charges magnétiques variables et intenses externes de l’environnement. Il est évident que les phonons interviennent sur les processus dynamiques des effets photoniques libérés, par le seuil bas, relatif de champ magnétique/électrique. Le monde audio-visuel est modifié, son et perceptions d’images sont liés. En fait le champ magnétique et électrique est avec l’intrication du corpusculaire lié à l’ondulatoire, ce que le phonon méconnu est depuis 1933, le liant qui oblige les fonctions intriquées de l’ensemble du PCT, de l’entropie amortie des champs magnétique s/électromagnétiques. Le procédé inverse les amortissements de l’inertie des glues de Boson, des tensions magnétiques en général pour permettre de vivre les vrais amortissements vibratoires, informations vivantes débridées, contenant toutes les informations, à l’infini petit, existantes, obstruées, figées du monde actuel, les technologies en cascades passent toutes les étapes de la vie physique en mode ondulatoire ho libéré, permettant la transformation du milieu en des interactions nouvelles de nos biologies. Les technologies des 2 nettoyages couplés en nature ‘magnétique’ du carrefour magnétique où se trouvent toutes les signatures des activités dynamiques sont la levée des inerties, trainages vibratoires qui obstruent les subtiles informations retrouvées dans la dynamique expression des photons et phonons de tous les effets technologiques révisés, sans aucune impasse. Tous les niveaux sont traités pour obtenir une finalisation propre généralisée. C’est une véritable conversion des énergies stagnantes en énergies dynamiques. Les vibrations transverses circulent en toute fluidité.

Cette dépose relève de faits et constats dans les acoustiques des meilleurs artistes que nous avions accompagnés, comme avec les Philarmoniques, London Orchestra, de Vienne, Ricardo Muti, Rostropovitch, Aldo Ciccolini, dans les années 1990 en demande, nous dépassons l’ordinaire d’un entendement, nous passons en mode d’écoute totale par le cœur initié des Artistes et de leurs demandes qui dépassent l’entendement sans filtres intellectuels, de concepts de Physique, de la tête. Respecter l’entendement de perception directe de la biologie neurosensorielle est une immersion directe des perceptions sonores et vibratoires accessibles qui obligent e motivent toute la chaine de corrections propres. Certes Bayreuth, la Scala de Milan, l’opéra Garnier sont des enclos sonores spécifiques, les appareils en cascades généralisent l’écoute parfaite appliquée. La vitesse biologique s’impose, sur des expériences partagées, solides. L’écoute directe par les Maîtres de musique Témoins, reconnaît l’origine des sons, la mouvance de la vérité musicale retrouvée en quantique initié, où ils retrouvent le sens direct de l’origine des sons, retour à la pureté de l’environnement.