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Title:
METAL ATTACHMENT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2015/007919
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a metal attachment (10) for providing an electrically conductive surface through the entire thickness of structural elements to be assembled. The attachment therefore comprises a head (12) and a smooth barrel (14) extending along an axis of revolution, characterised in that the barrel comprises at least one conductive portion (24) and one lubricating portion (22) disposed along the axis of revolution of the attachment on at least one length of the barrel. The attachment according to the invention provides a conductive surface through the entire thickness of the structure in which it is installed. The attachment according to the invention is intended, in particular, for aeronautical applications.

Inventors:
REGNARD BENOIT (FR)
GOYER JULIEN (FR)
BROUCKE MARTIAL (FR)
Application Number:
PCT/EP2014/065647
Publication Date:
January 22, 2015
Filing Date:
July 21, 2014
Export Citation:
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Assignee:
LISI AEROSPACE (FR)
International Classes:
F16B33/00; B64D45/02
Domestic Patent References:
WO2011050040A12011-04-28
WO2010088647A12010-08-05
Foreign References:
DE202006008314U12007-08-30
US3407903A1968-10-29
US2518468A1950-08-15
DE102010040338A12012-03-08
GB2212580A1989-07-26
FR2215453A11974-08-23
Attorney, Agent or Firm:
MAUPILIER, Didier (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Fixation métallique (10) comprenant une tête (12) élargie et un fût lisse (14) s'étendant selon un axe de révolution, caractérisé en ce que le fût (14) comprend au moins une portion conductrice (24) et au moins une portion lubrifiante (22), disposées continûment selon l'axe de révolution (A) de la fixation, ladite portion lubrifiante étant constituée d'un revêtement lubrifiant (20) déposé sur au moins une portion du fût lisse. 2. Fixation métallique (10) selon la revendication 1 , dans laquelle le revêtement lubrifiant (20) est déposé par pulvérisation sur une épaisseur de 5 à 13 μηι.

3. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle le revêtement lubrifiant (20) est un film solide lubrifiant ou un revêtement de résine organique comprenant des pigments d'aluminium.

4. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle les portions conductrices (24) et lubrifiantes (22) sont disposées parallèlement à l'axe de révolution de la fixation (A).

5. Fixation métallique selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle au moins deux portions lubrifiantes (22) sont disposées diamétralement opposées par rapport à l'axe de révolution de la fixation (A). 6. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle les portions conductrices (24) et lubrifiantes (22) sont disposées en hélice autour de l'axe de révolution de la fixation (A).

7. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle la portion conductrice (24) est une portion de métal nu, ou une portion de métal nu recouverte d'une couche conductrice d'électricité (26).

8. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle le fût (14) est cylindrique ou conique.

9. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, comprenant en outre une chemise métallique dont un diamètre intérieur est inférieur à un diamètre extérieur du fût de la fixation. 10. Fixation métallique (10) selon les revendications 1 ou 2, dans laquelle la portion de blocage (16) comprend un filetage ou des gorges de sertissage.

1 1 . Structure comportant au moins deux éléments (32, 34) de structure assemblés par une fixation (10) selon l'une des revendications précédentes, ladite fixation étant insérée dans un perçage (30) traversant les éléments de structure, caractérisée en ce que, avant insertion de la fixation dans le perçage, un diamètre intérieur (Di) du perçage est inférieur à un diamètre extérieur (D2) du fût (14) de la fixation.

Description:
Fixation métallique

La présente invention se rapporte à une fixation métallique à revêtement lubrifiant partiel. Le domaine technique de l'invention est d'une façon générale celui des fixations. Plus particulièrement, l'invention concerne des vis, des fixations à gorges de sertissage, et toute autre fixation métallique destinées à assembler des éléments de structure, par exemple d'appareil de type aéronef préalablement alésés. De telles fixations sont généralement réalisées à partir d'un matériau métallique de type acier inoxydable ou alliage de titane.

La nouvelle génération d'avions utilise une structure en matériaux composites qui a l'avantage d'alléger de manière significative la masse de l'avion et de ne pas être sensible au phénomène de fatigue. Cependant, contrairement à une structure métallique, les matériaux composites présentent l'inconvénient de mal conduire l'électricité et posent des problèmes de résistance aux impacts de foudre. Afin de résister à la foudre, il est nécessaire de combler tout jeu qui existerait entre le dispositif de fixation et l'alésage pour empêcher le claquage de l'air qui serait emprisonné et permettre un bon contact entre la fixation et la structure.

Dans l'état de la technique, on connaît l'enseignement du document WO 201 1/050040 qui divulgue des dispositifs de fixation chemisés installés en interférence dans des matériaux composites. L'interférence est définie par l'installation d'un dispositif de fixation comportant un diamètre extérieur supérieur au diamètre d'alésage qui va le recevoir, ce qui amène une expansion de l'alésage durant l'installation du dispositif. La fixation comprend une tige comprenant un revêtement lubrifiant sur la portion filetée et sur une portion de transition entre le fût droit et la portion filetée, afin de faciliter l'insertion de la tige dans la chemise. L'inconvénient de cette fixation est de ne comprendre que très peu de revêtement lubrifiant sur le fût, ce qui peut nécessiter de très importants d'efforts d'installation du dispositif de fixation.

En effet, plus l'épaisseur des structures à assembler est grande, plus les efforts d'insertion d'un dispositif de fixation installé en interférence sont grands. Ils peuvent dépasser l'effort maximal d'installation de la fixation au-delà duquel la fixation casse, soit au niveau des filets, soit au niveau d'une gorge de traction, soit au niveau de l'outillage d'installation.

On connaît également l'enseignement du document GB 2 212 580 qui divulgue une fixation métallique non chemisée installée dans une structure de matériaux composites. Cette fixation comprend sur une portion de son fût un revêtement lubrifiant - de type TEFLON™ ou MoS 2 - diélectrique permettant l'insertion de la fixation dans l'alésage. La portion du fut raccordée à la tête, en appui sur une surface extérieure de la structure de l'aéronef, qui peut être frappée par la foudre, est laissée nue afin de permettre aux courants électriques de passer de la tête de la fixation dans la structure de l'aéronef via la portion de fût métallique nu, et donc conducteur. L'inconvénient de cette fixation est de présenter une seule portion conductrice placée arbitrairement près de la tête, ce qui impose que la structure adjacente soit relativement conductrice, ou comprenne un treillis métallique conducteur.

Un objectif de la présente demande est de résoudre les problèmes des fixations de l'art antérieur précité. Un objectif de l'invention est d'obtenir une fixation apte à conduire l'électricité dans toutes les couches d'une structure comportant au moins une couche peu conductrice lorsque l'élément est frappé par la foudre, sans nécessiter de trop importants efforts d'installation.

L'invention a donc pour objet une fixation métallique comprenant une tête élargie et un fût lisse s'étendant selon un axe de révolution, le fût comprenant au moins une portion conductrice et une portion lubrifiante disposées continûment selon l'axe de révolution de la fixation.

La fixation selon l'invention comprend une alternance de portions électriquement conductrices et de portons lubrifiantes permet d'assurer une surface de contact électrique sur tous les éléments de structure à assembler - qu'ils soient conducteurs ou peu conducteurs - quelle que soit la composition de la structure, en fonction des dimensions des bandes conductrices. La fixation peut donc être installée dans n'importe quelle structure, sans nécessiter une couche conductrice à un endroit spécifique.

La fixation selon l'invention peut être installée dans des structures constituées totalement de matériaux composites, ou dans des structures mixtes c'est à dire utilisant des matériaux composites et métalliques du type alliage d'aluminium ou de titane par exemple. Dans ces deux cas, l'insertion de la fixation selon l'invention peut être réalisée en interférence dans une chemise métallique préalablement disposée dans un alésage des structures, afin d'éviter tout risque de délaminage du composite lors de l'installation de la fixation, et de combler toutes les poches d'air qui pourraient exister entre la structure et le dispositif de fixation.

La fixation de l'invention peut également être installée en interférence dans des structures uniquement métalliques du type aluminium ou titane par exemple.

La fixation selon l'invention peut comprendre une ou plusieurs des caractéristiques suivantes :

- au moins la portion lubrifiante est constituée d'un revêtement lubrifiant déposé sur au moins une portion du fût lisse, - les portions conductrices et lubrifiantes sont disposées parallèlement à l'axe de révolution de la fixation,

- au moins deux bandes lubrifiantes sont disposées diamétralement opposées par rapport à l'axe de révolution de la fixation,

- les portions conductrices et lubrifiantes sont disposées en hélice autour de l'axe de révolution de la fixation,

- la portion conductrice est une portion de métal nu, ou une portion de métal nu recouverte d'une couche conductrice d'électricité,

la portion lubrifiante est un film solide lubrifiant ou un revêtement de résine organique comprenant des pigments d'aluminium,

- le fût de la fixation est cylindrique ou conique,

la fixation comprend en outre une chemise métallique dont un diamètre intérieur est inférieur à un diamètre extérieur du fût de la fixation,

- la portion de blocage est un filetage ou une pluralité de gorges de sertissage. L'invention concerne également une structure comportant au moins deux éléments de structure assemblés par une fixation selon un mode de réalisation de l'invention, ladite fixation étant insérée dans un perçage traversant les éléments de structure, telle que, avant insertion de la fixation dans le perçage, un diamètre intérieur du perçage est inférieur à un diamètre extérieur du fût de la fixation.

L'invention et ses différentes applications seront mieux comprises à la lecture de la description qui suit et à l'examen des figures qui l'accompagnent. Celles-ci ne sont présentées qu'à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. Les figures montrent :

- figure 1 A : une représentation schématique d'une vue en bout d'un premier exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 1 B : une représentation schématique d'une vue de côté d'un premier exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 2A : une représentation schématique d'une vue en bout d'un deuxième exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 2B : une représentation schématique d'une vue de côté d'un deuxième exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 3A : une représentation schématique d'une vue en bout d'un troisième exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 3B : une représentation schématique d'une vue de côté d'un troisième exemple de fixation selon l'invention ;

- figure 4 : une représentation schématique d'une vue de coté d'un quatrième exemple de fixation selon l'invention ; - figure 5 : une représentation schématique d'une vue de coté d'une fixation selon un premier mode de réalisation de l'invention, avant installation dans une structure;

- figure 6 : une représentation schématique d'une vue de coté d'une fixation selon un premier mode de réalisation de l'invention, après installation de la fixation dans la structure.

Les figures 1 A et 1 B représentent de manière schématique un premier exemple de réalisation de fixation selon l'invention. La figure 1 B représente une fixation métallique 10, par exemple en alliage de titane TiA6V, comprenant une tête élargie 12 protubérante, un fût lisse 14 cylindrique et une portion de blocage 16 sous la forme d'un filetage sur lequel un écrou (non représenté) peut être vissé. La fixation comprend de plus une queue de traction 18 permettant de tirer sur la tige pour l'insérer dans une structure préalablement alésée. Cette queue 18 peut-être une partie intégrale de la tige 10, ou amovible au moyen d'une extrémité filetée insérée dans une extrémité taraudée réalisée à l'intérieur de la portion filetée 16. Cette queue de traction est facultative, et peut être omise.

Le fût lisse 14, destiné à venir en contact serré avec une structure réalisée d'un ou plusieurs matériaux, métalliques ou en matériaux composites, est nu. On entend par fût lisse un fût ne comprenant ni rainure, ni saillie, de sorte que toute sa surface est en contact intime avec la structure environnante. De préférence, il est oxydé par anodisation sulfurique pour améliorer la résistance à la corrosion galvanique. La portion filetée 16 est entièrement revêtue d'une couche de lubrifiant 20, permettant d'éviter le grippage de l'écrou lors de son installation. Le fût lisse comprend également deux portions 22 de revêtement lubrifiant 20, disposées sous forme de bandes parallèles à l'axe de révolution A de la fixation. Chaque portion lubrifiante 22 s'étend sur le fût lisse 14 et une portion sous la tête 12. Les deux bandes lubrifiantes 22 sont disposées de manière diamétralement opposés par rapport à l'axe de révolution A, avec un angle de 90 ° entre chaque bande comme représenté en figure 1 A. Les surfaces 24 de fût 14 laissées entre les bandes lubrifiantes 22 sont conductrices, et s'étendent sur une longueur X de fût 14. Dans cet exemple, le fût 14 présente 50% de surface de contact lubrifié et 50% de surface conductrice d'électricité. Les portions conductrices 24 étant disposées parallèlement à l'axe de révolution A, la conduction est assurée quelle que soit la composition de la structure dans laquelle la fixation est insérée. Les portions lubrifiantes 22 permettent d'assurer une lubrification minimum du fût lisse 14 sur toute sa hauteur de sorte que la fixation puisse être installée en interférence sans exiger d'effort trop important et sans risquer de casser la fixation. Le lubrifiant 20 utilisé pour recouvrir le filetage 1 6 et constituer les portions lubrifiantes 22 peut être un film solide lubrifiant, de type MoS 2 , ou plus généralement conforme à la norme SAE AS5272. Le lubrifiant peut également être une résine organique à pigments d'aluminium, comme le revêtement H I-KOTE™ 1 ou H I-KOTE™ 1 NC commercialisé par Hi-Shear Corp. à Torrance, Californie. Ce type de revêtement est par exemple décrit dans les brevets US 3 983 304 ou EP2 406 336. Le lubrifiant peut également être du type décrit dans la norme NAS4006. Le lubrifiant 20 est déposé sur une épaisseur de 5 à 13 μηι, par exemple par pulvérisation. La tige peut être recouverte d'une deuxième couche de lubrifiant, par exemple de l'alcool cétylique. Cette deuxième couche facilite l'insertion de la fixation dans la structure, et est enlevée au fur et à mesure de l'installation car elle adhère très peu à la surface.

Les figures 2A et 2B représentent la même fixation 1 0 que celle décrite en référence aux figures 1 A et 1 B. La seule différence réside dans le nombre de portions lubrifiantes 22 appliquées sur le fût 14 lisse. Dans ces figures, le fût 14 est recouvert de quatre portions lubrifiantes 22, disposées de manière diamétralement opposés par rapport à l'axe de révolution A, avec un angle de 45° entrechaque bande comme représenté en figure 2A. Dans cet exemple, la surface totale conductrice de bandes conductrices 24 représente 50% de la surface de contact entre le fût de la fixation et la structure.

Les figures 3A et 3B représentent la même fixation 1 0 que celle décrite en référence aux figures 2A et 2B. La différence réside dans le fait que la fixation est entièrement recouverte d'une première couche conductrice 26, et comprend quatre portions lubrifiantes 22 appliquées sur la première couche conductrice 26. La couche conductrice 26 permet d'améliorer la conduction électrique entre la fixation 1 0 et la structure. Elle peut être réalisée sous la forme d'un dépôt métallique d'aluminium, d'un revêtement organique conducteur ou encore d'une conversion de surface du type anodisation.

La figure 4 représente un quatrième exemple de réalisation de l'invention. La fixation est identique à celle décrite en référence aux figures 1 A et 1 B. La différence réside dans le fait que la portion lubrifiante 22 est réalisée sous la forme d'une hélice s'enroulant autour de l'axe de révolution A de la fixation 1 0. La portion conductrice 24 est également hélicoïdale.

Le procédé d'installation en interférence d'une fixation 10 comportant une alternance de bandes électriquement conductrices et de bandes isolantes, dans un perçage 30 traversant au moins deux éléments de structures 32, 34 d'un aéronef est décrit ci-après, en relation avec les figures 5 et 6.

Pour une installation en interférence, le diamètre intérieur Di du perçage 30 est inférieur au diamètre extérieur D 2 du fût 14 de la fixation 10.

La longueur de la fixation 10 est choisie en fonction de l'épaisseur des éléments de structure 32, 34 à assembler. La longueur du fût 14 doit ainsi au moins être égale à l'épaisseur des éléments de structure à serrer, de sorte que la portion filetée 16 se trouve en dehors des éléments de structure à serrer, une fois que la tête de la fixation est au contact de l'élément de structure 32 et que le fût 14 de la fixation 10 est complètement inséré dans le perçage 30. L'insertion de la fixation 10 en interférence dans les éléments de structure se fait par exemple par poussée sur la tête 12, ou par traction de la queue de traction 18 quand la fixation 10 en comporte une.

L'invention n'est bien sûr pas limitée aux exemples donnés ci-dessus et la fixation peut varier dans ses formes et/ou les matériaux employés. Ainsi, le nombre de portions lubrifiantes 22 peut varier, et la proportion de surface recouverte de lubrifiant peut également varier en fonction des performances attendues de la fixation. Une proportion de surface conductrice de 50% de la surface de contact entre le fût de la fixation et la structure est préférable, mais cette proportion peut varier entre 20% et 80% de la surface de contact entre le fût de la fixation et la structure. La longueur X peut varier, et ne recouvrir qu'une partie du fût lisse 14, la largeur des portions conductrices 24 et lubrifiantes 22 devant être adaptées en fonction de la proportion de surface totale conductrice désirée. La portion sous la tête peut également ne pas être recouverte de lubrifiant.

En variante, la portion de blocage 16 peut être constituée de gorges de sertissages, sur lesquelles une bague métallique est sertie. Dans ce cas, la lubrification de cette portion n'est pas nécessaire.

Le fût lisse 14 peut être conique, et installé soit en interférence dans un perçage conique, soit dans une chemise dont la surface intérieure est conique et la surface extérieure est cylindrique, afin que l'ensemble soit installé dans un perçage cylindrique, plus facile à réaliser qu'un perçage conique. Lorsque le dispositif de l'invention est utilisé avec une chemise, celle-ci comprend un diamètre intérieur inférieur à un diamètre extérieur du fût de la fixation afin que la fixation, lors de son insertion, dilate radialement la chemise contre les parois du perçage réalisé dans la structure. Cette variante est particulièrement adaptée aux structures comprenant au moins une couche de matériau composite.

La tête 12 de la fixation peut être fraisée et s'adapter dans une fraisure complémentaire réalisée dans la structure.