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Patent Searching and Data


Title:
HAMMER FOR PLACING AN INSERT OR ESSE INTO LOGS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2006/064097
Kind Code:
A1
Abstract:
A hammer (1) consists of a handle (2) and an impact head (3) and is used for penetratingly placing an S-shaped insert called esse (4) on the end of a log (5) in order to stop a natural cracking (11) of wood during drying, wherein the inventive hammer is characterised in that the impact head (3) thereof comprises means for pre-holding the esse (4) prior to impact and for accompanying said esse during at least one part of the penetration thereof during impact.

Inventors:
BESSON JEAN-JACQUES (FR)
Application Number:
PCT/FR2005/002764
Publication Date:
June 22, 2006
Filing Date:
November 04, 2005
Export Citation:
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Assignee:
BESSON SAS (FR)
BESSON JEAN-JACQUES (FR)
International Classes:
B27M3/14; E01B3/06; F16B15/00
Foreign References:
US6286570B12001-09-11
FR2252771A51975-06-20
US5244328A1993-09-14
Attorney, Agent or Firm:
Bentz, Jean-paul (25A rue Proudhon, Besancon, FR)
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Marteau (1) constitué d'un manche (2) et d'une tête de frappe (3) , du type destiné à la mise en place par enfoncement d'un insert en forme de S, dit une « esse » (4) , à l'extrémité d'une grume (5), en vue d'interrompre le fissurage naturel (11) du bois en cours de séchage, caractérisé en ce que la tête de frappe (3) dudit marteau (1) comporte des moyens de prémaintien de la « esse » (4) avant la frappe, et d'accompagnement, pendant au moins une partie de son enfoncement au cours de la frappe, lesdits moyens étant constitués par deux parties en relief (6, I) 1 disposés sur une face externe plane (8) de la tête de frappe (3) , de manière diamétralement opposée, et à équidistance du centre (0) , leurs formes et dimensions étant telles à s'inscrire dans les deux boucles (9, 10) d'une « esse » (4) qui sont de forme régulière.
2. Marteau selon la revendication 1, caractérisé en ce que les parties en relief (6, 7) de la tête de frappe (3), assurant le prémaintien et l'accompagnement de la « esse » (4) , sont constituées par deux plots cylindriques, de formes et de dimensions identiques, aux contours internes des deux boucles régulières (9, 10) de la « esse » (4) .
3. Marteau selon la revendication 1, caractérisé en ce que les parties en relief de la tête de frappe (3) , assurant le prémaintien et l'accompagnement de la « esse » (4) , sont constituées par deux séries de griffes disposées en cercle, chacune desdites séries de griffes s'inscrivant dans un cylindre virtuel, de formes et de dimensions identiques, correspondant aux contours internes des deux boucles régulières (9, 10) de la « esse » (4) .
4. Marteau selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce que les plots cylindriques (6, 7) ou griffes constituant les parties en relief de la tête de frappe (3) , assurant le prémaintien et l'accompagnement de la « esse » (4) , sont au nombre de quatre, disposés en croix sur la tête de frappe (3) , deux d'entre eux, identiques et diamétralement opposés, étant • d'une certaine dimension, les deux autres, également identiques et diamétralement opposés, étant d'une dimension différente, afin de rendre le même marteau compatible avec des « esses » différentes.
5. Marteau selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les plots cylindriques (6, 7) ou griffes, assurant le prémaintien et l'accompagnement de la « esse » (4) , comportent des moyens aptes à les rendre au moins partiellement escamotables, afin de s'effacer axialement au cours de la frappe, et libérer ainsi la « esse » (4) , au moins en partie.
6. Marteau selon la revendication 5, caractérisé en ce que les plots cylindriques (6, 7) ou griffes, assurant le prémaintien et l'accompagnement de1 la « esse » (4) , comportent des moyens aptes à les rendre entièrement escamotables, afin de s'effacer axialement au cours de la frappe, et libérer totalement la « esse » (4) .
7. Marteau selon l'une des revendications 5 ou 6, caractérisé en ce que les moyens d'escamotage des plots cylindriques (6, 7) ou griffes sont constitués par deux logements cylindriques borgnes (11, 12) , diamétralement opposés, réalisés sur une plaque d'enfoncement (13) , définissant la face de frappe (8) de la tête (3) , à l'intérieur desquels logements (11, 12) sont susceptibles de coulisser lesdits plots (6, 7), à l'encontre d'organes de rappel élastique (14) , disposés entre lesdits plots (6, 7) et le fond des logements (11, 12) de la plaque d'enfoncement (13) .
8. Marteau selon la revendication 7, caractérisé en ce que les organes de rappel élastique (14) sont constitués par des ressortsspirales à compression, disposés dans des trous borgnes (17) , réalisés dans les plots cylindriques (6, 7) et en appui sur le fond des logements borgnes (11, 12) de la plaque d'enfoncement (13) dans lesquels coulissent les plots (6, 7) .
9. Marteau selon la revendication 7, caractérisé en ce que les organes de rappel élastique (14) sont constitués par des blocs en élastomère, disposés entre les plots cylindriques (6, 7) et le fond des logements borgnes (11, 12) de la plaque d'enfoncement (13) dans lesquels coulissent lesdits plots.
10. Marteau selon l'une des revendications 7 à 9, caractérisé en ce que la plaque d'enfoncement (13), définissant la face de frappe (8) de la tête (3) , est fixée sur une plaque de positionnement (18) , ellemême montée rotative sur une plaque de choc (19) , solidaire d'une masse centrale (20) disposée à l'extrémité du manche (2) , les différentes liaisons s'effectuant par l'intermédiaire d'une vis axiale (21) se vissant dans ladite masse centrale (20) .
11. Marteau selon la revendication 10, caractérisé en ce que la rotation de la plaque d'enfoncement (13) , sur laquelle sont montés coulissant les plots cylindriques (6, 7) , et de la plaque de positionnement (18) qui lui est solidaire, est obtenue par l'intermédiaire d'un jeu subsistant entre lesdites plaques (13, 18) et la plaque de choc (19) après serrage de la vis de liaison (21) .
12. Marteau selon la revendication 11, caractérisé en ce que les moyens de freinage et de positionnement sont intercalés entre la plaque d'enfoncement (13) , associée à la plaque de positionnement (18) qui sont rotatives, et la plaque de choc (19) .
13. Marteau selon la revendication 12, caractérisé en ce que les moyens de freinage et de positionnement des plaques d'enfoncement (13) et de positionnement (18) , rotatives par rapport à la plaque de choc (19) , sont constitués par au moins un aimant cylindrique (23) , logé dans un logement correspondant (24) de la plaque de choc (19) , et débouchant au moins en direction de la plaque de positionnement (18) qui lui est associée rotativement après montage.
14. Marteau selon la revendication 13, caractérisé en ce que les aimants de freinage et de positionnement (23) des plaques d'enfoncement (13) et de positionnement (18) rotatives, sont au nombre de deux et sont disposés sur la plaque de choc (19) de manière diamétralement opposée par rapport à son centre (O) .
15. Marteau selon l'une des revendications 1 à 14, caractérisé en ce que la « esse » (4) est en matière plastique déformable élastiquement.
Description:
MARTEAU DESTINE A LA MISE EN PLACE D'UN INSERT OU « ESSE » DANS LES GRUMES

La présente invention concerne un marteau destiné à la mise en place, par enfoncement, d'un insert en forme de S, dit une « esse », à l'extrémité d'une grume, en vue d'interrompre le fissurage naturel du bois en cours de séchage. Initialement, ces inserts, appelés fer à biseau, étaient en forme de S, et communément appelés « esse » .

Au fil des années, bon nombre d'inconvénients ont été remarqués par l'utilisation du métal, qui a été progressivement remplacé par la matière plastique.

C'est ainsi que ces « esses » en matière plastique permettent non seulement de resserrer les fentes et gerçures des grumes, afin de les empêcher de continuer comme le faisaient les « esses » métalliques, mais présentent de plus l'avantage de ne pas rouiller, et donc de ne pas tacher le bois, destiné à la fabrication des meubles par exemple.

Un autre avantage réside dans la possibilité de les scier, raboter, sans aucun risque pour l'outillage utilisé.

Egalement, elles résistent à la vapeur et à l'eau chaude, dans les étuves ou séchoirs, ainsi qu'au chaud et au froid.

Egalement, ce qui est très important, leur présence ne laisse aucune trace sur les couteaux des trancheuses et dérouleuses, en scierie.

Enfin, elles diminuent les frais d'expédition car le poids est inférieur aux esses métalliques.

Ces « esses », qu'elles soient en métal ou en matière plastique, sont habituellement enfoncées au marteau, mais l'enfoncement n'est pas obtenu de manière régulière, mais selon des zones correspondant aux frappes du marteau, ce qui risque de détériorer la « esse ».

II est à noter que d'autres formes d'inserts ont déjà également été proposées, mais il s'est avéré que le S était la forme idéale contrairement à d'autres formes qui resserrent les fissures, mais en provoquent d'autres.

Selon une première phase de la démarche inventive, il a été estimé, non seulement que l' insert en forme de S, ou « esse », devait être privilégié, mais également que beaucoup d'inconvénients étaient liés à leur enfoncement irrégulier, comme évoqué ci-dessus.

Il a donc été recherché des moyens associés au marteau, permettant un enfoncement régulier du S au cours d'une frappe unique.

Ont été également recherchés des moyens permettant une orientation de la « esse » par rapport au marteau, car la grume étant au sol dans une certaine position, et inamovible du fait de son poids, il n'est pas question, bien entendu, d'orienter les fissures en

bougeant la grume, mais il fallait plutôt orienter le marteau par rapport à la fissure.

La présente invention a pour but de remédier aux inconvénients précités, et d'atteindre les buts qui viennent d'être évoqués. Elle concerne à cet effet un marteau constitué d'un manche et d'une tête de frappe, du type destiné à la mise en place par enfoncement d'un insert en forme de S, dit une « esse », à l'extrémité d'une grume, en vue d'interrompre le fissurage naturel du bois en cours de séchage, caractérisé en ce que la tête de frappe dudit marteau comporte des moyens de pré-maintien de la « esse » avant la frappe, et d'accompagnement, pendant au moins une partie de son enfoncement au cours de la frappe.

Il est à noter que la « esse » pourra être de toute matière, y compris métallique, mais préférentiellement, il s'agira d'une « esse » en matière plastique déformable élastiquement .

La présente invention concerne également les caractéristiques qui ressortiront au cours de la description qui va suivre, et qui devront être considérées isolément ou selon toutes leurs combinaisons techniques possibles.

Cette description donnée à titre d'exemple non limitatif, fera mieux comprendre comment l'invention peut être réalisée en référence aux dessins annexés sur lesquels:

La figure 1 représente en perspective un marteau destiné à la mise en place d'une « esse », selon l'invention.

Les figures 2 et 3 représentent, en coupe, un marteau selon la figure 1, respectivement avec une

« esse » en position sur la tête, avant enfoncement dans la grume, et avec une « esse » une fois enfoncée dans la grume.

La figure 4 représente une vue éclatée, en coupe, du marteau, selon l'invention représentée sur les figures 1, 2 et 3, dans le sens de montage des différents éléments entre eux. Les figures 5, 6 et 7 représentent respectivement, en vue en plan, en vis-à-vis des éléments en coupe correspondants, une plaque d'enfoncement, une plaque de positionnement, une plaque de choc.

Les figures 8, 9 et 10 représentent une vue en plan d'une tête de marteau montée, dans trois positions différentes, en fonction de la fente de la grume à stopper, après avoir effectué un mouvement rotatif de la plaque d'enfoncement et de la plaque de positionnement associée. La figure 11 représente, en perspective, une

« esse » destinée à être mise en place par le marteau, selon les figures 1 à 10.

Le marteau 1, désigné globalement sur les figures, est constitué d'un manche 2 et d'une tête de frappe 3.

Il est destiné à la mise en place par enfoncement d'un insert en forme de S, communément une « esse » 4, à l'extrémité d'une grume 5, en vue d'interrompre le fissurage naturel 11 du bois en cours de séchage.

Selon l'invention, la tête de frappe 3 dudit marteau 1 comporte des moyens de pré-maintien de la « esse » 4 avant la frappe, et d'accompagnement pendant

au moins une partie de son enfoncement pendant la frappe.

Les moyens de pré-maintien et d'accompagnement de la « esse » 4 sont constitués par deux parties en relief 6, 7, disposés sur une face externe plane 8 de la tête de frappe 3, de manière diamétralement opposée, et à équidistance du centre 0, leurs formes et dimensions étant telles à s'inscrire dans les deux boucles 9, 10 d'une « esse » 4 qui sont de forme régulière.

Selon le présent exemple de réalisation, les parties en relief 6, 7 de la tête de frappe 3, assurant le pré-maintien et l'accompagnement de la « esse » 4, sont constituées par deux plots cylindriques, de formes et de dimensions identiques, aux contours internes des deux boucles régulières 9, 10 de la « esse » 4. Ces plots pourront être pleins ou creux.

Selon un exemple de réalisation non représenté, les parties en relief de la tête de frappe 3, assurant le pré-maintien et l'accompagnement de la « esse » 4, sont constituées par deux séries de griffes disposées en cercle, chacune desdites séries de griffes s'inscrivant dans un cylindre virtuel, de formes et de dimensions identiques, correspondant aux contours internes des deux boucles régulières 9, 10 de la « esse » 4.

Egalement de manière non représentée, les plots cylindriques 6, 7 ou griffes constituant les parties en relief de la tête de frappe 3, assurant le pré-mainfe-ien et l'accompagnement de la « esse » 4, sont au nombre de

quatre, disposés en croix sur la tête de frappe 3, deux d'entre eux, identiques et diamétralement opposés, étant d'une certaine dimension, les deux autres, également identiques et diamétralement opposés, étant d'une dimension différente, afin de rendre le même marteau compatible avec des « esses » différentes.

Selon une autre caractéristique de l'invention, représentée sur les figures à titre d'exemple de réalisation, les plots cylindriques 6, 7 ou griffes, assurant le pré-maintien et l'accompagnement de la « esse » 4, comportent des moyens aptes à les rendre au moins partiellement escamotables, afin de s'effacer axialement au cours de la frappe, et libérer ainsi la « esse » 4, au moins en partie.

Préférentiellement, les plots cylindriques 6, 7 ou griffes, assurant le pré-maintien et l'accompagnement de la « esse » 4, comportent des moyens aptes à les rendre entièrement escamotables, afin de s'effacer axialement au cours de la frappe, et libérer totalement la « esse » 4.

Selon le présent exemple de réalisation, les moyens d'escamotage des plots cylindriques 6, 7 ou griffes sont constitués par deux logements cylindriques borgnes 11, 12, diamétralement opposés, réalisés sur une plaque d'enfoncement 13, définissant la face de frappe 8 de la tête 3, à l'intérieur desquels logements 11, 12 sont susceptibles de coulisser lesdits plots 6,

I 1 à l'encontre d'organes de rappel élastique 14, disposés entre lesdits plots 6, 7 et le fond des logements 11, 12 de la plaque d'enfoncement 13.

Comme on le voit bien sur les figures 2, 3 et 4, la course des plots 7 est limitée par un épaulement supérieur périphérique 15 des logements 11, 12 de la plaque d'enfoncement 13. Ces épaulements 15 coopèrent avec un épaulement complémentaire périphérique 16 des plots 6, 7.

Selon le présent exemple de réalisation, les organes de rappel élastique 14 sont constitués par des ressorts-spirales à compression, disposés dans des trous borgnes 17, réalisés dans les plots cylindriques 6, 7 et en appui sur le fond des logements borgnes 11, 12 de la plaque d'enfoncement 13 dans lesquels coulissent les plots 6, 7.

De manière à obtenir un bon équilibre des plots 6,

7 en cours de déplacement à l'encontre des ressorts 14, ceux-ci, ainsi bien entendu que leur logement respectif 17, sont au nombre de trois et disposés à 120° par rapport au centre des plots 6, 7.

Selon une variante de réalisation non représentée, les organes de rappel élastique 14 sont constitués par des blocs en élastomère, disposés entre les plots cylindriques 6, 7 et le ' fond des logements borgnes 11, 12 de la plaque d'enfoncement 13 dans lesquels coulissent lesdits plots.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la plaque d'enfoncement 13, définissant la face de frappe

8 de la tête 3, est fixée sur une plaque de positionnement 18, elle-même montée rotative sur une plaque de choc 19, solidaire d'une masse centrale 20 disposée à l'extrémité du manche 2, les différentes

liaisons s'effectuent par l'intermédiaire d'une vis axiale 21 se vissant dans ladite masse centrale 20.

Cette rotation d'une partie de la tête 1, constituée par la plaque d'enfoncement 13, les plots 6,

7 et la plaque de positionnement 18, par rapport à la plaque de choc 19, permet de positionner la « esse » 4 sur le marteau par rapport à l'orientation des fentes se trouvant à l'extrémité d'une grume 5, selon le but recherché.

La rotation de la plaque d'enfoncement 13, sur laquelle sont montés coulissant les plots cylindriques 6, 7, et de la plaque de positionnement 18 qui lui est solidaire, est obtenue par l'intermédiaire d'un jeu subsistant entre lesdites plaques 13, 18 et la plaque de choc 19 après serrage de la vis de liaison 21.

Il est à noter que la plaque d'enfoncement 13 est solidarisée de la plaque de positionnement 18 par l'intermédiaire de vis 22 (figure 4) .

Selon une autre caractéristique de l'invention, les moyens de freinage et de positionnement sont intercalés entre la plaque d'enfoncement 13, associée à la plaque de positionnement 18 qui sont rotatives, et la plaque de choc 19.

Ces moyens de freinage et de positionnement des plaques d'enfoncement 13 et de positionnement 18, rotatives par rapport à la plaque de choc 19, sont constitués par au moins un aimant cylindrique 23, logé dans un logement correspondant 24 de la plaque de choc 19, et débouchant au moins en direction de la plaque de

positionnement 18 qui lui est associée rotativement après montage.

Selon le présent exemple de réalisation, les aimants de freinage et de positionnement 23 des plaques d'enfoncement 13 et de positionnement 18 rotatives, sont au nombre de deux et sont disposés sur la plaque de choc 19 de manière diamétralement opposée par rapport à son centre 0.

Préférentiellement, la « esse » 4 est en matière plastique élastiquement déformable, mais elle pourrait bien entendu être de toute autre matière.