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Title:
DEVICE FOR CULTIVATING VEGETATION AND USE FOR URBAN WATER AND PLANT MANAGEMENT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2019/211553
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to elements (1) that are prefabricated, preferably by moulding, particularly designed to be used for landscaping streets, particularly pedestrian ones. The invention specifically relates to elements for cultivating vegetation, particularly plants, especially designed to be used for landscaping streets and squares, particularly pedestrian ones. The invention also relates to the use of prefabricated elements (1) for treating rainwater and/or effluent from buildings.

Inventors:
STEPHAN ELODIE (FR)
Application Number:
PCT/FR2019/050986
Publication Date:
November 07, 2019
Filing Date:
April 26, 2019
Export Citation:
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Assignee:
STEPHAN ELODIE (FR)
International Classes:
E01C11/22; A01G9/02; E03F1/00; E03F5/04
Foreign References:
US4689145A1987-08-25
US20060076300A12006-04-13
US20110147303A12011-06-23
AU2008201960B22014-09-11
JPS5464738U1979-05-08
Attorney, Agent or Firm:
NOVAGRAAF TECHNOLOGIES (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Elément préfabriqué (1 ), de préférence par moulage, destinés notamment à être utilisés pour l'aménagement d'ailés et/ou de places notamment piétonnières, comprenant un contenant creux comprenant :

- 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4),

- un fond (6),

- une plaque amovible verticale (14) de hauteur H séparant en deux volumes V2 et V3 le volume intérieur V1 dudit contenant,

- tout ou partie des parois verticales 3, 5, 4 définissant le volume V3 ayant une hauteur (H) supérieure à la hauteur (h) de tout ou partie des parois verticales 2, 3, 4 délimitant du volume V2,

- les parties des parois 3 et 4 définissant volume V2 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant face.

- la plaque amovible reposant dans l’élément préfabriqué dans un creux (12) aménagé dans au moins une des parois verticales (3) et (4) ou dans un élément rapporté (34) sur au moins une des parois verticales (3) et (4).

2. Elément préfabriqué selon la revendication 1 dans lequel le contenant est moulé en béton.

3. Elément préfabriqué selon la revendication 1 ou 2 dans lequel les parois verticales (2, 3, 4, 5) comprennent à l'extrémité axiale supérieure une surface, de préférence plane, définissant un bord supérieur (16).

4. Elément préfabriqué selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le volume V2 constitue un 1er contenant (17) pour irrigation et le volume V3 constitue un 2nd contenant (18) pour un substrat de culture.

5. Elément préfabriqué selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel la plaque amovible verticale (14) comprend au moins un moyen d’échanges (22) entre les volumes V2 et V3.

6. Elément préfabriqué selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel la largeur des parois verticales (2, 3, 4, 5) augmente à partir de l’extrémité axiale supérieure vers l’extrémité axiale inférieure de ladite paroi verticale.

7. Eléments préfabriqués selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel le fond (6) comprend au moins un moyen d’échanges (32). 8. Eléments préfabriqués selon l’une quelconque des revendications précédentes comprenant au moins un moyen de liaison (33) entre au moins un orifice (13) des parois 3 et 4 se faisant face.

9. Elément préfabriqué (1 ) destiné notamment à être utilisés pour l'aménagement d'ailés notamment piétonnières, comprenant un contenant creux comprenant :

- 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4),

- un fond (6),

- une plaque amovible sensiblement verticale (14) de hauteur H séparant en deux volumes V2 et V3 le volume intérieur V1 dudit contenant,

- tout ou partie des parois 3, 5, 4 définissant le volume V3 ayant une hauteur H supérieure à la hauteur h de tout ou partie des parois 2, 3, 4 délimitant du volume V2, - les parties des parois 3 et 4 définissant volume V2 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant faces et/ou les parois 2 et 5 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant faces.

- la plaque amovible reposant dans l’élément préfabriqué dans un creux (12) aménagé dans au moins une des parois verticales (3),

(4) ou dans un élément rapporté (34) sur au moins une des parois verticales (3), (4).

10. Elément préfabriqué selon la revendication 9 dans lequel la plaque amovible sensiblement verticale (14) comprend deux parties A et B, la partie A correspondant à la partie supérieure et la partie B correspondant à la partie inférieure de la plaque amovible lorsqu’elle repose dans l’élément préfabriqué (1 ). 11. Elément préfabriqué selon la revendication 10 dans lequel la partie supérieure A est verticale et forme avec la partie B de la plaque amovible lorsqu’elle repose dans l’élément préfabriqué (1 ) un angle faisant face au volume V3 compris de 90 à 180°, par exemple de 110 à 180.

Description:
DISPOSITIF POUR CULTURE DE VEGETAUX ET UTILISATION POUR

BOCAGE URBAIN DESCRIPTION

Domaine technique

La présente invention se rapporte à des éléments préfabriqués (1 ), de préférence par moulage, destinés notamment à être utilisés pour l'aménagement d'allées et de places notamment piétonnières.

En particulier, la présente invention se rapporte à des éléments pour la culture de végétaux, en particulier de plantes, destinés notamment à être utilisés pour l'aménagement d'allées et de places notamment piétonnières.

La présente invention a également pour objet l’utilisation des éléments préfabriqués (1 ) pour le traitement des eaux de pluies et/ou d’effluents de bâtiments.

Etat de la technique

Le traitement et/ou évacuation des eaux de pluies et/ou des eaux usées et/ou effluents liquides de bâtiments est un domaine pour lesquels il y a des besoins constants. En effet les pratiques drastiques d’évacuation d’eau de pluie établies depuis 20 ans ne peuvent être maintenues, d’une part en raison de l’extension des villes, de la densification des territoires, et d’autre part parce que la technique actuelle ne répond pas aux volumes de précipitations dont les régimes ont tendance à apparaître plus violents et plus concentrés.

Par exemple, le Plan Pluie de Paris correspond au plan d’action associé au plan de zonage qui est réglementaire et renseigne le Plan de loi sur L’urbanisme (PLU). C’est un projet établi sur 20 ans qui favorise l’abattement plutôt que la détention. L’abattement est mesuré en mm, typiquement jusqu’à 16mm (période de retour de 6 mois). L’objectif principal de ce projet est de stopper l’accroissement des flux d’eau vers, pour la région parisienne, la Seine en temps de pluie et d’éviter que les nouvelles zones imperméabilisées n’augmentent les flux d’eau vers la Seine. A Paris, le rejet doit donc être limité au débit de 10L/s/ha en prenant en compte l’abattement pluvial en fonction de sa rétention au nord de Paris et de sa filtration à la source.

Il existe donc un réel besoin de trouver un moyen palliant ces défauts, inconvénients et obstacles de l’art antérieur, en particulier d’un procédé/moyen permettant de réduire les flux d’eau, notamment lors de précipitations importantes et/ou de prolonger, réduire les coûts et d’améliorer le traitement de l’écoulement des eaux de pluie.

Le respect du cycle naturel de l’eau présente des avantages écologiques certains : le maintien de la qualité de l’air et du climat ; le renouvellement des eaux de surface ou souterraines et leur oxygénation ; la maîtrise des inondations par le maintien des zones humides, l’infiltration naturelle, la rétention et l’évaporation en surface. Il existe clairement un besoin de gérer autrement l’assainissement pluvial, c’est principalement infiltrer la goutte d’eau au plus près, la stocker, la restituer à faible débit. Afin d’optimiser la gestion naturelle des eaux pluviales, surfaces d’infiltration et de tamponnement doivent aujourd’hui participer plus étroitement à l’organisation des espaces publics.

Afin d’utiliser les eaux de pluie, des jardins de pluie peuvent être élaborés. Il s’agit notamment d’ouvrages végétalisés également nommer ouvrages de biorétention. Ils utilisent les fonctions écosystémiques pour gérer les flux d’eau ruissellement et de polluants provenant d’une surface imperméabilisée. En fonction du contexte du lieu (urbanisme, hydrogéologie, pédologie...), les eaux peuvent être infiltrées ou drainées vers un réseau d’assainissement ou un milieu aquatique de surface.

Les jardins de pluie sont largement diffusés en Amérique du Nord et en Australie, s’inscrivant dans les paradigmes de low-impact development (développement à moindre impact, Etats-Unis) et water sensitive urban design (urbanisme sensible à l’eau, Australie).

Un système de panneau modulaire, préfabriqué et commercialisé sous la marque de commerce Freno™ par la société Concrète products group, permet une alimentation en eau de jardin de pluie dans différentes typologies de voiries. L’eau, par exemple issue du ruissellement des trottoirs et/ou des routes étant par la suite, comme dans tout jardin, éventuellement de la traiter et filtrer naturellement.

Il existe également des systèmes de rétention d’eau de pluie qui peuvent être installé au pied des gouttières, permettant, le cas échéant une utilisation postérieure de l’eau retenue pour l’irrigation de jardin. En Australie, les dispositifs « Inground rain garden » et « Vegetable rain garden » développés par the Melbourne Water Corporation proposent des micro systèmes de rétention installés au pied des descentes de gouttières, qui permettent la création d’un jardin ornemental ou potager, installés dans les sol en pied de bâtiment ou encore posés à même le sol.

La ville et son organisation négligent encore trop la dimension naturelle des lieux, en gérant la nature indépendamment des réseaux d’eau et de transports. Vue comme un espace rationnel utopique, elle est la volonté d’instrumentaliser le territoire, mais elle oublie qu’il s’agit d’un lieu avec des particularités, où espaces fonctionnels et espaces de vie pourraient d’avantage communiquer.

Il existe un réel besoin de trouver un moyen permettant l’incorporation de zones de vie, par exemple d’espaces verts, notamment de culture de végétaux et/ou de plantes dans les villes et/ou les voiries.

Il existe également un réel besoin de trouver un moyen permettant à la fois de de réguler et/ou de réduire les flux d’eau, notamment lors de précipitations importantes et/ou prolongées, par exemple dans les égouts, et d’incorporer des zones de vie, par exemple d’espaces verts, notamment de culture de végétaux et/ou de plantes dans les villes et/ou les voiries. Description de l’invention

La présente invention permet de résoudre les inconvénients et obstacles de l’art antérieur en fournissant un élément préfabriqué (1 ), de préférence par moulage, destinés notamment à être utilisé pour l'aménagement d'allées et de places, notamment piétonnières, et/ou de voiries comprenant un contenant de forme essentiellement cubique comprenant une face ouverte et deux volumes V2 et V3 séparées par une plaque amovible (14), dans lequel le volume V2 constitue un 1 er contenant (17) permettant une rétention d’eau et/ou irrigation et le volume V3 constitue un 2 nd contenant (18) susceptible de comprendre un substrat de culture de végétaux et/ou de plantes.

La présente invention permet également de résoudre les inconvénients et obstacles de l’art antérieur en fournissant un élément préfabriqué (1 ), de préférence par moulage, destinés notamment à être utilisé pour l'aménagement d'allées et de places, notamment piétonnières, et/ou de voiries comprenant un contenant de forme essentiellement parallélépipédique comprenant une face ouverte et deux volumes V2 et V3 séparées par une plaque amovible (14), dans lequel le volume V2 constitue un 1 er contenant (17) permettant une rétention d’eau et/ou irrigation et le volume V3 constitue un 2 nd contenant (18) susceptible de comprendre un substrat de culture de végétaux et/ou de plantes.

Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention peut être disposé dans la structure de la voirie, par exemple de route et/ou dans la structure d’ailés, par exemple piétonnières.

Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention peut être installé dans les fondations de la voirie, par exemple de la route et/ou dans des d’allées, par exemple piétonnières

Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention peut être installé hors sol c’est à dire posé à même le sol, par exemple sur l’espace public, par exemple sur des allées, parvis permettant avantageusement une installation rapidement. Avantageusement lors de son utilisation hors sol, l’élément préfabriqué selon l’invention peut être utilisé pendant une courte à moyenne durée, par exemple lors d’évènement, d’animation de l’espace public et/ou en fonction de rafraîchissement apporté pendant le période estivale.

L’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention peut être avantageusement installé à moindre coût et à grande échelle, notamment grâce à une installation rapide permise par l’élément préfabriqué modulaire, contrairement à un bassin coulé sur place. En particulier l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention peut être avantageusement installé de manière linéaire en série, par exemple cote à cote ou encore dos à dos, permettant former un maillage linéaire plus ou moins long et large d’installations paysagères autonomes, esthétiques et fonctionnelles, à l’image du paysage bocager. Mis en série, l’élément préfabriqué selon l’invention peut permettre avantageusement de collecter l’eau issue des toitures, par exemple issue de descentes de gouttières et/ou de la voirie, par exemple des bordures de trottoirs et/ou de caniveaux et/ou issue du ruissellement de la route. Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) dans lequel le volume V2 constitue un 1 er contenant (17) permettant une rétention d’eau et/ou irrigation et le volume V3 constitue un 2 nd contenant (18) susceptible de comprendre un substrat de culture de végétaux et/ou de plantes est un système de bio rétention permet une gestion alternative des eaux de pluie, par exemple de par leurs rétention et/ou filtration et/ou élimination permettant avantageusement d’améliorer la qualité écologique des projets urbains, par exemple en diminuant la quantité d’eau allant à l’égout et/ou en permettant la culture de végétaux et/ou de plantes dans des zones urbaines. Ainsi, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet avantageusement de réduire les coûts et/ou frais liés notamment à l’évacuation et/ou traitement des eaux de pluie et/ou d’effluents liquides de bâtiments. De même, l’élément préfabriqué permet une réduction de la pollution induite par le rejet dans le milieu naturel des eaux pluviales pouvant être chargées de polluants divers, par exemple de métaux lourds etc.

En outre, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention après installation peut avantageusement être utile pour la sécurisation des piétons notamment par la formation d’une barrière naturelle, par exemple formée par les végétaux et/ou les plantes, entre les voix de circulation de véhicules et l’allés piétonnières.

En outre, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention après installation peut avantageusement être utile pour la structuration d’espaces publiques, par exemple de places en milieu urbain.

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet l’obtention d’une synergie entre la culture de végétaux et la gestion des eaux pluviales, permettant ainsi de s’affranchir de la nécessité d’arrosage du végétal. Avantageusement l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet l’obtention d’une culture de végétaux et/ou plantes autonome en eau.

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention peut être installé dans les fondations de voiries et/ou d’ailé, notamment piétonnière, il présente une faible prise au sol dans les zones de circulations et peut être ainsi installé dans des espaces relativement contraints.

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet un partage et d’organisation des trottoirs avec des zones végétalisées qui peuvent, par exemple être des barrières naturelles délimitant le ou les espace(s) de circulation. En d’autres termes, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet avantageusement une transformation la perception de l’espace dans lequel il est installé et y apporte un relief via la culture de végétaux et/ou plantes. L’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet avantageusement de former une trame végétale, par exemple linéaire, à proximité de bâtiments, de parcelliser les allés et/ou voies piétonnes, et avantageusement d’isoler les passants et/ou piétons de voie de circulation de véhicules, par exemple motorisés ou non motorisés.

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet, par exemple par rétention des eaux de pluie et/ou absorption de l’eau par les végétaux et/ou plantes, de freiner le phénomène de crue (abattement).

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet, par exemple de réduire et/ou limiter l’imperméabilisation des sols, par exemple dans les villes, et avantageusement permet de réinstaurer un équilibre entre végétal et minéral.

Avantageusement, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention permet de manière synergique un traitement des eaux, par exemple de pluies, et un aménagement paysager, permettant avantageusement une régénération du sol urbain et un apport au citadin d’espace naturalisé durable dans le temps.

En particulier la présente invention a pour objet un élément préfabriqué (1 ) destiné notamment à être utilisés pour l'aménagement d'ailés notamment piétonnières, comprenant un contenant creux comprenant :

- 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4),

- un fond (6),

- une plaque amovible verticale (14) de hauteur H séparant en deux volumes V2 et V3 le volume intérieur V1 dudit contenant,

- tout ou partie des parois 3, 5, 4 définissant le volume V3 ayant une hauteur H supérieure à la hauteur h de tout ou partie des parois 2, 3, 4 délimitant du volume V2,

- les parties des parois 3 et 4 définissant volume V2 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant faces.

- la plaque amovible reposant dans l’élément préfabriqué dans un creux (12) aménagé dans au moins une des parois verticales (3), (4) ou dans un élément rapporté (34) sur au moins une des parois verticales (3), (4).

La présente invention a également pour objet un élément préfabriqué (1 ) destiné notamment à être utilisé pour l'aménagement d'allées notamment piétonnières, comprenant un contenant creux comprenant :

- 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4),

- un fond (6),

- une plaque amovible sensiblement verticale (14) de hauteur H séparant en deux volumes V2 et V3 le volume intérieur V1 dudit contenant,

- tout ou partie des parois 3, 5, 4 définissant le volume V3 ayant une hauteur H supérieure à la hauteur h de tout ou partie des parois 2, 3, 4 délimitant du volume V2,

- les parties des parois 3 et 4 définissant volume V2 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant faces et/ou les parois 2 et 5 comprend chacune au moins un orifice (13) se faisant faces.

- la plaque amovible reposant dans l’élément préfabriqué dans un creux (12) aménagé dans au moins une des parois verticales (3),

(4) ou dans un élément rapporté (34) sur au moins une des parois verticales (3), (4).

Dans la présente par « éléments préfabriqués » on entend un élément et/ou dispositif qui peut être fabriqué, préalablement à son utilisation et/ou installation et/ou à sa mise à disposition et/ou à sa commercialisation.

Selon l’invention, l’élément préfabriqué peut être en tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple d’un matériau composite disponible dans le commerce. Par exemple, l’élément préfabriqué peut être en un matériau ayant une résistance à la compression supérieure à 35 MPa. Il peut s’agir par exemple d’un matériau choisi dans le groupe comprenant le béton ordinaire, le béton haute performance, le béton armé, le béton fibré, par exemple le béton fibré ultra- haute performance (BFUP), de matériau plastique. Il peut s’agir par exemple de tout matériau plastique connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa, par exemple de matériau plastique de récupération, par exemple tout venant, non pur, mélangé, chargé sans précision, fibré.

Dans la présente, la mesure de la résistance à la compression d’un matériau peut être déterminée selon la norme NF EN 206-1.

Dans la présente, les termes verticale, supérieure, inférieur sont définis en référence lorsque le dispositif repose sur le fond.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent être indépendamment en tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Par exemple les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent être indépendamment en tout matériau connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Il peut s’agir par exemple de tout matériau composite connu de l’homme du métier disponible dans le commerce ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Par exemple, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent être indépendamment en un matériau choisi dans le groupe comprenant le béton ordinaire, le béton haute performance, le béton armé, le béton fibré, par exemple le béton fibré ultra-haute performance (BFUP), de matériau plastique. Il peut s’agir par exemple de tout matériau plastique connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa, par exemple de matériau plastique de récupération, par exemple tout venant, non pur, mélangé, chargé sans précision, fibré.

Dans la présente, la mesure de la résistance à la compression d’un matériau peut être déterminée selon la norme NF EN 206-1.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) comprennent indépendamment et respectivement une face interne 2’, 3’, 4’ et 5’ et une face externe 2”, 3”, 4” et 5”. Selon l’invention, les faces internes 2’, 3’, 4’ et 5’ des parois verticales peuvent indépendamment en outre être recouverte(s) par tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple d’un matériau de surface choisi dans le groupe comprenant un revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur, revêtement à fonction traitante, revêtement à fonction de captation et /ou revêtement à fonction "positive" ou un quelconque mélange de ceux-ci.

Dans la présente, par revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur, on entend tout matériau et/ou composé connus de l’homme du métier pour l’étanchéification de surface. Il peut s’agir par exemple de tout additif disponible dans le commerce connus de l’homme du métier utile pour traitement dans la masse de matériaux, par exemple un additif hydrofuge pour le béton par exemple Sika® Hydrofuge HW.

Dans la présente, par revêtements de surface revêtement à fonction traitante, on entend tout matériau et/ou composé et/ou composition connus de l’homme du métier pour le traitement de surface. Il peut s’agir par exemple de matériau et/ou composé choisi dans le groupe comprenant au moins un fongicide, bactéricide, insecticide et/ou antiodeur et/ou mélange de ceux-ci.

Selon l’invention, le fongicide peut être tout fongicide connu de l’homme du métier, il peut s’agir par exemple d’un fongicide choisi dans le groupe comprenant prothiocarbe, zinèbe, manèbe, mancozèbe, propinèbe, thirame, carbatène. bénomyl, carbendazime, fuberidazole, thiabendazole, propamocarbe, diéthofencarbe, fénapanil, imazalil, prochloraze, triflumizole, buthiobate, fénarimol, pyrifénox, triforine, aldimorphe, dodémorphe, fenpropimorphe, tridémorphe, trimorphadine, bitertanol, cyproconazole, dichlobutrazole, diniconazole, étaconazole, flusilazol, flutriafol, penconazol, propiconazole, triadimefon, triadimenol, triflumazole. Selon l’invention, le bactéricide peut être tout bactéricide connu de l’homme du métier, il peut s’agir par exemple bactéricide choisi dans le groupe comprenant l’hypochlorite de sodium.

Selon l’invention, l’insecticide peut être tout insecticide connu de l’homme du métier, il peut s’agir par exemple d’un insecticide chimique ou naturel. Il peut s’agir par exemple d’un insecticide chimique choisi dans le groupe comprenant les composés organophosphorés, les carbamates, les pyréthrinoïdes de synthèse, les organochlorés, les benzoylurées. peut s’agir par exemple d’un insecticide naturel choisi dans le groupe comprenant un dérivé du pyréthre, une roténone, la nicotine, l'azadirachtine, l’azadirine, la quassine, la ryanodine, l'aconitine, le géraniol, le piment ou un quelconque mélange de ceux-ci.

Selon l’invention, l’antiodeur peut être tout antiodeur connu de l’homme du métier disponible dans le commerce.

Dans la présente, par revêtements de surface à fonction de captation, on entend tout matériau et/ou composé et/ou composition connus de l’homme du métier pour le susceptible d’être appliqué sur une surface et de se lier et/ou capter des composés et/ou molécules. Il peut s’agir par exemple de matériau et/ou composé et/ou composition permettant de lier des polluants, par exemple des métaux lourds.

Dans la présente, par revêtements de surface à fonction "positive" on entend tout matériau et/ou composé et/ou composition connus de l’homme du métier pour le susceptible d’être appliqué sur une surface et de comprendre par exemple au moins un nutriments et/ou composé favorisant, par exemple la culture de plantes.

Selon l’invention, les faces externes 2”, 3”, 4” et 5” des parois verticales peuvent indépendamment en outre être recouverte(s) par tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple de matériaux de surface choisi dans le groupe comprenant un revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur, revêtement à fonction traitante, revêtement à fonction de captation et /ou revêtement à fonction "positive".

Dans la présente, le revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction traitante peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction de captation peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction "positive" peut être tel que défini ci-dessus.

Selon l’invention, sur les faces externes 2”, 3”, 4” et 5” des parois verticales peuvent être indépendamment apposé du mobilier urbain. Il peut s’agir par exemple de tout mobilier urbain adapté connu de l’homme du métier. Par exemple, il peut s’agir d’assises, par exemple d’un fauteuil, d’un banc, d’un assis-debout, d’une chaise longue, d’une table, d’un comptoir, d’un rack à vélos, d’une corbeille, d’un luminaire, d’un dispositif d’affichage, d’une signalétique ou enseigne, d’une fontaine, d’un dispositif de jeu pour enfants ou dispositif de sport.

Selon l’invention, les faces internes 2’, 3’, 4’ et 5’ des parois verticales du contenant creux définissent un volume intérieur (V1 ).

Selon l’invention, le volume intérieur V1 est le volume du contenant creux mesuré du fond jusqu’à l’extrémité supérieure des faces internes 2’, 3’, 4’ et 5’ des parois verticales. Selon l’invention le volume intérieur V1 peut être compris de 0,125 à 7,5 m 3 , par exemple de 0,5 à 3,5 m 3 . Par exemple le volume intérieur V1 peut être égale à 0,73 m 3 ou égale à 0,98 m 3 .

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) comprennent à l'extrémité axiale supérieure une surface, de préférence plane, définissant un bord supérieur (16) s’étendant le long desdits parois. Selon l’invention, le bord supérieur (16) peut être plan, incliné, par exemple de l’intérieur vers l’extérieur ou de l’extérieur vers l’intérieur. Par exemple, le bord supérieur (16) peut être incliné de l’extérieur vers l’intérieur selon une pente supérieure ou égale à 5 mm par mètre.

Selon l’invention, le bord supérieur (16) peut avoir une épaisseur (I) comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 30 à 70 mm, de préférence égale à 50 mm.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent comprendre indépendamment une épaisseur identique ou différente.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent comprendre indépendamment une épaisseur identique ou différente à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure de ladite paroi verticale. Par exemple, l’épaisseur des parois verticales (2, 3, 4, 5) peut être indépendamment comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 30 à 70 mm, de préférence égale à 50 mm. Par exemple, l’épaisseur des parois verticales (2, 3, 4, 5) peut être en outre indépendamment comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 50 à 80 mm.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent comprendre une épaisseur croissante à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales. Par exemple, l’épaisseur à l’extrémité supérieure (es) des parois verticales (2, 3, 4, 5) peut indépendamment être comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 30 à 70 mm, de préférence égale à 50 mm, et l’épaisseur à l’extrémité inférieure (ei) des parois verticales (2, 3, 4, 5) peut être comprise de 30 à 160 mm, de préférence de 45 à 110 mm, de préférence égale à 80 mm.

Selon l’invention les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent indépendamment comprendre une épaisseur croissante à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales selon un ratio épaisseur supérieure/ épaisseur inférieur compris de 0,5 à 0,7, par exemple égal à 0,625. Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent indépendamment avoir une hauteur comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1080 mm.

Selon l’invention, les parois verticales (2, 3, 4, 5) peuvent indépendamment avoir une hauteur comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1200 mm, de préférence égale à 1150 mm.

Selon l’invention, la distance entre parois latérales opposées (2) et (5) et/ou (3) et (4) peut être identique ou différente. Par exemple, la distance entre deux parois latérales opposées peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1080 mm.

Selon l’invention, la distance entre parois latérales opposées (2) et (5) et/ou (3) et (4) peut être identique ou différente. Par exemple, la distance entre deux parois latérales opposées peut être comprise de 400 à 2000 mm, de préférence de 500 à 1300 mm. Par exemple, lorsque la distance entre parois latérales opposées (2) et (5) et (3) et (4) sont différentes, la distance entre les parois latérales opposées (2) et (5) peut être comprise de 800 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1600 mm, égale à 1400 mm, la distance entre les parois latérales opposées (3) et (4) peut être comprise de 200 à 2000 mm, de préférence de 300 à 600 mm, égale à 400 mm.

Selon l’invention, lorsque les distances entre parois latérales opposées (2) et (5) et/ou (3) et (4) sont identiques, le fond (6) est cubique.

Selon l’invention, lorsque les distances entre parois latérales opposées (2) et (5) et/ou (3) et (4) sont différentes, le fond (6) est un parallélogramme, de préférence rectangulaire.

Selon l’invention, les parois verticales (3) et (4) peuvent comprendre respectivement un décrochement vertical (19) avec une hauteur de paroi h et H de part et d’autre dudit décrochement.

Selon l’invention, les parties des parois verticales (3) et (4) de hauteur h peuvent délimiter le volume V2 et les parties des parois verticales 3 et 4 de hauteur H peuvent délimiter le volume V3. Selon l’invention, la hauteur H des parois verticales (3) et (4) peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1080 mm.

Selon l’invention, la hauteur H des parois verticales (3) et (4) peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1200 mm, de préférence égale à 1150 mm.

Selon l’invention, la hauteur h des parois verticales (3) et (4) peut être comprise de 380 à 2080 mm, de préférence de 780 à 980 mm, de préférence égale à 880 mm.

Selon l’invention, la hauteur h des parois verticales (3) et (4) peut être comprise de 380 à 1800 mm, de préférence de 870 à 1970 mm, de préférence égale à 1120 mm.

Selon l’invention, la paroi verticale (3) peut comprendre un creux (12) ou un élément rapporté (34).

Selon l’invention, la paroi verticale (4) peut comprendre un creux (12) ou un élément rapporté (34).

Selon l’invention, le creux (12) peut être de forme connue de l’homme du métier dans lequel la plaque amovible (14) peut reposer. Il peut s’agir par exemple d’une rainure ou une gouttière dans laquelle la partie latérale de la plaque amovible (12) peut reposer.

Selon l’invention le creux (12) peut s’étendre sur toute la hauteur de la face interne d’au moins une des parois verticales (4) et (3).

Selon l’invention, le creux (12) peut être vertical ou sensiblement vertical par rapport au fond. Par exemple il peut former un angle compris de 70 à 90°, de préférence égale à 90° par rapport à la face interne (6”) du fond (6).

Selon l’invention le creux (12) peut avoir une profondeur dans au moins une des parois verticale de 10 à 30 mm, de préférence de 15 à 25 mm, de préférence égale à 20 mm. Selon l’invention, la largeur du creux peut être comprise de 10 à 110 mm, de préférence de 20 à 80 mm, de préférence égale à 60 mm, fonction de l’épaisseur de la plaque amovible.

Avantageusement, la paroi verticale (3) et la paroi verticale (4) peuvent comprendre chacune un creux (12) se faisant face.

Selon l’invention, l’élément rapporté (34) peut être tout élément rapporté connu de l’homme du métier dans lequel la plaque amovible (14) peut reposer et/ou être disposée. Il peut s’agir par exemple d’un élément rapporté en forme de U. Il peut s’agir par exemple d’un rail, d’une glissière.

Selon l’invention, l’élément rapporté (34) peut être en tout matériau adapté connu de l’homme du métier. Il peut être par exemple en acier galvanisé, en Polychlorure de vinyle (PVC), en aluminium.

L’homme du métier de par ses connaissances générales saura adapter et/ou choisir la forme et/ou le matériau de l’élément rapporté (34).

Selon l’invention, l’élément rapporté (34) peut avoir une profondeur dans au moins une des parois verticale de 20 à 50 mm, de préférence de 25 à 45 mm, de préférence égale à 30 mm.

Selon l’invention, la largeur de l’élément rapporté (34) peut être comprise de 20 à 120 mm, de préférence de 30 à 100 mm, de préférence égale à 75 mm, fonction de l’épaisseur de la plaque amovible.

Avantageusement, la paroi verticale (3) et la paroi verticale (4) peuvent comprendre chacune un élément rapporté (34) se faisant face.

Selon l’invention, l’élément rapporté (34) peut être disposé et/ou fixé sur la paroi par tout moyen et/ou procédé connu de l’homme du métier.

Selon l’invention, l’élément rapporté (34) peut être disposé et/ou fixé sur la paroi de manière verticale sensiblement verticale par rapport au fond. Par exemple il peut former un angle compris de 70 à 90°, de préférence égale à 90° par rapport à la face interne (6”) du fond (6).

Avantageusement, la plaque amovible (14) peut se loger dans au moins un creux (12) ou dans un élément rapporté (34) d’au moins une des parois verticales (3), (4) permettant avantageusement sa mise en place dans le volume V1 de l’élément préfabriqué (1 ) et le maintien de la plaque amovible (14).

Selon l’invention, le fond (6) peut être en tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple d’un matériau connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Il peut s’agir par exemple de tout matériau composite connu de l’homme du métier disponible dans le commerce ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Par exemple, le fond (6) peut être en en un matériau choisi dans le groupe comprenant le béton ordinaire, le béton haute performance, le béton armé, le béton fibré, par exemple le béton fibré ultra-haute performance (BFUP), de matériau plastique. Il peut s’agir par exemple de tout matériau plastique connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa, par exemple de matériau plastique de récupération, par exemple tout venant, non pur, mélangé, chargé sans précision, fibré.

Selon l’invention, l’épaisseur du fond (6) peut être comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 30 à 70 mm, de préférence égale à 50 mm.

Selon l’invention, le fond (6) peut comprendre face interne 6’ et une face externe 6”.

Selon l’invention, la face interne 6’ du fond peut indépendamment en outre être recouverte par tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple de matériaux de surface choisi dans le groupe comprenant un revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur, revêtement à fonction traitante, revêtement à fonction de captation et /ou revêtement à fonction "positive" ou un quelconque mélange de ceux-ci.

Dans la présente, le revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur peut être tel que défini ci-dessus. Dans la présente, le revêtement à fonction traitante peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction de captation peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction "positive" peut être tel que défini ci-dessus.

Selon l’invention, la face externe 6” du fond peuvent indépendamment en outre être recouverte(s) par tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple de matériaux de surface choisis dans le groupe comprenant un revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur, revêtement à fonction traitante, revêtement à fonction de captation et /ou revêtement à fonction "positive" ou un quelconque mélange de ceux-ci.

Dans la présente, le revêtement de surface pour étanchéification intérieur vers extérieur ou étanchéification extérieur vers intérieur peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction traitante peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction de captation peut être tel que défini ci-dessus.

Dans la présente, le revêtement à fonction "positive" peut être tel que défini ci-dessus. Selon l’invention, le fond (6) peut comprendre indépendamment au moins un moyen d’échange (32) entre le volume V1 et le sol sur lequel repose l’élément préfabriqué (1 ).

Selon l’invention, le fond (6) peut comprendre au moins un moyen d’échanges (32) entre le volume V2 et/ou V3 et le sol sur lequel repose l’élément préfabriqué (1 ). Selon l’invention, le moyen d’échange peut être tout moyen d’échange adapté connu de l’homme du métier. Il peut s’agir par exemple d’au moins un orifice et/ou d’un passage situé dans le fond (6). Il peut s’agir par exemple d’un orifice de forme cylindrique, ou de forme conique.

Selon l’invention, le moyen d’échange peut comprendre une pluralité d’orifices et/ou de passages situés dans le fond (6). Le moyen d’échange peut comprendre par exemple 2, 4, 8, 12, 16, 20 d’orifices et/ou de passages situés dans le fond (6)

Selon l’invention, lorsque le moyen d’échange comprend une pluralité d’orifices et/ou de passages ils peuvent avantageusement être répartis selon une forme géométrique, par exemple un quadrilatère, un losange, un carré et/ou selon un quadrillage. Par exemple, les orifices et/ou passages peuvent être répartis sous la forme d’un quadrillage uniforme, par exemple dans lequel l’espace respectif entre chaque orifice et/ou passage peut être uniforme.

Selon l’invention, la plaque amovible (14) peut être en tout matériau connu de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple d’un matériau composite disponible dans le commerce. Il peut s’agir par exemple d’un matériau connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Il peut s’agir par exemple de tout matériau composite connu de l’homme du métier disponible dans le commerce ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa. Par exemple, la plaque amovible (14) peut être en en un matériau choisi dans le groupe comprenant le béton ordinaire, le béton haute performance, le béton armé, le béton fibré, par exemple le béton fibré ultra-haute performance (BFUP), de matériau plastique. Il peut s’agir par exemple de tout matériau plastique connu de l’homme du métier ayant une résistance à la compression supérieure à 35MPa, par exemple de matériau plastique de récupération, par exemple tout venant, non pur, mélangé, chargé sans précision, fibré. Par exemple, plaque amovible (14), peut-être en un matériau composite choisi dans le groupe comprenant l’acier inoxydable, l’acier galvanisé.

Selon l’invention, la plaque amovible (14) peut avoir une épaisseur identique ou différente à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure de ladite plaque amovible. Par exemple, l’épaisseur de plaque amovible (14) peut être comprise de 20 à 100 mm, de préférence de 30 à 70 mm, de préférence égale à 50 mm.

Selon l’invention, la plaque amovible (14) peut avoir une hauteur comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1015 mm.

Selon l’invention, la largeur de la plaque amovible (14) peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1080 mm.

Selon l’invention, la largeur de la plaque amovible (14) peut être comprise de 350 à 800 mm, de préférence de 400 à 500 mm, de préférence égale à 400 mm.

Selon l’invention, la largeur de la plaque amovible (14) peut être décroissante à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales. Par exemple, la largeur de l’extrémité supérieure peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 900 à 1100 mm, de préférence égale à 1000 mm. Par exemple la largeur à l’extrémité inférieure de la plaque amovible (14) peut être comprise de 500 à 2000 mm, de préférence de 800 à 1000 mm, de préférence égale à 829 mm.

Selon l’invention, la largeur de la plaque amovible (14) peut être décroissante à partir de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales. Par exemple, la largeur de l’extrémité supérieure peut être comprise de 350 à 800 mm, de préférence de 400 à 500 mm, de préférence égale à 400 mm. Par exemple la largeur à l’extrémité inférieure de la plaque amovible (14) peut être comprise de 170 à 700 mm, de préférence de 300 à 500 mm, de préférence égale à 340 mm.

Avantageusement, la largeur de la plaque amovible (14) amovible peut être égale à la distance entre parois latérales opposées 3 et 4.

Selon l’invention, la plaque amovible (14) peut être verticale ou sensiblement verticale. La plaque amovible peut comprendre une ou plusieurs parties, par exemple la plaque amovible peut comprendre deux parties A et B, la partie A correspondant à la partie supérieure et la partie B correspondant à la partie inférieure de la plaque amovible lorsqu’elle repose dans l’élément préfabriqué (1 ).

Selon l’invention, la partie A de la plaque amovible peut être verticale et la partie B de la plaque amovible peut être sensiblement verticale. Par exemple la partie A peut former avec la partie B un angle faisant face au volume V3 compris de 90 à 180°, par exemple de 110 à 180°, de 120 à 160°, de préférence égale à 136°.

Selon l’invention, la zone de jonction entre la partie A et la partie B de la plaque amovible peut former un point d’inflexion. Selon l’invention la zone de jonction entre la partie A et la partie B de la plaque amovible peut correspondre au sommet de l’angle (A) formé et faisant face au volume V3 et/ou à la paroi 5. Selon l’invention, l’angle (A) formé entre la partie A et la partie B de la plaque amovible compris de 90 à 180°, par exemple de 1 10 à 180°, de 120 à 160°, de préférence égale à 140°.

Selon l’invention, la hauteur de partie A verticale peut être comprise de 150 à 1000 mm

Selon l’invention, la hauteur de partie B peut être comprise de 400 à 1600 mm.

Selon l’invention, le point d’inflexion et/ou le sommet de l’angle A peut être situé à une hauteur h correspondant à la hauteur h des parois verticales (3) et (4). Par exemple le point d’inflexion et/ou le sommet de l’angle A peut être situé à une hauteur h comprise de 380 à 2080 mm, de préférence de 780 à 980 mm, de préférence égale à 1010 mm.

Selon l’invention, lorsque la plaque amovible est disposée dans le contenant creux, elle peut permettre avantageusement de séparer le volume V1 du contenant en deux volumes V2 et V3.

Selon l’invention, la plaque amovible (14) peut comprendre au moins un moyen d’échanges (22) entre les volumes V2 et V3. Selon l’invention, le moyen d’échange peut être tout moyen d’échange adapté connu de l’homme du métier. Il peut s’agir par exemple d’au moins un orifice et/ou d’un passage situé dans la plaque amovible (14). Il peut s’agir par exemple d’un orifice de forme cylindrique et de forme conique.

Selon l’invention, le moyen d’échange peut comprendre une pluralité d’orifices et/ou de passages situés dans la plaque amovible (14). Le moyen d’échange peut comprendre par exemple 2, 4, 8, 12, 16, 20 d’orifices et/ou de passages situés dans la plaque amovible (14).

Selon l’invention, lorsque le moyen d’échange comprend une pluralité d’orifices et/ou de passages ils peuvent avantageusement être répartis selon une forme géométrique, par exemple un quadrilatère, un losange, un carré et/ou selon un quadrillage. Par exemple, les orifices et/ou passages peuvent être répartis sous la forme d’un quadrillage uniforme, par exemple dans lequel l’espace respectif entre chaque orifice et/ou passage peut être uniforme. Par exemple lorsque la plaque amovible (14) comprend 20 orifices et/ou passages, ils peuvent être disposés sous la forme d’un quadrillage de 5 lignes horizontales comprenant chacune 4 orifices et/ou passages. Par exemple lorsque la plaque amovible (14) comprend 20 orifices et/ou passages, ils peuvent être disposés sous la forme d’un quadrillage de 5 lignes horizontales comprenant chacune 4 orifices et/ou passages, l’espace vertical et/ou horizontal entre chacun des orifices et/ou passages peut être identique, par exemple compris de 100 à 200 mm, par exemple égale à 150 mm.

Selon l’invention, lorsque la plaque amovible (14) comprend plusieurs parties, par exemple la plaque amovible comprendre deux parties A et B, avantageusement la partie B correspondant à la partie inférieure de la plaque amovible lorsqu’elle repose dans l’élément préfabriqué (1 ) peut comprendre au moins un moyen d’échanges (22).

Avantageusement, lorsque le moyen d’échange est un orifice de forme conique, le diamètre de l’orifice faisant face au volume V2 est inférieur au diamètre de l’orifice faisant face au volume V3.

Selon l’invention, le volume intérieur V2 peut être le volume du contenant creux mesuré du fond jusqu’à l’extrémité supérieure des faces internes (2’), (3’), (4’) et d’une face de la plaque amovible (14) et peut être compris de 0,06 à 1 ,072 m 3 , par exemple de 0,168 à 0,368 m 3

Selon l’invention, le volume V2 peut constituer un contenant (17) pour irrigation et/ou pour stockage d’un liquide.

Selon l’invention, par liquide on entend tout liquide connu de l’homme du métier pour l’irrigation de végétaux et/ou de plantes et/ou de substrat et/ou milieu de culture de végétaux et/ou de plantes. Il peut s’agir par exemple d’eau de pluie, d’un effluent liquide, par exemple un effluent liquide provenant d’un bâtiment.

Selon l’invention, par « bâtiment » on entend toute construction servant à loger des hommes, des animaux ou des choses. Il peut s’agir par exemple d’une construction, d’un bâtiment industriel et/ou de bureaux et/ou d’habitation et/ou agricole, par exemple une maison, un immeuble, une centrale thermique et/ou d’un ouvrage d’art souterrain, par exemple une infrastructure souterraine de circulation automobiles et/ou ferroviaire, par exemple un tunnel autoroutier, un tunnel de métro, un parking, un tunnel, une voierie souterraine, un espace sous dalles, une caverne ou grotte aménagée en habitat humain, animal, de culture ou pour utilisation industrielle ou de stockage, un mobilier urbain, par exemple un mobilier urbain permettant de protéger des individus d’intempéries, par exemple d’abribus ou d’abri-vélos.

Selon l’invention, par « effluent liquide » on entend un effluent seul ou un mélange d’effluents liquides. Il peut s’agir, par exemple de tout liquide et/ou solution vicié issu d’un bâtiment. L’effluent liquide peut être vicié par l’occupation humaine. Il peut s’agir, par exemple, d’eaux usées issues des sanitaires, d’un liquide contenant un contaminant par exemple un métal, par exemple du plomb, du nickel, une substance polluante, par exemple des nitrates, des sels.

Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention permet une alimentation en liquide de la zone plantée, c’est-à-dire du volume V3, de manière gravitaire, via un réseau de collecte des avaloirs de voirie ou des descentes d’eau pluviales de bâti.

Selon l’invention, les parois (3) et (4) définissant le volume V2 peuvent comprendre chacune indépendamment au moins un orifice (13). Par exemple, les parois 3 et 4 définissant le volume V2 peuvent comprendre chacune indépendamment, au moins deux, au moins trois orifice(s) (13). Avantageusement les parois (3) et (4) définissant le volume V2 peuvent comprendre chacune indépendamment au moins trois orifice(s) (13).

Selon l’invention, les parois (2) et (5) peuvent comprendre chacune indépendamment au moins un orifice (13). Par exemple, les parois 2 et 5 peuvent comprendre chacune indépendamment, au moins deux, au moins trois orifice(s) (13). Avantageusement les parois (2) et (5) définissant le volume V2 peuvent comprendre chacune indépendamment au moins trois orifice(s) (13).

Selon l’invention, l’orifice (13) peut être de toute forme adaptée connue de l’homme du métier. Il peut s’agir par exemple d’un orifice de forme choisie parmi une forme circulaire, carré, rectangulaire, conique.

Avantageusement, l’orifice (13) peut être de forme circulaire et/ou conique. Selon l’invention, lorsque l’orifice (13) est de forme circulaire, il peut avoir un diamètre compris de 100 à 150 mm, par exemple de 115 à 140 mm, par exemple égale à 140mm.

Selon l’invention, lorsque l’orifice (13) est de forme conique, il peut avoir un diamètre compris de 100 à 150 mm, par exemple de 115 à 140 mm, par exemple égale à 140mm.

Avantageusement, lorsque l’orifice (13) est de de forme conique, le diamètre (di) de l’orifice faisant face au volume interne du dispositif est supérieur au diamètre (de) de l’orifice faisant face à l’extérieur de l’élément préfabriqué (1 ).

Selon l’invention, lorsque l’orifice (13) est de forme conique, le diamètre (di) de l’orifice faisant face au volume interne du dispositif peut être compris de 100 à 130 mm, par exemple de 110 à 120 mm, par exemple égale à 115 mm.

Selon l’invention, lorsque l’orifice (13) est de forme conique, le diamètre (de) de l’orifice faisant face à l’extérieur de l’élément préfabriqué (1 ) peut être compris de 130 à 150 mm, par exemple de 135 à 145 mm, par exemple égale à 145 mm.

Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (3) et (4) peut être de forme identique ou différente. De préférence, ledit au moins un orifice sur chacune des parois (3) et (4) peut être de forme identique.

Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (2) et (5) peut être de forme identique ou différente. De préférence, ledit au moins un orifice sur chacune des parois (2) et (5) peut être de forme identique.

Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (3) et (4) peut être à toute hauteur de paroi.

Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (2) et (5) peut être à toute hauteur de paroi. Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (3) et (4) peut être tel l’au moins un orifice (13) de la paroi (3) fait face à l’au moins un orifice (13) de la paroi (4).

Selon l’invention, au moins un orifice (13) sur chacune des parois (2) et (5) peut être tel l’au moins un orifice (13) de la paroi (2) fait face à l’au moins un orifice (13) de la paroi (5).

Avantageusement, au moins un orifice (13) sur la paroi (3) ou (4) peut être connecté avec un moyen d’alimentation de liquide. Il peut s’agir par exemple d’un tuyau, par exemple un tuyau de gouttière, un d’évacuation d’effluents liquide permettant avantageusement l’apport de liquides pour stockage et/ou irrigation.

Avantageusement, au moins un orifice (13) sur la paroi (2) ou (5) peut être connecté avec un moyen d’alimentation de liquide. Il peut s’agir par exemple d’un tuyau, par exemple un tuyau de gouttière, un d’évacuation d’effluents liquide permettant avantageusement l’apport de liquides pour stockage et/ou irrigation.

Avantageusement au moins un orifice (13) sur la paroi (3) ou (4) qui n’est pas connecté avec un moyen d’alimentation de liquide et situé sur la paroi opposée peut être connecté avec un moyen pour évacuation de liquide. Il peut s’agir par exemple d’un tuyau, par exemple un tuyau pour évacuation à l’égout. Avantageusement l’au moins un orifice (13) connecté avec un moyen pour évacuation de liquide permet l’évacuation de liquide si l’apport est supérieur au volume V2 et/ou supérieur au besoin pour irrigation.

Avantageusement au moins un orifice (13) sur la paroi (2) ou (5) qui n’est pas connecté avec un moyen d’alimentation de liquide et situé sur la paroi opposée peut être connecté avec un moyen pour évacuation de liquide. Il peut s’agir par exemple d’un tuyau, par exemple un tuyau pour évacuation à l’égout. Avantageusement l’au moins un orifice (13) connecté avec un moyen pour évacuation de liquide permet l’évacuation de liquide si l’apport est supérieur au volume V2 et/ou supérieur au besoin pour irrigation.

Selon l’invention, la paroi interne (3’) et/ou (4’) peut comprendre au niveau de l’orifice (13) un moyen d’étanchéité entre les bords de l’orifice (13) et le moyen d’alimentation de liquide et/ou d’évacuation de liquide.

Selon l’invention, la paroi interne (2’) et/ou (5’) peut comprendre au niveau de l’orifice (13) un moyen d’étanchéité entre les bords de l’orifice (13) et le moyen d’alimentation de liquide et/ou d’évacuation de liquide.

Selon l’invention, l’élément préfabriqué peut comprendre en outre un moyen de liaison (33) entre les orifices (13) des parois internes (3’) et (4’) se faisant face. En d’autres termes, l’élément préfabriqué peut comprendre en outre au moins un moyen de liaison (33) entre au moins un orifice (13) des parois 3 et 4 se faisant face.

Selon l’invention, le moyen de liaison peut être tout moyen connu de l’homme du métier et adapté permettant de relier entre eux deux orifices (13) se faisant face et permettant de conduire un liquide de la paroi interne (3’) vers la paroi interne (4’). Il peut s’agir par exemple d’une gouttière ou autre réceptacle permettant de les reliés entre eux pour conduire le liquide de la paroi interne (3’) vers la paroi interne (4’).

Avantageusement, le moyen de liaison, par exemple une gouttière, reliant les orifices des parois internes (3’) et (4’) se faisant face permet une alimentation rapide en liquide du volume V3 par l’intermédiaire d’au moins un moyen d’échange (22) de la plaque amovible (14).

Avantageusement, le moyen de liaison (33) lorsqu’il est à proximité et/ou disposé de manière à faire face à au moins un moyen d’échange (22) permet avantageusement un apport de liquide immédiat vers le volume V3 supplémentaire et/ou additionnelle par rapport à l’apport par gravitation permis par la fonction de stockage d’eau du volume V2.

Selon l’invention, le moyen d’étanchéité peut être tout moyen connu de l’homme du métier disponible dans le commerce. Il peut s’agir par exemple d’un joint en élastomère souple, d’un joint en silicone. Il peut s’agir par exemple d’un joint disponible dans le commerce, par exemple un joint Forsheda, par exemple un joint Forsheda F910 PVC (marque de commerce).

Selon l’invention, le volume V2 peut comprendre en partie supérieure un élément couvrant.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut reposer sur les bords supérieurs (16) des parois (2), (3) et (4) définissant le volume V2.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut être de toute forme connue de l’homme du métier et adapté. Il peut s’agir par exemple d’une plaque essentiellement plane, d’une plaque comprenant différentes hauteurs et/ou épaisseur. Il peut s’agir par exemple d’une plaque pleine ou comprenant des ajourages. Il peut s’agir par exemple d’une grille comprenant des lames liées entre elles comprenant par exemple un espacement de maille compris de 25 à 35mm, par exemple égale à 31 mm. Il peut s’agir également d’une plaque moulée et/ou comprenant une surface plane, par exemple adaptée pour reposer sur les bords supérieurs des parois (2), (3) et (4) définissant le volume V2 et une surface opposé essentiellement plane, par exemple comprenant au moins un relief.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut être en tout matériau connu de l’homme du métier adapté. Il peut s’agir par exemple d’une plaque en métal, en fonte, en aluminium, en inox, en polypropylène, en acier inoxydable.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut être en tout matériau connu de l’homme du métier adapté, par exemple en métal, en fonte, en aluminium, en inox, en polypropylène, en acier inoxydable, en béton.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut être une grille ajourée, par exemple une grille en acier inoxydable, par exemple un caillebotis.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut être une plaque en béton ajourée, par exemple une plaque en béton comprenant au moins un orifice et/ou d’un passage situé dans l’élément couvrant. Il peut s’agir par exemple d’un orifice de forme cylindrique et de forme conique.

Selon l’invention, l’épaisseur de l’élément (C) couvrant peut être comprise de 75 à 250 mm, par exemple de 100 à 200 mm.

Selon l’invention, l’épaisseur de l’élément couvrant peut être comprise de 50 à 250 mm, par exemple de 60 à 200 mm, par exemple de 65 à 90 mm, par exemple égale à 70.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut comprendre selon l’axe de la largeur différentes épaisseurs, par exemple une épaisseur basse de 20 mm et une épaisseur haute de 100 mm.

Selon l’invention, la longueur de l’élément couvrant (C) peut être comprise de 9000 à 11 000 mm, par exemple égale à 10 000 mm.

Selon l’invention, la longueur de l’élément couvrant peut être comprise de 3000 à 11 000 mm, par exemple de 5000 à 10 000 mm.

Selon l’invention, la largeur de l’élément couvrant (C) peut être comprise de 3000 à 5000 mm, par exemple égale à 4750 mm.

Selon l’invention, la largeur de l’élément couvrant (C) peut être comprise de 2000 à 5000 mm, par exemple de 2450 à 4750 mm.

Selon l’invention, l’élément couvrant (C) peut comprendre des moyens de fixations. Il peut s’agir de tout moyen de fixation connu de l’homme du métier. Il peut s’agir par exemple de pâtes soudées en face dessous du moyen de fixation, par exemple aux quatre coins de la surface de l’élément couvrant.

Avantageusement, les moyens de fixations, par exemple aux quatre coins de la surface de l’élément couvrant permettent la fixation dudit élément couvrant sur les faces supérieures (16) des parois définissant le volume V2 pour fermeture et sécurisation du volume de stockage de liquide.

Selon l’invention, les bords supérieurs (16) des parois (2), (3) et (4) définissant le volume V2 sur lesquels peut reposer l’élément couvrant peuvent comprendre des moyens de fixations (18). Avantageusement, l’élément couvrant, lorsqu’il est plein, peut permettre de fermer le volume V2 permettant avantageusement un recouvrement du volume. Par exemple le volume peut être recouvert, lorsque l’élément préfabriqué est intégré à une allée piétonne ou place, par du bitume, du ciment, du sable.

Avantageusement, l’élément couvrant, lorsqu’il est ajouré, peut permettre au liquide, provenant par exemple d’une gouttière, d’un caniveau ou encore directement de la voirie, de couler dans le volume V2. En d’autres termes, lorsque l’élément couvrant est ajouré, il permet avantageusement une incorporation de liquide, par exemple d’eau de pluie, dans le volume V2.

En outre, lorsque l’élément couvrant est ajouré, il permet avantageusement une éventuelle évaporation du liquide, par exemple d’eau de pluie, stocké dans le volume V2.

Selon l’invention, le volume V3 peut constituer contenant (28) pour un substrat de culture.

Selon l’invention, le volume intérieur V3 peut être le volume du contenant creux mesuré du fond jusqu’à l’extrémité supérieure des faces internes (3’), (4’), (5’) et d’une face de la plaque amovible et peut être compris de 0,067 à 1 ,072 m 3 , par exemple de 0,168 à 0,368 m 3 .

Selon l’invention, par substrat de culture on entend tout substrat et/ou support connu de l’homme du métier utilisable pour la culture de végétaux et/ou de plante. Il peut s’agir par exemple d’un substrat seul ou un mélange de substrats. Le substrat de culture peut être par exemple choisi dans le groupe comprenant de la terre végétale, de la terre de bruyère, du sable, de la tourbe, de la pouzzolane, de la perlite, de la vermiculite, de l’écorce broyée, de la tourbe de l’argile, de l’humus, de l’engrais, de la smectite, de la chaux ou un quelconque mélange de ceux-ci. Il peut s’agir en outre de tout substrat et/ou mélange de substrat connu de l’homme du métier et disponible dans le commerce adapté à la culture de végétaux et/ou de plante. L’homme du métier de par ses connaissances générales saura choisir et/ou adapter et/ou modifier le substrat à la lumière du ou des végétaux et/ou de ou des plante(s) cultivé.

Selon l’invention, par végétal on entend tout végétal connu de l’homme du métier adapté pour la culture en contenant.

Selon l’invention, par plante on entend toute plante connue de l’homme du métier. Il peut s’agir de toute plante adaptée pour la culture en contenant et/ou de toute plante cultivée en contenant connu de l’homme du métier. Il peut s’agir par exemple de plantes annuelles, de plantes saisonnières, de plantes vivaces, de plantes persistantes. Il peut s’agir par exemple d’une plante choisi dans le groupe comprenant Achillea ptarmica, Acorus calamus’Variegatus', Butomus umbellatus, Carex pseudocyperus, Eleocharis palustris, Eupatorium purpureum, Euphorbia palustris, Equisetum hyemale, Filipendula rubra, Géranium palustris, Geum rivale ’Leonard's Variety', Iris pseudacorus, Lythrum salicaria, Lysimachia thyrsiflora, Mimulus ringens, Persicaria bistorta, Polystichum aculeatum, Sagittaria graminea, Schoenoplectus lacustris, Thelypleris palustis, Typha minima, ou un mélange de celles-ci.

Avantageusement, la culture peut comprendre un mélange de végétaux et/ou de plantes comprenant des périodes de floraison différentes permettant avantageusement d’apporter une diversité biologique et esthétique au court du temps de la culture et/ou de permettre une fonctionnalité constante du dispositif et de la culture.

En outre, la culture peut comprendre au moins un végétal et/ou une plante permettant notamment le traitement des eaux de pluie et/ou d’effluents liquides. Il peut s’agir par exemple de tout végétal et/ou plante connu de l’homme du métier utilisé dans des procédés de biorémédiation et/ou de dépollution.

Avantageusement, la culture de végétaux et/ou de plantes dans l’élément préfabriqué selon l’invention ne nécessite pas plus d’entretien qu’une jardinière classique. Par exemple, par l’apport régulier de liquide, il ne nécessite pas d’arrosage pour l’entretien de la culture et/ou de mise en place de systèmes complexes pour l’apport de nutriments à la culture.

Avantageusement et contrairement au dispositif et/ou procédé connu, par exemple un jardin de pluie, l’élément préfabriqué selon l’invention n’entraîne pas de coûts de gestion supplémentaire pour la maîtrise d’ouvrage et peut avantageusement, de par le choix des végétaux et/ou plantes permettre une gestion raisonnée basée sur une libre évolution de la végétation.

Avantageusement, la présente invention permet d’apporter de la biodiversité et/ou d’apporter des espaces végétalisés dans des zones urbaines.

Avantageusement, la présente invention permet de manière synergique d’utiliser l’eau de pluie et/ou les effluents liquides de bâtiments et également d’utiliser, par exemple le gaz carbonique disponible dans l’atmosphère et/ou de capter d’éventuel polluant dans l’eau de pluie et/ou les effluents liquides permettant une bioremédiation de pluie et/ou les effluents liquides et également un traitement de la pollution atmosphérique.

Avantageusement, lorsque l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention est installé de manière linéaire en série, il peut être également en série avec un élément préfabriqué (200) notamment pour le stockage de l’eau comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux, au moins deux des parois verticales se faisant face comprenant au moins un orifice (13) se faisant face, un fond (6) et un élément couvrant (C). Les parois verticales (2, 3, 4, 5), ledit au moins un orifice (13) se faisant face, le fond (6) et l’élément couvrant (C1 ) peuvent indépendamment être tels que définis ci-dessus. Avantageusement, les dimensions de l’élément couvrant C1 peuvent tel qu’il permet de couvrir l’élément préfabriqué (200).

Avantageusement, lorsque la série d’élément préfabriqué (1 ) comprend au moins un élément préfabriqué (200), les caractéristiques des parois verticales, fond et orifice dudit au moins un élément préfabriqué (2) peuvent être identiques à celle de l’élément préfabriqué (1 ).

Selon l’invention, l’élément préfabriqué (1 ) selon l’invention peut être fabriqué par tout procédé connu de l’homme du métier. L’homme du métier de part ces connaissances générales sera adapter le procédé de fabrication en fonction du matériau utilisé pour la fabrication dudit l’élément préfabriqué (1 ). Par exemple lorsque l’élément préfabriqué est en béton, il peut être fabriqué par moulage dudit élément par exemple un procédé comprenant une étape de coulage du béton dans un moule, par exemple reproduisant la forme dudit élément.

D’autres avantages pourront encore apparaître à l’homme du métier à la lecture des exemples ci-dessous, illustrés par les figures annexées, donnés à titre illustratif. Brève description des figures

La figure 1 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ).

La figure 2 est une vue du dessus d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ).

La figure 3 est une vue de latérale d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ).

La figure 4 est une vue transversale de la figure 3.

La figure 5 est une vue en perspective d’un mode de réalisation d’une paroi amovible 14.

La figure 6 est une vue transversale de l’incorporation d’un mode de réalisation l’élément préfabriqué (1 ) dans une allée piétonnière.

La figure 7 est vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) comprenant la plaque amovible (14)

La figure 8 est une vue du dessus d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ). La figure 9 est une vue de latérale d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ).

La figure 10 est une vue de trois quart d’un élément couvrant (C).

La figure 11 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) comprenant une plaque amovible (14) et un élément couvrant (16).

La figure 12 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) comprenant une plaque amovible (14)

La figure 13 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) comprenant une plaque amovible (14) et un élément couvrant (C).

La figure 14 est une vue de latérale d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) de la figure 13.

La figure 15 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (101 ), comprenant une plaque amovible (14) et un élément couvrant (C).

La figure 16 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (101 ), une plaque amovible (14) et un élément couvrant (C).

La figure 17 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (200).

La figure 18 est une vue de trois quart de l’incorporation d’un mode de réalisation l’élément préfabriqué (1 ) en série, comprenant également en série un mode de réalisation l’élément préfabriqué (200) dans une rue. La figure 19 est une vue de trois quart d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (201 ).

La figure 20 est une vue de trois quart de l’incorporation d’un mode de réalisation l’élément préfabriqué (101 ) en série, comprenant également en série un mode de réalisation l’élément préfabriqué (201 ) dans une rue.

EXEMPLES Exemple 1 : Elément préfabriqué pour l’aménagement d’allées et la culture de végétaux.

Dans, le présent exemple, un élément préfabriqué (1 ) tel que représenté sur la figure 1 a été fabriqué par moulage dans du béton. Le moule était de forme cubique Le béton utilisé était un BPS EN 206-1 - C35/45-XC3/XD1/XF1 (F) - DmaxI O - 010,1 -S1 S2 (30-70) correspondant à la norme béton NF EN 206-1. L’élément préfabriqué a été fabriqué via un procédé comprenant les étapes de suivantes : préparation des armatures, le cas échéant, en acier via un découpage, pliage, assemblage), préparation du moulage via un graissage, mise en place des armatures, le cas échéant, mise en place des distanciers ; moulage par mise en place du béton par tables vibrantes ou vibrateurs ; démoulage ; étuvage ou séchage à Température ambiante à savoir 20°C; montage et assemblage des pièces en acier à savoir notamment des accessoires de levage.

Dans le présent exemple la paroi verticale (14) représenté notamment sur la figure 6 a été fabriquée par moulage dans du béton. Le moule était en forme de T comprenant deux parois définissant un récipient dans lequel a été coulé le béton. Le béton utilisé était un BPS EN 206-1 -C35/45- XC3/XD1/XF1 (F) - DmaxIO - 010,1 -S1S2 (30-70) correspondant à la norme béton NF EN 206-1. La paroi verticale (14) a été fabriqué via un procédé comprenant les étapes de suivantes : préparation des armatures, le cas échéant, en acier via un découpage, pliage, assemblage), préparation du moulage via un graissage, mise en place des armatures, le cas échéant, mise en place des distanciers ; moulage par mise en place du béton par tables vibrantes ou vibrateurs ; démoulage ; étuvage ou séchage à Température ambiante à savoir 20°C; montage et assemblage des pièces en acier à savoir notamment des accessoires de levage.

La figure 1 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4,

5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4), un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, le volume intérieur V1 du contenant creux pouvant être séparé en deux volumes V2 et V3 par une plaque amovible (14), le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture, la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1020 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 800 mm, les parois (3) et (4) dans le volume V2 comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide et un fond (6) du contenant. Il comprend également des moyens d’échanges (32) situé dans le fond (6) correspondant à des orifices circulaires. Les parois verticales (2,

3, 4, 5) comprenant des bords supérieurs (16). Les parois verticales (2, 3,

4, 5) et le fond (6) sont en béton.

La figure 2 représente une vue du dessus d’un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4) vue du dessus en l’absence de paroi verticale (14), comprenant les faces internes (2’), (3’), (4’) et (5’) des parois verticales. Les bords supérieurs (16) des parois (3) et (4) définissant le volume V2 comprenant des moyens de fixation (18) : des pointeaux pour fixation éventuelle d’un élément couvrant, par exemple une grille. Il comprend également des moyens d’échanges (32) situés dans le fond (6) correspondant à des orifices circulaires.

La figure 3 représente une vue transversale d’un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un décrochement vertical (19), trois orifices (13) permettant l’alimentation de liquide, les faces internes (5’) et (2’) et les faces externes (5”) et (2”) des parois verticales (2) et (5). L’épaisseur des parois verticales (2) et (5) étant croissante de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales, par exemple allant de 50 à 80 mm d’épaisseur de haut en bas, les faces externes (5”) et (2”) des parois étant strictement verticale, les faces internes (5’) et (2’) des parois verticales étant inclinées. La figure 4 représente une vue transversale d’un mode de réalisation illustré dans la figure 3, représentant une coupe des parois verticales 3 et 4 au niveau des trois orifices (13) permettant l’alimentation ou l’évacuation de liquide, les orifices se faisant face à face sur chacune des parois et l’épaisseur des parois verticales (3) et (4) étant croissante de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales, par exemple allant de 50 à 80 mm d’épaisseur de haut en bas, les faces externes (3”) et (4”) des parois étant strictement verticale, les faces internes (3’) et (4’) des parois verticales étant inclinées.

La figure 5 est une vue en perspective d’un mode de réalisation d’une plaque amovible (14) d’une épaisseur de 50 mm, la largeur étant de 1000 mm, la hauteur étant de 1015 mm. La plaque amovible comprend un quadrillage de moyens d’échanges (22) à savoir d’orifices de forme conique permettant une communication entre les volumes V2 et V3 et notamment l’échange et /ou la transmission de liquides entre les volumes V2 et V3. Le diamètre de l’orifice qui doit faire face au volume V3 étant de 25mm (23) et le diamètre de l’orifice qui doit faire face au volume V2 étant de 20mm (24).

La figure 6 est une vue transversale d’un trottoir (T) adossé à un mur d’habitation (M) comprenant un tuyau d’évacuation de gouttière (G) connecté via un orifice (13) à un élément préfabriqué (PF) tel que représenté sur la figure 1. La gouttière permettant une alimentation en liquide de la zone plantée, c’est-à-dire du volume V3, de manière gravitaire, via un réseau de collecte d’eaux pluviales du bâtiment. L’élément préfabriqué comprenant une grille (27) couvrant le contenant

(28) de volume V2 pour irrigation du substrat de culture et le contenant

(29) de volume V3 pour un substrat de culture comprenant le substrat de culture (30) permettant la culture des plantes (31 ) est intégré à la structure du trottoir permettant ainsi avantageusement de manière synergique un traitement des eaux, par exemple de pluies, et un aménagement paysager, permettant avantageusement une régénération du sol urbain et un apport au citadin d’espace naturalisé durable dans le temps. En outre, l’élément préfabriqué selon l’invention de par sa capacité d’intégration et son utilisation dans les structures des allées, notamment les trottoirs, permet avantageusement une rétention des eaux de pluie et/ou absorption de l’eau par les végétaux et/ou plantes, et en outre de freiner le phénomène de crue (abattement).

La figure 7 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4), un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, une plaque amovible verticale (14) d’une épaisseur de 50 mm et d’une hauteur de 1015 mm comprenant des moyens d’échanges (22) tel que décrit dans la figure 5, la plaque amovible verticale (14) séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture, la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1020 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 800 mm, les parois (3) et (4) dans le volume V2 comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide, certains orifices des parois internes (3’) et (4’) se faisant face étant liés par une gouttière dont un bord est en contact avec la paroi verticale (14) permettant avantageusement un apport de liquide immédiat dans le volume V3 contrairement à l’apport par gravitation permis par la fonction de stockage d’eau du volume V2. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton.

La figure 8 est une vue du dessus d’un mode de réalisation de l’élément préfabriqué (1 ) tel que présenté sur la figure 2 comprenant une paroi verticale (14) telle que représentée sur la figure 5 et une gouttière (33) reliant deux orifices (13) se faisant face.

La figure 9 représente une vue transversale d’un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un décrochement vertical (19), trois orifices (13) permettant l’alimentation de liquide, les faces internes (5’) et (2’) et les faces externes (5”) et (2”) des parois verticales (2) et (5). L’épaisseur des parois verticales (2) et (5) étant croissante de l’extrémité supérieure vers l’extrémité inférieure desdites parois verticales, par exemple allant de 50 à 80 mm d’épaisseur de haut en bas, les faces externes (5”) et (2”) des parois étant strictement verticale, les faces internes (5’) et (2’) des parois verticales étant inclinées. Le dispositif comprend une gouttière (33) reliant deux orifices (13) se faisant face.

La figure 10 représente un mode de réalisation d’un l’élément couvrant (C), par exemple une grille en acier inoxydable inspirée d’un caillebotis d’une épaisseur basse de 200 mm et une épaisseur haute de 100 mm une longueur de 1000 mm et une largeur de 4750 mm, l’épaisseur des sections des lames en acier est de 3 mm et l’espacement de la maille est de 31 mm. Les lames sont soudées entre elles. Des pâtes soudées en face dessous de la grille aux quatre coins de la surface permettent la fixation de ladite grille sur les faces supérieures du volume V2 (16) pour fermeture et sécurisation du volume de stockage de liquide.

La figure 11 La figure un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4), un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, une plaque amovible verticale (14) d’une épaisseur de 50 mm et d’une hauteur de 1015 mm séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture, la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1020 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 800 mm, les parois (3) et (4) dans le volume V2 comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. L’élément préfabriqué comprend un élément couvrant (C) tel que décrit sur la figure 10. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton. Il comprend également des moyens d’échanges (32) situés dans le fond (6) correspondant à des orifices circulaires.

La figure 12 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (1 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4), un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, une plaque amovible verticale (14) d’une épaisseur de 50 mm et d’une hauteur de 1015 mm séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture, la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1020 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 800 mm, les parois (3) et (4) dans le volume V2 comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton.

La figure 13 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (101 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4), un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, une plaque amovible sensiblement verticale (141 ) d’une épaisseur de 50 mm comprenant une partie verticale supérieure (A) et une partie inférieure inclinée (B), l’angle d’inclinaison entre la partie supérieur et la partie inférieure est de 140°. La partie verticale supérieure (A) à une hauteur de 300 mm et la partie inférieure inclinée (B) une longueur de 108 mm. La plaque amovible sensiblement verticale (141 ) séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture, la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1150 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 895 mm, les parois (3) et (4) dans le volume V2 comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. La longueur des parois verticales (2, 3, 4, 5) sont de 1000 mm. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton. L’élément préfabriqué comprend un élément couvrant (C) correspondant à une plaque parallélépipédique en béton, d’épaisseur 70 mm, de largeur 200 mm et de longueur 1000 mm.

La figure 14 représente une vue transversale d’un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (101 ) tel que représenté sur la figure 13 comprenant un décrochement vertical (19), trois orifices (13) permettant l’alimentation de liquide, les faces internes (5’) et (2’) et les faces externes (5”) et (2”) des parois verticales (2) et (5), une plaque amovible sensiblement verticale (141 ) d’une épaisseur de 50 mm comprenant une partie verticale supérieure (A) et une partie inférieure inclinée (B), l’angle d’inclinaison entre la partie supérieure et la partie inférieure est de 140°. La partie verticale supérieure (A) à une hauteur de 300 mm et la partie inférieure inclinée (B) une longueur de 108 mm. La plaque amovible sensiblement verticale (141 ) séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture.

La figure 15 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (101 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4) d’une épaisseur de 50 mm, un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm, une plaque amovible sensiblement verticale (14) d’une épaisseur de 50 mm comprenant une partie verticale supérieure (A) et une partie inférieure inclinée (B), l’angle d’inclinaison entre la partie supérieur et la partie inférieure est de 136°. La partie verticale supérieure (A) à une hauteur de 70 mm et la une partie inférieure inclinée (B) une longueur de 1010 mm. La plaque amovible sensiblement verticale (141 ) séparant le volume intérieur V1 du contenant creux en deux volumes V2 et V3, le volume V3 étant un contenant pour le substrat de culture. La plaque amovible sensiblement verticale (141 ) comprenant un moyen d’échange (22) entre le volume V2 et le volume V3. la hauteur des parois verticales (3), (5), (4) définissant le volume V3 étant de 1150 mm et la hauteur des parois verticales (2), (3), (4) délimitant du volume V2 étant de 1120 mm, les parois (2) et (5) comprenant chacune trois orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. La longueur des parois verticales (3, 4) sont de 1500 mm et des parois verticales (2, 5) sont de 500mm. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton. L’élément préfabriqué comprend un élément couvrant (C) correspondant à une plaque parallélépipédique en béton, d’épaisseur 70 mm, de largeur 245 mm et de longueur 500 mm.

La figure 16 est une représentation éclatée d’un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (101 ) représenté dans la figure 15.

La figure 17 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (200) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4) d’une épaisseur de 50 mm à 80 mm, un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm. La hauteur des parois verticales (2, 3, 4, 5) étant de 1000 mm. Les parois (3) et (4) comprenant chacune un orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton. L’élément préfabriqué comprend un élément couvrant (C) correspondant à une plaque parallélépipédique en béton, d’épaisseur 70 mm, de largeur 1000 mm et de longueur 1000 mm.

La figure 18 est une vue de trois quart d’un trottoir (T) et d’une voie de circulation (R), le trottoir comprenant des éléments préfabriqués (1 ) tel que représenté sur la figure 13 connecté en série et comprenant des éléments préfabriqués (200) tel que représenté sur la figure 17 connecté en série. Les éléments préfabriqués (200) permettant une rétention et/ou zone tampon de liquide et/ou une alimentation en liquide de la zone plantée, c’est-à-dire du volume V3, des éléments préfabriqués (1 ) avec lesquels ils sont connectés en série. En outre, l’élément préfabriqué selon l’invention de par sa capacité d’intégration et son utilisation dans les structures des allées, notamment les trottoirs, permet avantageusement une rétention des eaux de pluie et/ou absorption de l’eau par les végétaux et/ou plantes, et en outre de freiner le phénomène de crue (abattement).

La figure 19 représente un mode de réalisation d’un élément préfabriqué (201 ) comprenant un contenant creux comprenant 4 parois verticales (2, 3, 4, 5) se faisant face parallèlement deux à deux (2-5, 3-4) d’une épaisseur de 50 mm à 80 mm, un fond (6) d’une épaisseur de 80 mm. La hauteur des parois verticales (2, 3, 4, 5) étant de 1000 mm. La longueur des parois verticales (3, 4) étant de 1500 mm, la longueur des parois verticales (2, 5) étant de 500 mm Les parois (2) et (5) comprenant chacune un orifice (13) se faisant face correspondant respectivement aux orifices d’arriver de liquide et aux orifices de sortie de liquide. Les parois verticales (2, 3, 4, 5) et le fond (6) sont en béton. L’élément préfabriqué comprend un élément couvrant (C) correspondant à une plaque parallélépipédique en béton, d’épaisseur 70 mm, de largeur 500 mm et de longueur 1000 mm.

La figure 20 est une vue de trois quart d’un trottoir (T) et d’une voie de circulation (R), le trottoir comprenant des éléments préfabriqués (101 ) tel que représenté sur la figure 15 connecté en série et comprenant des éléments préfabriqués (201 ) tel que représenté sur la figure 17 connecté en série. Les éléments préfabriqués (200) permettant une rétention et/ou zone tampon de liquide et/ou une alimentation en liquide de la zone plantée, c’est-à-dire du volume V3, des éléments préfabriqués (101 ) avec lesquels ils sont connectés en série. En outre, l’élément préfabriqué selon l’invention de par sa capacité d’intégration et son utilisation dans les structures des allées, notamment les trottoirs, permet avantageusement une rétention des eaux de pluie et/ou absorption de l’eau par les végétaux et/ou plantes, et en outre de freiner le phénomène de crue (abattement). Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention de par sa capacité d’intégration et son utilisation, notamment dans la structure des allées et/ou des trottoirs et/ou des garde-fous ou garde-corps permet avantageusement une augmentation de la partie végétalisée dans l’espace public, en particulier des villes et avantageusement en accord avec les contraintes de l’espace public. Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention peut, par exemple avoir une faible emprise au sol et/ou en permettre avantageusement de conserver et/ou d’optimiser les voies de passage, par exemple des allées et/ou trottoirs tout en augmentant la partie végétalisée. Avantageusement, l’élément préfabriqué selon l’invention de par sa capacité d’intégration et son utilisation, notamment comme garde-fous ou garde-corps permet avantageusement tout en augmentant la partie végétalisée de sécuriser et/ou de délimiter les espaces de circulation, par exemple routier et piétons.