La présente invention concerne le domaine génér du traitement des films sur tous supports ( Rol_Lfilrπs, disques, plan films) qu'i soient négatifs, en émulsicns noir et blanc ou couleurs (C 41) ou inversibl noir et blanc ou E 6, appelés aussi diapositifs.

A ce jour, il existe, d'une part des dévelσppeus de type industriel, à fort débit de production, dans lesquelles le traiteme est réalisé en continu, c'est à dire, que le film à traiter est guidé par un chemin ment continu dans une succession de cuves contenant les divers produits chimiqμe ainsi qμe l'eau de lavage indispensable au rinçage, entre les.diverses opérations;

d'autre part d'autres modes de traitement automatiqu plus particulièrement adapté aux petites quantités dent la caractéristique cemmun consiste en ce que le montage des films est effectué sur des spirales qui sa placées successivement dans les cuves de faible contenance, permettant l' exécutio des diverses opérations nécessaires au traitement, mais nécessitant une manipulatio pour sortir les films des spirales, afin d'en effectuer le séchage. Il est cit à titre d'exemple le brevet français n° 2503401.

En effet, l'espace compris entre deux spires, à l'intérieur de la spirale étan d'environ deux mi.limètres, il convenait de trouver une solution techniqμe 1'é_-imination des gouttelettes d'eau qui restaient emprisennées dans cet espace provoquant au séchage forcé, des traces indélibiles sur la gélatine.

L'objet de la présente invention est donc de réaiser autcrnatiqμement, grâce à des solutions simples, donc peu coûteuses, la totalit des traitement nécessaires au développement des film?, dont le détail à été donn ci-dessus. La conception de l'appareil permet, par ai, ieurs de traiter une petite quantité de films, donc utilise le mcntage de ceux-ci su des spirales.

Pour une utilisation en plein jour, l'appareil es doté d'un carénage. L'autcmatiΞation totale des opérations nécessaires au dévelop pement, et plus particulièrement au séchage des films, lui dorme une rapidit

d'action et un gain de teπps permettant à l'entreprise artisanale d' être plus compétitive que le centre de traitement régional.

L'appareil de traitement autcmatique de films négatifs ou diapositifs, objet de la présente invention, est du type constitué d'une enceinte étanche à la lumière dans laquelle sont disposés les bacs de traitements, autour d'une colonne centrale munie d'un bras horizontal supportant un axe sur lequel sont placées les spirales recevant les films à développer.

Cet appareil est caractérisé par le fait qu'à l'intérieur de la colonne sont placées deux poulies (haute et basse) reliées entre elles par une courroie crantée solidaire en un point du bras horizontal en forme d'équerre coulissant verticalement le icng de la dite colonne.

La poulie haute étant couplée à un micrcmoteur damant le mouvement de translation verticale nécessaire à l'iiππersion et à l'énersion de la totalité des spirales avant de procéder à un changement de cuve.

Par ailleurs, le moteur assure également l'agitation verticale nécessaire au dosage du contraste (variable et programmé).

Sous le bras horizontal, côté colonne, est fixé un second micrcmoteur couplé à l'axe porte spirales, par poulies et courroie, dont le rôle, particulièrsi t avantageux est d'obtenir par rotation, dans un sens déterminé par la position des spirales, l'éjection centrifuge des goutte¬ lettes d'eau restées entre les spires des films.

Cette éjection peut avoir lieu avant tous changements de bain, afin d'éviter une pollution accélérée de ceux-ci ( et notamment de l'eau de rinçage) mais également, avant le soufflage de l'air chaud et sec qui aura lieu lors de l'opération de séchage.

L'axe porte-spirales réalisé en acier inox est constitué d'un axe central et de plusieurs ensembles de tiges, en forme de fouet, permettant de recevoir i-ndépenctaπment le centre des spirales contenant les films, la souplesse de ces fouets maintenant par un effet de ressort les spirales dans leur position initiale.

La cuve dans laquelle s'effectue l'essorage centri¬ fuge, puis le séchage, est munie, à sa base , en forme de tuyère, d'une électro- vanne évacuant les résidus iiqμides dans un tiroir de vidange pouvant être

vidé périodiqement en cas d'utilisation de l'appareil en circuit fermé.

A la fin de l'essorage centrifuge l'électrovanne se ferme, un courant d'air chaud et sec est puisé via un clapet de retenue à la base de la tuyère. Le clapet de retenue servant à éviter une remontée d'eau jusqu'au circuit de chauffage, lorsque la cuve est pleine.

Dans le but de mieux répartir la circulation de l'air chaud dans les spirales, la cuve de séchage est munie de conduits latéraux évitants une perte de ^{• ••} châεge trop grande du courant d'air traversant les spirales situées dans la partie supérieure du bac de séchage.

L'air chargé d'hunidité est évacué par le dessus de l'enciente close grâce à un evacuateur opaque fcncticnnant lorsque le programme est sur "séchage".

Deux modes de lavage peuvent être utilisés dans l'appareil, soit le lavage à circuit ouvert qui 'nécessite un raccordement d'arrivée d'eau et de vidange, soit le lavage en circuit fermé qui a l'avantage de ne pas nécessiter de raccordemnts d'eau.

Dans le mode de lavage en circuit ouvert, l'eau arrive dans le bac principal précédemment décrit, jusqu'au niveau maximum et simultanément, à l'aide d'une pompe placée à la base de cette cuve, dans une autre cuve de lavage.

Le circuit de vidange s'effectue par des électro- vannes situées à la base de ces cuves via le tiroir de vidange qui, dans ce cas, est lui-mâne vidé par une pompe , en direction d'un circuit d'écoulement des eaux usées, pouvant être situé à plusieurs mètres au dessus de la base de l'appareil.

Dans le mode de lavage en circuit fermé l'appareil permet trois possibilités : à eau régénérée; à réserve d'eau; à super stabilisant ou "Water Less".

Le processus met en jeu trois cuves dont la cuve principale - qui sert également de cuve de séchage - avec, au même niveau que les cuves de traitement, l'autre cuve de lavage, sous laquelle est positionnée une troisième cuve servant de réservoir de stockage au cours du cycle.

Inséré dans le circuit, entre la troisième cuve et la. cuve principale se trouve un dispositif ccπpσrtant une vanne bi-directior-- nelle et un échangeur d'ions à résine.

La position de cette vanne détermine la circulatLαi de l'eau dans l'échangeur (première possibilité) ou hors de l'échangeur (dans les deux autres possibil tés) .

L'eau circule dans les deux pcπpes entre les points bas et le haut des cuves, sauf entre les deux cuves superposées où elle descend siπplement par gravité. Deux électrcvannes sait commandées pour évacuer vers un tiroir de vidange les résidus polluants éjectés par essorage centrifuge.

Ce tiroir, sert également, à recueillir les eaux usées considérées cαrme non purifiables, après un certain ncmbre de passage en circuit fermé.

Afin d'obtenir une ccmmande programmée pour l'action des rrdcrorπoteurs, des pompes, des électrσvannes, et du circuit de séchage , il a été conçu un boitLer électronique muni de cαrimitateurs , de potentLccrètres et d'un afficheur donnant la température du baiit-marie contenant l'ensemble des cuves de développement. Les divers organes de ccmmande permettent de régler le temps de révélation, le nombre d'agitations verticales et la température du bainr-marie. Ils permettent , en outre, le choix du type de traitement (C41, ES, NB, etc... ) et les cor iandes manuelles des divers micrcmoteurs.

La constitution interne de ce boitier ëlectr∞ique fait appel à des circuits informatiqμeΞ associés à des éléments électroniques et électromécaniques tels que transistors et relais pour la cαππande des mic_rατ__>- teurs. Par ailleurs , Les circuits riformatiques sont essentieUement constitués d'une horloge à fréquence variable envoyant un signal à un compteur d'adresses binaire lui-mâne attaquant l'une des mémoires "ROM" contenant le programme choisi, et trananettant les données à un diviseur décimal de rapport variable ou à des bascules à portes NAND servant à cαtπiander les montages à transistors et relais, ceux-ci polarisant dans le sens nécessaire les micrcmoteurs ou électrcvannes programmés.

En outre, la température du bain-marie est régulée par un circuit électrcnique commandé par des thermistances plongées dans le bain-marie, pour d'une part , mesurer la température affichée en façade et d'autre part, réagir sur le circuit régulateur de puissance.

L'ensemble des circuits électriques et électroniques est prévu pour fonctionner en basse tension, et donc, sur batterie, à l' exception du circuit de ventilation d'air chaud qui , du fait de la puissance consommée ne présente que peu d'intérêt à être utilisé sur batterie. En cas de coupure secteur le cycle peut se dérouler normalement, seul le séchage n'aura pas lieu et devra être exécuté de manière traditionnelle.

Dans le but d'expliciter l'invention il est donné à titre d'exemple non limitatif un mode de réalisation se référant aux dessins ci-annéxés:

FIGURE 1 : Représentation symbolique des éléments composant les divers circuits de lavage. FIGURE 2 : Vue de profil du bras porteur de spirales et en coupe de l'intérieur de la colonne.

FIGURE 3 : Vue en coupe de la cuve de séchage.

FIGURE 4 : Vue en coupe de l'intérieur de l'enceinte.

FIGURE 5 : Vue en perspective de l'agencement interne des cuves et autres dispositifs.

FIGURE 6 : Vue de profil et de dessus de l'évacuateur d'air chaud et humide à obturateur automati¬ que .

FIGURE 7 : Schéma synoptique partiel du boitier électronique.

FIGURE 8 : Vue en perspective de l'aspect extérieur de 1 ' appareil.

FIGURE 9 : Vue en coupe d'une cuve équipée du piston d ' homogénéisation. FIGURE 10 : Vue d'ensemble du ramasse-gouttes.

FIGURE 11 : Représentation schématique du circuit de compensation automatique des niveaux.

En se référant à la frgure 1 qui représente symboliquement les éléments composants ι _es divers circuits de lavage, nous allons décrire le fonctionnement du premier mode de lavage en eau courante dit à circuit

ouvert : L'eau arrive dans la cuve principale (1) via l' électrovanne (2) et simultané aat la pcmpe (3) raiplit la cuve (4) , quand l'électrcvanne (5) est ouverte l'eau descend dans le tiroir (6) , puis est éjectée par la parce (7) .

Dans le second mode de lavage qui est en circuit fermé, l'appareil offre trois possibilités : à eau régénérée, à réserve d'ea ou en utilisant les super-stebilisants ou "water less".

Le lavage en eau régénérée nécessite un stockage , préalable dans les cuves (l) et (8) , lorsque les spirales sont positionnées dans la cuve (4) , l' essorage centrifuge comnence, éjectant des gouttes de pro - duits chimiques qui seront évacuées dans le tiroir (6) par l'ouverture de l' électrovanne (5) . L'essorage terminé, cette électrovanne (5) se ferme, et la pcmpe (3) entre en action, afin de transférer l'eau de la cuve (1) dans la cuve (4) . Lorsque cette cuve est pleine le premier prélavage ccmmence , et simultanément l'eau stockée dans la cuve (8) va monter dans la cuve (1) grâce à la pcmpe (9) via une vanne bi-directionnelle (10) qui dirige, alors, cette eau dans un échangeur d' Ions à résine (11) , à la sortie cette eau purifiée étant -Introduite dans l cuve (1).

Lorsque cette cuve est pleine, une électrovanne (12) s'ouvre et l'eau contenue dans dans la cuve (4) descend par gravité dans la cuve (8) .

Afin d'effectuer le premier lavage, l' électrovanne (12) se ferme, la pαrpe (3) envoie l'eau de la cuve (1) dans la cuve (4) , celui ci s'effectue en eau purifiée.

Pour effectuer un deuxième prélavage, la cuve (1) étant vide, les spirales seront positionnées dans celle-ci et subiront un essorag centrifuge pendant leqμel une électrovanne (13) permettra aux gouttes d'eau polluées éjectées lors de l'essorage de descendre dans le tiroir (6) . Après l'essorage, l' électrovaπne (13) se ferme.

L'eau souillée par le premier prélavage, stocké en cuve (8) est ensuite transvasée dans la cuve (1) via la vanne bi-directionnell

(10) et l'achangeur (11) , se trouvant ainsi purifiée.

Le deuxième prélavage s 'effectuant dans la cuve (1) , l'ouverture de l' électrovaπne (12) va p_îoss_î_ιer 1. écoulement de l'eau

contenue dans la cuve (4) directement dans la cuve (8), puis cette électro- vanne (12) va se refermer.

A la fin du second prélavage, la pompe (3) transvaser l'eau usée dans la cuve (4) pour permettre un essorage éventuel. Le même processus que précederrinent va se déroul pour obtenir de l'eau purifiée en cuve (1), afin d'effectuer un second lavage.

La cuve (1) étant à nouveau vidée, il est effect un essorage, puis un séchage par l'intermédiaire d'un ventilateur d'air cha (14), qui , provoquant l'ouverture du clapet (15) va diriger cet air chaud da le fond de la cuve (1) en forme de tuyère. Cet air chaud étant , également répar par les conduits latéraux (16), sortira , après avoir traversé les spirales, p le haut de la cuve, pour être, enfin, éjecté à l'extérieur de l'enceinte, pa un ventilateur, non représenté sur cette figure.

Les spirales sont ensuite sorties de la cuve (1) le cycle étant remis au départ en vidant la cuve (8) dans la cuve (1) et la cu (4) dans la cuve (8).

Dans la seconde possibilité d'utilisation du mod de lavages en circuit fermé, l'eau est simplement stockée, ccmme au départ d processus précédent, la seule différence résidant dans la position de la vann bi-directionnelle (10) qui met hors circuit l'échangeur (11), ce qui est admissibl pour un nombre limité de lavages, d'autant plus que la possibilité d'essore entre chaque opération permet d'éviter une pollution trop rapide de l'eau stockée.

-La troisième possibilité d'utilisation du mode d lavages en circuit fermé, emploie des piroduits dits "water less" qui sont de super stabilisants remplaçants l'eau de lavage. Dans ce cas, la position de l vanne bi-directionnelle (10) est la même que ci-dessus court-circuitant l'échangeu (11). Etant donné, qu'il existe un risque d'incompatibilité entre les siper stabi lisants de certaines marques et les éléments chimiques d'autres marques, la facult de pouvoir essorer les films entre certaines opérations évite ce risque latent. Par ailleurs, la vanne (17) permet la vidange pério dique de l'eau du bain-marie, à condition de arrriander la vidange du tiroi

(6) par la pcmpe (7) .

La figure 2 donne une vue de profil du bras porteur de spirales, et une vue en coupe de l'intérieur de la colonne verticale (18) sur laquelle est pratiquée une lunière permettant le coulissement de tenons (19) solidaires, d'une part, du bras porteur (20) et d'autre part, d'une courroie crantée (21) , elle-même ue par une poulie (22) fixée au bout d'un axs d'un micrcmoteur , non représenté.

Ce montage permet la translation verticale nécessaire à l'immersion et à l' émersion de la totalité des spirales , avant de procéder à un changement de cuve. Par ailleurs, la poulie (22) assure également l'agitation verticale indispensable à tout traitement photographique.

Sous le bras porteur (20) en ferme d'équerre est fixé un micrcmoteur (23) muni d'une poulie (24) couplée par une courroie à une poulie réceptrice (25) fixée au bout d'un axe (26) comportant plusieurs ensembles de fouets (27) servant à mamtenir par le centre les spirales non représentées.

La figure 3 précise en vue de coupe, la disposition de la cuve de séchage (1) , au dessus de laqμelie, se trouve le bras horizontal (20) muni de son axe (26) sur leqμel est positionné une spirale (28) .

Sur le pourtour de la cuve (1) sont fixés des conduits latéraux (16) de répartition de l'air chaud. A la base de la cuve (l) sont situés une électrovanne (13) servant à la vidange de cette cuve (1), un clapet de retenue (15) évitant la remontée de l'eau vers le ventilateur chauffant (14) .

La figure 4 représente la vue en coupe de l'intérieur de l'enceinte et donne la position relative de la cuve (1) de la colonne (18.) située au centre de l'appareil et dans l'axe d'un tube (29) dont le rôle est de laisser hors de l'eau du bain-marie (30) , le mécanisme de rotation de la colonne (IS) . La cuve (4) est située au dessus de la cuve (8) , les tubes d ¹ écoulaient d'eaux usées arrivant au dessus de trous dont est muni le tiroir (6) , le ventilateur d'air chaud (14) étant situé hors de l'enceinte (31) .

Dans la partie supérieure se trouve le bras horizont

(20) muni de son axe (26) porte fouets (27). Cet ensemble permettant le déplaceme des spirales dans les diverses cuves de traitement. Sur le dessus de l'encein

(31) est monté l'evacuateur d'air chaud et hunide (32) qui entre autcmatiquema en service lorsque le programme arrive sur la fonction séchage.

La figure 5 donne une vue en perspective de l'agenc ment interne des cuves et autres dispositifs utilisés dans l'appareil. L'on y disti gue trois parties : la partie supérieure étant la chambre noire (33), la part centrale étant dans le bain-marie (30) et la partie inférieure comporte la cu (8) de stockage de l'eau, ainsi que les électrcvannes, les pcmpes et le tiroir d vidange (6).

Dans la chambre noire (33), la colonne (18) fait décr re un cercle complet à l'axe porte spirales (26), au dessus des cuves de trai ment entre lesquelles sont positionnées les cuves (1) et (4) précédemment décri Le boitier électronique (34) servant à programmer l'ensemble des manoeuvres pou vant être positionné à cet emplacement. Sur le dessus, de l'appareil on aperçoi l'evacuateur d'air chaud et humide (32), tandis que le ventilateur d'air chau (14) est placé sur le côté du bain-marie (30).

La figure 6 représente une vue de profil et de dessus de l'evacuateur d'air chaud et hunide à obturateur automatique (32) : sur le châssis (35) sont montés deux supports guides (36) et (37) traversés par une tige filetée (38) laquelle traverse un écrou (39) solidaire d'un obtura¬ teur coulissant (40). Cette tige filetée (38) sert d'axe moteur à l'obturateur (40); l'extrémité située côté support (37) est couplée par l'intermédiaire d'une lamelle (41) au rrdcrc oteur (42); deux interrupteurs à lame souple (43) sont actionnés par des aimants (44) et servent de fins de courses.

La figure 7 est le schéma synoptiqμe partiel du boitier éléectronique de p_rx_ιgrammaticn des automates : le circuit d'horloge

(45) envoie un signal binaire à un ccπpteur d'adresses (46) leqμel alimente trois mémoires "ROM" (47) (48) et (49) dont le fonctionnement est commandé

individuellement par les points de cαrmutatLon ou "chip sélect" (50) (51) et (52) . Les données issues des mémoires sont appliquées sur les points A à H produi¬ sant les actions suivantes :

A.- Lorsque ce point est à zéro l'inverseur logique (53) ccmmande la montée du bras (20) figure 2, par l'intermédiaire d'un montage transistors-relais (54) dont la sortie est connectée au rrdcrαroteur de translation. Quand le bras (20) est au point le plus haut, un interupteur à lame souple (55) entre en contact pour stopper la montée et pour valider les données commandant les rotations de la colonne (18) figure 2, par l'intermédiaire de deux circuits logiques (56) et (57) .

B.- Le signal arrivant sur ce point, cαrmande la montée d'agitation, via un ccπpteur décimal (58) dont on peut faire varier le rapport diviseur par le commutateur rotatif à plusieurs positions (59) ou ramener au rapport unité par le ccrrtnutateur logique (60) . La sortie du diviseur (58) est connectée à l'entrée d'une "bascule à portes NAND (61) dont le rôle est de stopper la montée lorsque le capteur (62) entré en contact, définissant ainsi, la hauteur maximale d'agitation. La sortie de cette bascule commandant le montage transistor relais (54) .

C- Cette instruction ccmmande simultanément le ccrrπtutateur logique (60) pour permettre au diviseur (58) d'entrer en service; et à un autre commutateur logique (63) de permettre au potentiomètre (64) d'agir sur la fréquence de l'horloge (45) . Elle corrmande également la porte "ET" (630) lorsque celle-ci est sollicitée sώîultanément par l'information "H" .

D.— Les données arrivant an ce point ccmnandent la descente du micrcmoteur de translation du bras (20) , figure 2, en passant par une bascule (65) qui changera d'état lorsque le contact (66) se fermera,. en fin de course; le montage transistor- relais (67) polarisant le moteur dans le bon sens.

E.- La présence d'un signal en ce point ccmman la bascule (68), qui , elle même, cαπrandera l'entrée du mcntage transist relais (69), à condition , que cet ordre soit validé par le circuit logique (5 dont la représentation simplifiée ne fait pas apparaître les élé ents la constituan Le mcntage (69) pircduira la rotation droite de la colonne (18) figure 2, jusqu' la cuve choisie par le programme, et donc le contact de fin de course (70) concern dont il n'a été représenté symboliqμement qu'un exemplaire.

F.- Le rôle de cette -.information est le même q ci-dessus, avec cette différence que le sens de rotation de la colonne (18) se inversé, mais la bascule (71) sert à commander le montage (72) pour obtenir cet action autcmatiquemant.

G.- Le signal, en ce point permet de ccmrnander pa l'intermédiaire d'une bascule (73) et d'un montage à relais (74), l'électrovann

(2) figure 1, que l'on ferme quand le niveau d'eau rr___x__mum , contrôlé par le dispo sitif (75) fait changer d'état la bascule (73).

H.- Cette instruction permet l'ouverture de l'électro vaπne (5) figure 1, grâce à la bascule (76) et le mcntage à relais (77), pui sa fermeture quand le niveau d'eau dans la cuve (4) figure 1, est rr_ini-τιum, e détecté par le dispositif (78) simultanément, la pcmpe (7) figure 1, évacu les eaux usées par l'intermédiaire du montage à relais (79). La porte "ET" (80 ccmmande l'essorage, puis le séchage lorsque l'information se trouve si-multanéman en C et en H, en passant par un circuit temporisé qμi déclenche le montage relais (81) , agissant sur le rriicrcmoteur (23) figure 2, produisant l'essorage puis l'arrêtant, pour déclencher le séchage par le montage relais (82), pendan le temps programmé.

Le montage (83) est celui de l'alimentation secteu régulée et chargeant en permanence une batterie tampon. Le montage (84) indiqu le dispositif à quatre inverseurs utilisant deux relais .afin d'obtenir le freinag électrcmagnétique indispensable à la précision des manoeuvres de l'automate.

La figure 8 représente l'aspect exté¬ rieur de l'appareil vu en perspective: l' enceinte(31) possède à sa base un habillage(85 ) masquant les éléments techniques divers. La face avant comporte dans sa partie centrale(86) une trappe dissimulant un mécanisme à ressorts destiné à refermer automatique¬ ment un panneau coulissant situé derrière le caisson amovible de chargement (87) muni de deux manchons de tissu noir à fermeture élastique (88) de conception traditionnelle.

La figure 9 représente une vue équipée du piston d'homogénéisation dont le rôle est d'obtenir un parfait traitement des films malgré un plus grand nombre de spirales positionnées simultanément. L'axe porte spirales(26) étant tubulaire,il se place sur l'axe de centrage (89) solidaire de la rplatine (90), l'ensemble de ces deux pièces servant à maintenir à un niveau suffisant le flotteur(91) , le dit axe porte-spirales (26) va en s 'abaissant pousser vers le bas le flotteur (91) qui va propulser les molécules lourdes de la solution vers la paroi de la cuve (92) et donc vers le haut de celle-ci. L'ensemble des trois éléments (89) (90) et (91) constituant un piston d'homogénéisation (93). La figure 10 est une vue d'ensemble du ramasse-gouttes destiné à éviter le risque de pollution des bains par la chute des gouttes tombant des spirales (28) lors de leur transfert d'une cuve à l'autre.Sur la colonne (18) est fixé un châssis (94) avec un tube (95) dans lequel pivote un axe (96) aux extrémités de cet axe sont fixés un plateau muni d'une éponge(97) et d'une poulie(98) couplée au micromoteur(99 ) lequel est commandé au moment voulu par le programmateur électronique. La figure 11 ets une représentation du circuit de compensation automatique des niveaux dans

les cuves utilisé dans une variante: Lorsque le ni¬ veau baisse dans la cuve (100) dite cuve de référence le capteur électronique de niveau (101) agit sur sur 1 ' électrovanne d'admission d'air (102) qui libère le produit régénérant contenu dans la cuve (103) .Celui ci s'écoule par le tube (104) dans la cuve (100) , et simultanément les autres régénérants font de même dans les autres cuves grâce à l'électro- vanne (102) . Dès que le niveau dans la cuve de référence (100) est rétabli le capteur (101) arrête le processus .