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Title:
HEALTHCARE PRODUCT MADE FROM MAGNESIUM FOR IMPROVING THE FUNCTIONING OF LIVING CELLS AND ASSOCIATED DEVICE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2016/016264
Kind Code:
A1
Abstract:
The healthcare product for reducing the risk of occurrence of at least one of the following diseases and disorders, by improving cellular biochemical activity: - cardiovascular diseases, - diabetes, - malaria, - depression, - musculoskeletal disorders, - influenza, - gastroenteritis, - neurodegenerative diseases, - genital and labial herpes, - chronic inflammations, comprises at least 99 % magnesium chloride and other micronutrients.

Inventors:
ERBS YVAN (CI)
Application Number:
PCT/EP2015/067308
Publication Date:
February 04, 2016
Filing Date:
July 28, 2015
Export Citation:
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Assignee:
ERBS YVAN (CI)
International Classes:
A61K33/06; G06C3/00; A61P9/10
Foreign References:
US20050214388A12005-09-29
US5545670A1996-08-13
US20080193525A12008-08-14
US5475929A1995-12-19
US20100236975A12010-09-23
Other References:
PURVIS J R ET AL: "EFFECT OF ORAL MAGNESIUM SUPPLEMENTATION ON SELECTED CARDIOVASCULAR RISK FACTORS IN NON-INSULIN-DEPENDENT DIABETICS", ARCHIVES OF FAMILY MEDICINE, AMERICAN MEDICAL ASSOCIATION, CHICAGO, IL, US, vol. 3, no. 6, 1 June 1994 (1994-06-01), pages 503 - 508, XP009023293, ISSN: 1063-3987, DOI: 10.1001/ARCHFAMI.3.6.503
GUERRERO-ROMERO ET AL: "Oral Magnesium supplementation improves insulin sensitivity in non-diabetic subjects with insulin resistance. A double-blind placebo-controlled randomized trial", DIABETES & METABOLISM, PARIS, AMSTERDAM, NL, vol. 30, no. 3, 1 June 2004 (2004-06-01), pages 253 - 258, XP005942988, ISSN: 1262-3636, DOI: 10.1016/S1262-3636(07)70116-7
YAMORI YUKIO ET AL: "Low cardiovascular risks in the middle aged males and females excreting greater 24-hour urinary taurine and magnesium in 41 WHO-CARDIAC study populations in the world", JOURNAL OF BIOMEDICAL SCIENCE, KLUWER ACADEMIC PUBLISHERS, DO, vol. 17, no. Suppl 1, 24 August 2010 (2010-08-24), pages S21, XP021071281, ISSN: 1423-0127, DOI: 10.1186/1423-0127-17-S1-S21
Attorney, Agent or Firm:
CASSIOPI (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Produit de soin pour réduire les risques de survenance d'au moins une des maladies et troubles suivants, par amélioration de l'activité biochimique cellulaire :

maladies cardio-vasculaires,

hypertension

athérosclérose

insuffisance cardiaque,

accidents vasculaires cérébraux

diabète,

paludisme,

dépression,

troubles musculo-squelettiques

ostéoporose,

arthrose,

grippe,

gastroentérite,

maladies neurodégénératives

maladie d'Alzheimer,

maladie de Parkinson et

sclérose en plaques,

herpès génital et labial,

inflammations chroniques,

caractérisé en ce qu'il comporte au moins 99 % de chlorure de magnésium et d'autres micronutriments. 2. Produit de soin selon la revendication 1 , qui prend la forme d'un complément alimentaire.

3. Produit de soin selon l'une des revendications 1 ou 2, qui comporte au moins 90 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCI2.6H20). 4. Produit de soin selon la revendication 3, conditionné pour un apport journalier de chlorure de Magnésium hexahydraté supérieur ou égal à un gramme.

5. Produit de soin selon l'une des revendications 1 à 4, qui prend la forme d'une poudre.

6. Produit de soin selon la revendication 5, dans lequel la poudre est issue d'une extraction dans une mine, sans adjonction de produit de coupage.

7. Produit de soin selon l'une des revendications 1 à 6, conditionné pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 120 mg.

8. Produit de soin selon l'une des revendications 1 à 7, conditionné pour plusieurs prises de doses de chlorure de Magnésium, chaque jour. 9. Produit de soin selon la revendication 8, conditionné, pour prévenir des effets de la grippe, pour :

trois prises de chlorure de Magnésium à des premiers intervalles de temps réguliers,

trois prises de chlorure de Magnésium à des deuxièmes intervalles de temps supérieurs aux premiers intervalles de temps et

trois prises de chlorure de Magnésium à des troisièmes intervalles de temps supérieurs aux deuxièmes intervalles de temps.

10. Produit de soin selon l'une des revendications 1 à 9, qui comporte un mélange :

- de chlorure de magnésium et

- de glycérophosphate de magnésium.

11 . Produit de soin selon la revendication 10, dans lequel la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

12. Produit de soin selon la revendication 11 , dans lequel la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à cinq fois la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

13. Produit de soin selon l'une des revendications 10 à 12, dans lequel la proportion, en masse, du chlorure de magnésium, du glycérophosphate de magnésium et d'eau est supérieure à 95 %. 14. Produit de soin selon l'une des revendications 10 à 13, qui prend la forme d'un gel.

15. Shampoing, savon ou crème pour la peau comportant un produit de soin selon l'une des revendications 10 à 14.

16. Dentifrice comportant un produit de soin selon l'une des revendications 10 à 14.

17. Bonbon comportant un produit de soin selon l'une des revendications 10 à 14.

18. Dispositif de mesure de potentiel hydrogène pH des urines pour déterminer une quantité à ingérer de produit de soin selon l'une des revendications 1 à 14 ou 17, qui comporte un moyen de comparaison du potentiel hydrogène avec une table de quantités dudit produit de soin à ingérer en fonction du potentiel hydrogène pH mesuré.

19. Dispositif selon la revendication 18, dans lequel la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une quantité de produit de soin à ingérer quotidiennement.

20. Dispositif selon l'une des revendications 18 ou 19, dans lequel la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une augmentation de la quantité dudit produit de soin à ingérer, pour une mesure du potentiel hydrogène pH des urines supérieure à 6,2, par rapport à une quantité de produit de soin à ingérer correspondant à une mesure du potentiel hydrogène pH inférieure à 6,2.

21 . Dispositif selon l'une des revendications 18 à 20, dans lequel la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une augmentation de la quantité dudit produit de soin à ingérer, pour une mesure du potentiel hydrogène pH des urines supérieure à 6,2, par rapport à une quantité de produit de soin à ingérer correspondant à une mesure du potentiel hydrogène pH comprise entre 5,0 et 6,2.

Description:
PRODUIT DE SOIN A BASE DE MAGNESIUM POUR AMELIORER LE FONCTIONNEMENT DES CELLULES

VIVANTES ET DISPOSITIF ASSOCIE

DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION

La présente invention concerne un produit de soin, notamment un complément alimentaire, pour améliorer le fonctionnement des cellules vivantes et un dispositif associé à ce produit de soin. Elle s'applique aux domaines du bien-être et de la prévention de dysfonctionnements cellulaires.

ETAT DE LA TECHNIQUE

Aujourd'hui, 3,1 milliards d'humains - soit presque une personne sur deux dans le monde - sont concernés par une maladie cardio-vasculaire, un cancer, un diabète, l'ostéoporose, ou la dépression... ou par une combinaison de ces maladies. Un chiffre en hausse permanente, comme le nombre de personnes touchées par la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, l'arthrose et de nombreuses autres maladies dégénératives ou liées au dysfonctionnement du système immunitaire.

Cet état des lieux démontre que l'humanité est menacée par des maladies devenues, au fil du temps, des pandémies. On rappelle, ci-après, les définitions respectives des mots épidémie et pandémie. Épidémie : augmentation rapide du nombre de personnes touchées par une maladie, contagieuse ou non, en un lieu donné à un moment donné. Pandémie : épidémie sur une vaste zone géographique.

En 2014, jamais l'homme n'a dû affronter de pandémies aussi nombreuses et aussi meurtrières. Ces menaces, ce sont, en premier lieu, les maladies cardio-vasculaires, le cancer et le diabète. Selon l'OMS, ces affections sont responsables aujourd'hui de 28 millions de décès par an et tueront 43,5 millions de personnes chaque année, dès 2030. Ces trois maladies représentent à elles seules près de la moitié des décès mondiaux annuels, toutes causes confondues.

Les maladies cardio-vasculaires sont l'ensemble des affections du cœur et de la circulation sanguine. Au niveau mondial, l'OMS estime que ces maladies concernent 2,1 milliards de personnes soit environ 30 % de la population. Elles seraient responsables de 30 % des décès dans le monde, et constituent la première cause d'invalidité. Parmi ces affections, l'hypertension artérielle concernera en 2025, 29,2 % de la population mondiale, soit plus de 2 milliards d'êtres humains. Rappelons que l'hypertension artérielle n'est que l'une des nombreuses maladies cardio-vasculaires répertoriées. Ces quelques chiffres démontrent que les maladies cardio-vasculaires constituent désormais un fléau mondial majeur.

En 2012, notre planète comptait 371 millions de diabétiques. En 2030, ils seront probablement 552 millions : l'état des lieux dressé par L'International Diabètes Fédération (IDF) est alarmant... Des inquiétudes partagées par l'OMS, qui révèle que chaque année 6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués dans le monde. Et la maladie est très meurtrière ! L'OMS précise qu'en 2011 le diabète a tué 4,6 millions de personnes (8,2 % de la mortalité mondiale, toutes causes confondues).

Avec 200 millions de femmes et environ 50 millions d'hommes touchés dans le monde, l'ostéoporose fait des ravages. Au-delà de cinquante ans, une femme sur trois et un homme sur cinq souffriront de fractures ostéoporotiques. Et, si elle est victime d'une fracture de la hanche, une personne sur cinq décédera dans l'année des conséquences indirectes de cette fracture ! Là encore, nous sommes face à des chiffres alarmants.

Les victimes de dépression nerveuse sont 340 millions dans le monde. En l'espace de trente ans, leur nombre a été multiplié par dix ! Et ce n'est malheureusement qu'un début. En 2020, la dépression devrait être la deuxième cause d'incapacité, juste après les maladies cardio-vasculaires. Le nombre de décès annuels liés à la dépression, difficile à estimer précisément, se chiffrerait en millions. En effet, à eux seuls, les suicides emportent 850 000 personnes par an.

Cœur, système immunitaire, système nerveux, glycémie, système osseux... Partout dans le monde, le corps humain fonctionne de moins en moins bien.

Les pandémies que nous avons évoquées ci-dessus sont donc très préoccupantes, mais d'autres brisent également des vies de façon irrémédiable. Il s'agit de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, et de l'arthrose.

S'y ajoutent les herpès génital et labial, qui concernent plus d'un milliard de personnes, et qui n'ont rien d'une maladie virale sans conséquence, de même que le paludisme qui concerne 207 millions de personnes et pour lequel l'OMS a lancé en décembre 2013 un appel à un financement durable.

Nous assistons donc à une explosion pandémique globale, et contrairement à une idée reçue, la santé, qu'on nous présente comme un droit humain et pour laquelle les États dépensent globalement 10 000 milliards de dollars par an, se dégrade d'année en année.

Le bilan est clair, nous vivons de plus en plus longtemps... en mauvaise santé. Il était suggéré, par la littérature, d'utiliser le Magnésium (Mg) pour lutter contre le cancer. Le magnésium est connu pour ses bienfaits. Cependant, les compléments alimentaires en comportant, issus de processus industriels, ne peuvent être consommés sur une longue durée ou sont trop chers pour soigner une population sans symptôme de maladie. Par exemple, les compléments alimentaires de faible coût contiennent des traces de cyanure.

OBJET DE L'INVENTION

La présente invention vise à remédier à tout ou partie de ces inconvénients.

A cet effet, selon un premier aspect, la présente invention vise un produit de soin pour réduire les risques de survenance d'au moins une des maladies et troubles suivants, par amélioration de l'activité biochimique cellulaire :

maladies cardio-vasculaires,

hypertension

athérosclérose

insuffisance cardiaque,

accidents vasculaires cérébraux

diabète,

- paludisme,

dépression,

troubles musculo-squelettiques

ostéoporose,

arthrose,

- grippe,

gastroentérite,

maladies neurodégénératives

maladie d'Alzheimer,

maladie de Parkinson et

sclérose en plaques,

herpès génital et labial,

inflammations chroniques,

qui comporte au moins 99 % de chlorure de magnésium et d'autres micronutriments.

L'inventeur a, en effet, découvert et démontré que l'utilisation du Magnésium aidait à prévenir tout ou partie de ces maladies et troubles.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme d'un complément alimentaire.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte au moins 90 % de chlorure de magnésium sous forme hexahydraté (MgCI2.6H20).

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour un apport journalier de chlorure de Magnésium hexahydraté supérieur ou égal à 1 gramme, et préférentiellement 2,5 grammes. Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme de liquide, de cristaux ou de poudre.

Dans des modes de réalisation, la poudre est issue d'une extraction dans une mine, sans adjonction de produit de coupage.

L'inventeur a découvert que ce type de complément alimentaire présente une absence d'arsenic, de plomb, de mercure, d'aluminium et possède un coût de revient limité.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour un apport de Magnésium journaliser supérieur ou égal à 120 mg, et préférentiellement 300 mg.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné pour plusieurs prises de doses de chlorure de Magnésium, chaque jour.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention est conditionné, pour prévenir des effets de la grippe, pour :

trois prises de chlorure de Magnésium à des premiers intervalles de temps réguliers,

trois prises de chlorure de Magnésium à des deuxièmes intervalles de temps supérieurs aux premiers intervalles de temps et

trois prises de chlorure de Magnésium à des troisièmes intervalles de temps supérieurs aux deuxièmes intervalles de temps.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte un mélange :

- de chlorure de magnésium et

- de glycérophosphate de magnésium.

Dans des modes de réalisation, la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Dans des modes de réalisation, la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à cinq fois la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Dans des modes de réalisation, la proportion, en masse, du chlorure de magnésium, du glycérophosphate de magnésium et d'eau est supérieure à 95 %.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme d'un gel.

Selon un deuxième aspect, la présente invention vise un produit de soin qui comporte un mélange :

- de chlorure de magnésium et

- de glycérophosphate de magnésium. L'inventeur a découvert que ce mélange pouvait prendre, selon les proportions des deux constituants et son séchage, la forme d'un gel, d'une pâte ou d'un solide qui peuvent être introduits dans de nombreux produits.

Dans des modes de réalisation, la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Dans des modes de réalisation, la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à cinq fois la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Dans des modes de réalisation, la proportion, en masse, du chlorure de magnésium, du glycérophosphate de magnésium et d'eau est supérieure à 95 %.

L'inventeur a déterminé que ces proportions favorisent la formation d'un gel.

On rappelle ici qu'un gel est un solide qui peut avoir des propriétés allant de mou et ductile à dur et cassant. Les gels sont définis comme des systèmes enchevêtrés très dilués ne présentant aucun écoulement lorsqu'ils sont à l'état stable. En masse, les gels sont principalement constitués de liquide. Pourtant ils se comportent comme des solides grâce à leur réseau tridimensionnel enchevêtré au sein du liquide. Ce sont ces enchevêtrements qui donnent aux gels leur structure (dureté) et contribuent à leur adhérence. Un gel est un réseau tri-dimensionnel de solides dilué dans un fluide. Ce réseau peut être le résultat de liaisons chimiques ou physiques, ou bien de petits cristaux ou encore d'autres liaisons qui demeurent intactes dans le fluide porteur. En principe, n'importe quel fluide peut servir de porteur, dont l'eau (hydrogel), l'huile ou l'air (aérogel). En poids et en volume, les gels sont majoritairement composés du fluide, et donc ont des densités proches de celles de celui-ci. La gélatine est un exemple commun d'hydrogel et a une densité voisine de celle de l'eau.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention comporte un agent de saveur.

Dans des modes de réalisation, l'agent de saveur donne une saveur sucrée au complément alimentaire.

Dans des modes de réalisation, le produit de soin objet de la présente invention prend la forme d'un gel.

Selon un troisième aspect, la présente invention vise un shampoing, comportant un produit de soin objet de la présente invention.

Selon un quatrième aspect, la présente invention vise un savon comportant un produit de soin objet de la présente invention.

Selon un cinquième aspect, la présente invention vise une crème comportant un produit de soin objet de la présente invention.

Selon un sixième aspect, la présente invention vise un dentifrice comportant un produit de soin objet de la présente invention. Selon un septième aspect, la présente invention vise un bonbon comportant un produit de soin objet de la présente invention.

Selon un huitième aspect, la présente invention vise un dispositif de mesure de potentiel hydrogène pH des urines pour déterminer une quantité à ingérer de produit de soin objet de la présente invention, qui comporte un moyen de comparaison du potentiel hydrogène avec une table de quantités dudit produit de soin à ingérer en fonction du potentiel hydrogène pH mesuré.

Dans des modes de réalisation, la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une quantité de produit de soin à ingérer quotidiennement.

Dans des modes de réalisation, la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une augmentation de la quantité dudit produit de soin à ingérer, pour une mesure du potentiel hydrogène pH des urines supérieure à 6,2, par rapport à une quantité correspondant à une mesure du potentiel hydrogène pH inférieure à 6,2.

Dans des modes de réalisation, la table de quantités dudit produit de soin à ingérer indique une augmentation de la quantité dudit produit de soin à ingérer, pour une mesure du potentiel hydrogène pH des urines supérieure à 6,2, par rapport à une quantité correspondant à une mesure du potentiel hydrogène pH comprise entre 5,0 et 6,2.

Les avantages, buts et caractéristiques particulières des deuxièmes à septième modes de réalisation étant similaire à ceux du produit de soin objet de la présente invention, ils ne sont pas rappelés ici.

DESCRIPTION D'EXEMPLES DE REALISATION DE L'INVENTION

L'apparition de la santé est liée à celle de la toute première cellule. Brique élémentaire de la vie, la cellule est une structure dynamique complexe. Elle présente un état hautement organisé de la matière, et obéit à des règles physico-chimiques extrêmement complexes et extrêmement précises.

La première cellule a donc dû concevoir, dès son apparition sur notre planète, des stratégies de maintien de sa structure et de son fonctionnement pour survivre. Ces stratégies sont à l'origine du développement de compétences biochimiques particulières. Et l'expression de ce savoir-faire biochimique en matière de survie sur le long terme s'appelle, au sens de la présente invention, « la santé ». La santé est donc un processus de survie sur le long terme, créé par les cellules il y a plus de 3,5 milliards d'années. En passant de l'unicellulaire au pluricellulaire, les cellules ont également créé une version réseau de la santé. En effet, tout être pluricellulaire - dont nous sommes - est un assemblage de cellules autonomes, qui fonctionnent de manière coordonnée en échangeant des informations, constituant ainsi un réseau. Le savoir-faire cellulaire s'étant amélioré et complexifié au fil de l'évolution, l'expertise cellulaire en matière de santé est unique et sans comparaison avec nos connaissances humaines actuelles. Chaque être humain est composé de 10 000 milliards de cellules connectées, expertes en santé, dont l'unique objectif est de maintenir la permanence de la santé.

Tout ce qui est vivant sur Terre est donc cellulaire, et chaque cellule, qui constitue l'unité de base de la matière vivante, est le siège d'une suite ininterrompue de réactions chimiques, que l'on appelle « réactions biochimiques ». Du bon déroulement de l'ensemble de ces réactions biochimiques dépend notre santé.

Nous proposons, ici, une définition de la santé : « La santé est une compétence cellulaire, caractérisée par la capacité de chaque cellule d'un organisme, en temps réel et en coordination avec les autres cellules, à assurer la totalité des réactions biochimiques dont elle a la charge. »

La santé est un processus cellulaire intégré, créé et développé par les cellules dès leur apparition sur Terre pour assurer leur survie, et qui s'est complexifié durant toute l'évolution. Quand chaque cellule d'un organisme assure la totalité des réactions biochimiques dont elle à la charge, on parle d'Activité Biochimique Cellulaire Optimale (ABCO). Quand des cellules ne parviennent pas à assurer la totalité des réactions biochimiques dont elles ont la charge, on parle de Déficit Biochimique Cellulaire. En cas de déficit biochimique cellulaire prolongé, la santé échoue. La maladie est alors inévitable, quelle que soit sa forme.

Pour assurer une activité biochimique cellulaire optimale, les cellules doivent disposer d'un matériel indispensable en quantité suffisante : les micronutriments. La maintenance de la santé n'est possible qu'à cette condition. Les nutriments sont les molécules directement utilisables par les cellules sans aucune modification chimique, le rôle de notre système digestif étant d'extraire les nutriments de notre alimentation afin de les mettre à disposition de nos cellules.

On distingue deux types de nutriments : les macronutriments et les micronutriments. Les macronutriments regroupent les acides aminés, les acides gras, le glucose, le fructose, le galactose et l'eau. Ils structurent notre corps et l'alimentent en énergie. Les micronutriments sont les vitamines A, B, C, D, E et K, les minéraux comme le calcium, le magnésium, le phosphore, le potassium, et le sodium, et les oligo-éléments comme le chrome, le cuivre, le fer, le fluor, l'iode, le manganèse, le molybdène, le sélénium et le zinc...

Les micronutriments sont indispensables aux enzymes qui sont à l'origine de l'activité biochimique cellulaire. Sans micronutriment, pas d'activité biochimique cellulaire, et donc pas de vie. Or, notre alimentation est trop riche en macronutriments et trop pauvre en micronutriments. Les conditions ne sont donc pas réunies pour que nos cellules fonctionnent correctement.

L'inventeur a découvert que, parmi les micronutriments, l'un d'eux est particulièrement intéressant. À lui seul, il est impliqué dans plus de trois cents réactions biochimiques indispensables. Un micronutriment qui, s'il était disponible en quantités suffisantes dans notre alimentation, permettrait d'assurer une prévention efficace des maladies cardio-vasculaires, du diabète, de l'ostéoporose et de la dépression nerveuse, bref, d'un ensemble des pandémies actuelles. Ce micronutriment c'est le magnésium.

Autre source riche en micronutriments : les aliments vivants.

Les aliments vivants sont des aliments qui contiennent des cellules et n'ont été ni raffinés, ni transformés, ni chauffés à plus de 45 °C, ni ionisés. Il s'agit notamment des fruits frais, légumes frais, plantes comestibles fraîches, algues comestibles fraîches, de la viande fraîche ou séchée, du poisson frais, des jambons crus, fruits séchés naturellement, des fromages au lait cru non chauffés non ionisés, des fruits secs, graines, graines germées...

Les aliments vivants contiennent aussi les enzymes digestives qui permettent de les déstructurer en nutriments pendant la digestion, et ce point est important comme nous le verrons plus tard.

Pour assurer une activité biochimique cellulaire optimale, l'homme doit donc veiller à privilégier une alimentation riche en micronutriments. Les produits vivants et les produits non raffinés permettent d'atteindre cet objectif.

Les enzymes sont des protéines absolument indispensables à l'activité biochimique cellulaire. Il en existe deux catégories :

1/ Les enzymes digestives, qui permettent de déstructurer notre alimentation en nutriments directement assimilables par nos cellules. Elles ont deux origines :

- les aliments vivants, c'est-à-dire les aliments contenant des cellules et qui ne sont ni transformés, ni chauffés, ni ionisés ;

- les sécrétions enzymatiques de notre système digestif.

2/ Les enzymes métaboliques, indispensables au fonctionnement de chacune des 10 000 milliards de cellules connectées composant notre organisme. Ces enzymes sont exclusivement produites par chacune de nos cellules, suivant leurs besoins.

Les enzymes digestives sont indispensables à la transformation des aliments en nutriments. Quand nous ne disposons pas d'enzymes digestives en quantité suffisante, les aliments ne sont pas déstructurés de manière satisfaisante, et l'extraction des nutriments est mauvaise. Or, plus nous vieillissons et moins notre organisme sécrète d'enzymes digestives, l'importance de l'alimentation en matière d'apport en enzymes digestives est donc croissante avec l'âge. Les carences en enzymes digestives contribuent à l'apparition de nombreuses maladies chroniques. La solution pour prévenir les carences en enzymes digestives consiste à privilégier les aliments vivants.

Ainsi, notre alimentation essentiellement composée d'aliments industriels ne nous apporte pas suffisamment de micronutriments et d'enzymes digestives, sachant que les micronutriments sont indispensables aux cellules pour fabriquer les enzymes métaboliques et les faire fonctionner, et que les enzymes digestives sont essentielles à la transformation des aliments en nutriments.

L'origine intestinale des maladies neurodégénératives que sont les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, et qui attaquent les neurones intestinaux dix à vingt ans avant les premiers symptômes, est désormais reconnue. Le rôle des intestins ne s'arrête pas là. Ils sont également une des clés de notre immunité.

Selon Jean Fioramonti, directeur de recherche à l'unité de toxicologie alimentaire de l'Inra, « L'intestin regroupe 80 % des cellules immunitaires de l'organisme. » On imagine donc facilement l'impact d'un mauvais fonctionnement intestinal sur l'ensemble de notre santé. La mission des intestins est d'acheminer le bol alimentaire en analysant les aliments et en les triant, pour laisser passer dans le sang les nutriments dont l'organisme a besoin, et se débarrasser des bactéries pathogènes et des aliments non assimilables, qui seront éliminés par le côlon.

Nous venons de le voir, les cellules sont des spécialistes de la santé collaborative, mais leur action se déroule à l'intérieur de notre organisme. Pour les protéger de l'environnement extérieur : air, eau, aliments, surfaces diverses, elles ont développé un partenariat avec les bactéries, les champignons et les virus. Le produit de ce partenariat est un biofilm de protection recouvrant l'ensemble de notre corps, et qui assure le rôle d'armure biologique : le microbiote.

Le microbiote est le nom donné à la population bactérienne, fongique et virale, qui colonise notre peau, nos muqueuses, nos voies respiratoires, nos intestins, le vagin chez la femme, et qui nous a été transmis par notre mère. Son poids oscille entre un et deux kilos chez l'adulte.

Pour les scientifiques, le microbiote est un organe du corps humain à part entière, au même titre que le cœur, le cerveau ou la moelle épinière. C'est un écosystème complexe associant plus de mille espèces de bactéries chez une même personne, et comptant dix fois plus de bactéries que de cellules dans notre corps. Ces bactéries, dont 99 % se concentrent dans les intestins, forment un biofilm, c'est-à-dire un film de protection situé à la surface de notre peau, de nos muqueuses, de nos poumons, et de nos intestins. Ce biofilm est une barrière contre les ennemis venus de l'extérieur. Parmi eux, les virus, les bactéries, les toxiques et les champignons. Philippe Sansonetti, chercheur en microbiologie à l'Institut Pasteur et professeur au Collège de France, indique « qu'il joue un rôle homéostatique dans notre organisme, en étant le garant de notre bonne santé ». Le docteur Lazarevic du laboratoire de Recherche génomique des hôpitaux universitaires de Genève déclare quant à lui qu'il « régule le niveau d'inflammation dans notre organisme afin que les réponses immunitaires soient adéquates ». Mais son rôle ne s'arrête pas là : les bactéries constituant ce biofilm dégradent les fibres alimentaires - opération impossible sans leur aide - ; elles synthétisent des micronutriments comme la vitamine K, la vitamine B12, l'acide folique (B9), la biotine (B8), la riboflavine (B2) et l'acide pantothénique (B5) ; elles produisent des acides gras - qui interviennent dans le contrôle de la satiété - et des enzymes. Ainsi, ces bactéries participent activement au maintien de notre santé physique et mentale.

La flore intestinale a aussi une forte influence sur le fonctionnement du cerveau et du système nerveux. En pratique, cerveau et bactéries de la flore intestinale dialoguent en direct. Un échange rendu possible grâce au gigantesque réseau de 200 millions de neurones entourant l'intestin : le système nerveux entérique.

Gérer les 100 000 milliards de bactéries colonisant notre organisme est une affaire de spécialiste ! Et c'est justement à un expert du contrôle bactérien, que revient cette tâche : le système immunitaire. C'est lui qui dialogue avec les bactéries, contrôle leur diversité et leur répartition, et maîtrise leur prolifération.

Aujourd'hui, on découvre le rôle essentiel des bactéries dans la protection de notre organisme, quand elles sont présentes en nombre, 100 000 milliards, et en variété, 1 000 espèces de bactéries différentes pour un adulte. S'il y a un déséquilibre dans cet écosystème, l'apparition de certaines maladies comme le diabète, l'obésité, l'asthme, la bronchite chronique, certaines allergies, l'emphysème, l'eczéma, les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, telle la maladie de Crohn... sont favorisés.

Or, certaines de nos habitudes quotidiennes menacent l'équilibre de notre microbiote. L'utilisation inconsidérée des antibiotiques ; l'emploi abusif des détergents en hygiène corporelle et en beauté, gels douche, shampoings, démaquillants... ; l'usage massif des gels antibactériens ; l'inhalation de diverses substances, tabac, désodorisants, insecticides... sont autant de gestes qui le détériorent. Déséquilibré, le microbiote ne peut plus assurer correctement ses fonctions immunitaires, la régulation du système nerveux, la synthèse des vitamines, des enzymes et des acides gras, et son dialogue avec le cerveau via le système nerveux entérique. Un déséquilibre qui menace notre santé.

La présente invention favorise la constitution ou la reconstitution d'un microbiote intestinale équilibré de qualité, compatible avec la maintenance de la santé et la prévention des maladies. Comme nous venons de le voir, la santé est le résultat d'une activité biochimique cellulaire optimale, uniquement possible si l'apport alimentaire en micronutriments est suffisant.

Or la base de l'alimentation moderne, qui repose sur une surcharge en macronutriments et une carence en micronutriments, génère inévitablement un déficit biochimique cellulaire. Si l'organisme peut gérer le déficit biochimique cellulaire quelque temps, la santé finit malgré tout par échouer, et les maladies, quelque forme qu'elles prennent, ont le champ libre.

D'ailleurs, les démographes ont constaté un phénomène très inquiétant, directement lié à la qualité médiocre de notre alimentation : l'espérance de vie en bonne santé est de plus en plus courte, et c'est un phénomène mondial. Les conséquences économiques de ce problème sont importantes, car les systèmes de santé vont devoir assurer la prise en charge d'un nombre de plus en plus important de personnes souffrant, sur des périodes de plus en plus longues, d'un large éventail de maladies invalidantes :

- troubles musculo-squelettiques comme l'arthrose et l'ostéoporose ;

- maladies cardio-vasculaires comme l'hypertension, l'insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux ;

- cancers ;

- dépressions nerveuses et burn-out ;

- maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer, la maladie de

Parkinson et la sclérose en plaques.

Le processus de travail du médecin étant lié aux manifestations de la maladie elle- même, il arrive systématiquement trop tard pour la prévenir, et ce malgré toutes ses compétences. Ne reste alors que l'option d'essayer de l'enrayer... c'est le problème de la méthode. Pourtant, il serait tellement plus simple et efficace d'agir en amont, avant que la maladie se déclare.

Consulter pour savoir comment ne pas être malade dans le futur constitue une voie prometteuse, mais pour l'heure il n'existe pas de réponse médicale en la matière. En effet, la médecine ne disposant pas d'outil pour mesurer la santé, elle ne peut prévenir la maladie. Comme vous le découvrirez plus loin, il existe des moyens de mesurer la santé, et donc de prévenir l'apparition des maladies.

En effet, entre l'installation d'un déficit biochimique cellulaire et l'apparition d'une maladie, nous disposons d'un certain laps de temps. Prenons l'exemple du cancer. Il faut en moyenne dix ans pour diagnostiquer la maladie, c'est-à-dire dix ans entre l'apparition de la première cellule cancéreuse et l'épisode où la tumeur compte un milliard de cellules cancéreuses. En ce moment même, dans le monde, neuf cancéreux sur dix ignorent qu'ils sont porteurs d'un cancer ; en effet, avant un certain stade de développement, le cancer est silencieux et ne pose aucun problème au reste de l'organisme. Les personnes atteintes semblent en bonne santé, et ne manifestent aucun symptôme... Or, c'est quand la tumeur est constituée de quelques milliers ou quelques centaines de milliers de cellules qu'elle est vulnérable et que notre système immunitaire peut en venir à bout sans aucune conséquence personnelle, sociale ou économique. En diagnostiquant une tumeur vieille de dix ans, on arrive beaucoup trop tard, et les moyens à mettre en œuvre doivent être importants, lourds de conséquences personnelles, sociales et économiques, sans garantie de survie ou de maintien de l'intégrité anatomique de la personne concernée.

D'autre part, le traitement intervient une fois la maladie déclarée, c'est-à-dire quand la santé a échoué, et ce traitement consiste généralement à administrer une molécule ayant une action spécifique sur cette maladie.

Or, il est avéré que cette action extérieure n'est pas sans effet néfaste pour l'organisme, l'action des médicaments n'étant pas automatiquement compensée par l'organisme, comme c'est la règle dans le cas d'une action engagée à l'initiative des cellules. Ceci explique que l'action chimique des médicaments génère de nombreux problèmes collatéraux, appelés « effets indésirables ». C'est là l'un des problèmes majeurs liés à l'utilisation des médicaments. Il est à noter que les effets indésirables listés pour chaque médicament - et qui, pour certains, font froid dans le dos - ne sont que la partie visible de l'iceberg. En effet notre connaissance encore limitée du fonctionnement cellulaire ne nous permet pas de mesurer toutes les conséquences à long terme de l'impact des médicaments sur les cellules.

La présente invention n'utilise pas de médicaments, elle favorise simplement l'expression de l'expertise cellulaire en matière de santé. À ce titre, son rôle principal est de prévenir les maladies, c'est-à-dire d'empêcher leur apparition, mais elle utilise également le savoir-faire cellulaire pour rétablir la santé, au sens de la présente invention, ou pour permettre une utilisation optimale des capacités restantes d'une fonction.

La santé n'est donc pas un état, mais un processus. Quand ce dernier fonctionne normalement, notre capacité à utiliser l'ensemble de nos fonctions est optimale, nous nous sentons bien, et nous ne tombons pas malades. Quand ce processus échoue, notre capacité à utiliser l'ensemble de nos fonctions nécessite plus d'efforts, notre structure biologique se fragilise, et la maladie s'impose d'une façon ou d'une autre. La santé, qui est un processus cellulaire, constitue la prévention la plus efficace contre l'ensemble des maladies connues.

Quand l'activité biochimique cellulaire d'un organisme est optimale, sa santé est assurée. Le complément alimentaire objet de la présente invention constitue un impératif en matière de lutte contre un ensemble des pandémies actuelles : maladies cardio-vasculaires, diabète, ostéoporose, dépression, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, arthrose... La présente invention intervient en amont des maladies, avant qu'elles n'apparaissent, quand les choses sont encore simples, et qu'il suffit de fournir à nos milliards de cellules les micronutriments nécessaires à leur travail d'expert de la santé. Un travail invisible et impalpable d'une complexité et d'une précision qui dépasse, comme nous l'avons déjà dit, toutes les compétences technologiques humaines actuelles.

Le concept même de la fabrication industrielle d'aliments est incompatible avec la survie des enzymes, car l'un des objectifs majeurs des fabricants est de proposer au consommateur des produits identiques et stabilisés pour mieux nous séduire et nous fidéliser. Les aliments industriels, standardisés et toujours stables sont donc radicalement opposés aux aliments vivants, qui par nature évoluent en permanence grâce à la présence des enzymes et à leur travail incessant. Standardisés, figés, nombre de produits industriels ne contiennent plus d'enzymes. Littéralement momifiés, ces aliments n'ont que peu d'intérêt biologique, car l'absence d'enzyme signe généralement une pauvreté extrême en micronutriments.

L'industrie agro-alimentaire livre une guerre sans merci aux enzymes ! Elle a développé diverses techniques visant à les détruire :

- le blanchiment,

- l'appertisation,

- la pasteurisation,

- la stérilisation,

- le traitement à ultra haute température,

- l'ionisation.

Traitement très courant des légumes surgelés, le blanchiment consiste à chauffer les végétaux à une température comprise entre 85 et 100 °C pendant quelques minutes, et à les refroidir immédiatement. Conséquence : la structure des enzymes est endommagée, et leur activité est définitivement stoppée. Les produits étant généralement plongés dans des bains, les éléments hydrosolubles comme les vitamines et les minéraux, notamment le magnésium, sont éliminés du produit.

L'appertisation, réservée à toutes les conserves de fruits, de légumes, de viandes, de poissons, ou les conserves mixtes, fait appel aux techniques de stérilisation, dont les températures sont comprises entre 115 °C et 121 °C.

La pasteurisation consiste à chauffer un produit entre 71 °C et 85 °C pendant 15 à 30 secondes. Elle concerne les fromages, la bière, le cidre, les jus de fruits, les soupes, le miel, les confitures, la compote, les fruits au sirop, le concentré de tomate, les viandes...

La stérilisation est un traitement thermique utilisant des températures comprises entre 115 °C et 121 °C. Le traitement ultra haute température (UHT), qui concerne le lait et les soupes, consiste à chauffer instantanément le liquide à une température de 140 °C à 150 °C pendant 1 à 5 secondes et à le refroidir immédiatement.

L'ionisation des aliments, ou pasteurisation à froid, consiste à soumettre les aliments à un rayonnement radioactif, en d'autres termes à les irradier.

Les conséquences de la carence en magnésium sont significatives, en termes individuel, familial et économique, et les dépenses de santé liées à ce problème sont considérables, leur financement devenant un vrai casse-tête pour de nombreux pays.

Indispensable à l'activité biochimique cellulaire, le magnésium n'est pas produit par l'organisme. L'origine du déficit en magnésium est donc uniquement alimentaire et directement liée à l'industrialisation massive de notre alimentation.

Ce sont, plus précisément, les méthodes de production industrielle des aliments, qui génèrent ces carences en micronutriments, dont le magnésium. Or, il est clair que les méthodes de production industrielle et la politique du « toujours moins cher », orchestrées par la grande distribution, sont responsables d'un réel désastre en matière de santé. Celles- ci génèrent une carence de notre alimentation en micronutriments, et notamment une carence mondiale en magnésium.

Les cellules de tous les organismes vivants connus ont besoin de magnésium. Les processus dans lesquels le magnésium est impliqué concernent chacune de nos cellules sans exception. C'est pourquoi le magnésium nous est indispensable.

Essentiel à nos défenses immunitaires, à notre activité cardio-vasculaire, digestive, neuro-musculaire, endocrinienne, ostéo-articulaire, respiratoire et oculaire, le magnésium l'est également à tous les grands métabolismes : glucidique, protidique, lipidique, phosphocalcique. Sans magnésium, nos cellules ne peuvent fonctionner correctement. Ce micronutriment conditionne pas moins de trois cent trente réactions enzymatiques essentielles au maintien de la vie et de notre santé. Le magnésium intervient en effet dans les processus d'alimentation de nos cellules en énergie, dans leur division, dans la respiration cellulaire, dans la réparation de l'ADN, dans l'échange et le décodage des informations, dans la synthèse des protéines, dans l'élimination des déchets. Le magnésium est également très précieux pour ses effets anti-stress, anti-allergiques, antianaphylactiques, antioxydants, anti-inflammatoires.

Le magnésium est donc une substance absolument nécessaire, dont l'absence totale est incompatible avec la vie, et dont la carence est génératrice de pathologies. Le magnésium nous est essentiel. Voici quelques explications qui sauront vous en convaincre...

Toute cellule vivante a besoin d'énergie pour fonctionner. Ce carburant, c'est l'adénosine triphosphate (ATP). Pour être biologiquement active, la molécule d'ATP doit être liée à un ion magnésium. Sans magnésium pas d'énergie, et donc pas de fonctionnement cellulaire.

Voici ce que déclarait Joël de Rosnay, spécialiste des origines du vivant :

« ATP + magnésium = combustible universel de la vie. »

Ainsi, sur le plan énergétique, quand nos cellules ne disposent pas de magnésium en quantité suffisante, elles ne fonctionnent pas, ou pas correctement.

L'ADN polymérase est un complexe enzymatique spécialisé dans la duplication et la réparation de l'ADN.

Le fonctionnement de l'ADN polymérase nécessite la présence impérative d'ions magnésium comme cofacteurs. Là encore, si nos cellules ne disposent pas de suffisamment de magnésium, leur duplication et la réparation de leur ADN se déroulent mal. Or, quand une cellule dupliquée comporte des erreurs dans le codage de son ADN et qu'il n'est pas possible de la réparer, cette cellule ne peut pas correctement assurer ses fonctions.

La fonction musculaire est essentielle. Parler, travailler, respirer... C'est elle qui nous permet d'interagir avec notre environnement. Or, cette fonction est très dépendante du magnésium. La contraction et le relâchement des muscles sont conditionnés par l'entrée et la sortie du calcium dans les cellules. Tel un portier, c'est le magnésium qui assure la régulation des entrées et des sorties de calcium.

Lorsque les muscles ne reçoivent pas assez de magnésium, il se produit :

- une hyperexcitabilité musculaire : le calcium reste concentré dans la cellule. Le muscle reste donc contracté. Crampes, paupières qui tressautent, maux de têtes, raideurs... sont autant de symptômes qui en découlent ;

- une atonie musculaire : le calcium ne peut entrer dans la cellule musculaire, ce qui rend la contraction impossible. Tonus et contractilité musculaires disparaissent. Ce phénomène explique entre autres l'explosion mondiale du syndrome de la fatigue chronique.

Ce sont les ions magnésium qui régulent le transfert des ions calcium, sodium et potassium à travers les membranes cellulaires. Tonus vasculaire, vasomotricité, activités cardiaque et nerveuse sont autant de fonctions biologiques dépendant de ces mouvements ioniques. Des fonctions conditionnées par la présence de magnésium dans notre organisme.

Un des rôles du magnésium est de permettre à l'organisme de réparer les gènes endommagés, grâce à l'action de l'ADN polymérase. En cas de carence en magnésium, l'ADN polymérase ne peut assurer la réparation des gènes endommagés, et les cellules génétiquement altérées deviennent potentiellement cancéreuses.

L'inventeur a découvert que le magnésium est aussi un allié précieux dans la prévention des maladies cardio-vasculaires. Ainsi, parce qu'il favorise la solubilité du calcium dans le sang et qu'il élimine les dépôts calciques, le magnésium doit être privilégié pour prévenir les maladies cardio-vasculaires.

De plus, l'inventeur a découvert que le magnésium permet de réduire :

- le stress oxydatif, qui vieillit prématurément cellules et vaisseaux ;

- les phénomènes inflammatoires observés dans l'athérosclérose ; - l'hypertension artérielle liée au resserrement des vaisseaux sanguins ;

- le durcissement des artères lié aux infiltrations de calcium dans les parois cellulaires artérielles ;

- de plus, il participe à la gestion des phénomènes de contraction-relaxation des cellules cardiaques, assurant ainsi le bon fonctionnement de la régulation du rythme cardiaque et des cellules musculaires lisses vasculaires, qui permettent la vasodilatation et la vasoconstriction des vaisseaux sanguins ;

- rappelons enfin que le muscle cardiaque est un grand consommateur d'énergie, donc d'ATP et par conséquent de magnésium indispensable à l'activation des molécules d'ATP.

Pour toutes ces raisons, on comprend qu'une carence prolongée en magnésium peut se révéler dévastatrice pour le système cardio-vasculaire.

En 2012, la Fédération internationale du diabète tirait la sonnette d'alarme. Selon ses prévisions, le nombre de diabétiques pourrait passer de 371 millions en 2012 à 552 millions en 2030.

L'inventeur a découvert que l'augmentation de la consommation de magnésium pourrait enrayer ce phénomène.

Les publicités de grandes marques et les campagnes en faveur de la santé semblent formelles. Nos os auraient besoin de calcium. En en consommant davantage, nous diminuerions les risques d'être touchés par l'ostéoporose. Or, nous constatons exactement le contraire. Aujourd'hui, le calcium est présent dans un grand nombre de produits alimentaires industriels, et nous n'avons jamais autant consommé de yaourts, de laitages, de fromages et de crèmes glacées enrichis en calcium. Il se trouve même là où l'on ne l'attend pas, comme les céréales du petit déjeuner et les légumes surgelés auxquels il redonne leur rigidité perdue lors du blanchiment. Pourtant, l'augmentation des cas d'ostéoporose n'a jamais été aussi massive. Celle que l'OMS appelle « l'épidémie silencieuse » touche en effet deux cent cinquante millions de personnes. Un chiffre qui doublera d'ici 2050 ! Parce qu'elle entraîne de graves complications, telles que des douleurs, des handicaps et une surmortalité, l'ostéoporose constitue un véritable problème de santé publique.

L'inventeur a découvert que, grâce au magnésium, le calcium est moins soluble et donc mieux fixé dans la structure osseuse, qui conserve ainsi sa solidité.

Le magnésium permet à l'ensemble des cellules de l'organisme, et notamment aux cellules nerveuses, de passer en mode repos. À l'inverse, le déficit en magnésium empêche l'expression du mode repos : il place les cellules dans un état électrique proche du seuil d'excitabilité. Elles sont alors prêtes à répondre au moindre stimulus. Stress, irritabilité, anxiété, nervosité, picotements dans les pieds et les mains, sensibilité au bruit, à la lumière... sont caractéristiques du déficit en magnésium.

L'inventeur a découvert que le magnésium est impliqué dans la régulation de l'activité nerveuse chez l'homme.

Le professeur Jean-Pierre Ollier, chef du service de psychiatrie à l'hôpital Sainte- Anne de Paris, estime que 15 % de la population mondiale sera un jour touchée par la dépression, notamment les plus de cinquante ans, soit un milliard de personnes.

L'inventeur a découvert que le magnésium peut être un allié précieux pour prévenir la dépression au niveau mondial.

Les minéraux interagissent entre eux : Un excès de potassium ou de manganèse peut générer une carence en magnésium.

La consommation d'apports de magnésium constitue une solution efficace pour assurer une activité biochimique optimale chez la plupart des êtres humains peuplant la planète, et pourrait mettre un terme aux pandémies sans précédent de maladies cardio- vasculaires, de cancer, de diabète, d'ostéoporose, de dépression, et permettre à notre système immunitaire de retrouver ses pleines capacités.

Il existe bien des appellations pour désigner le magnésium. Parmi elles, les sels de magnésium, les ions magnésium, le magnésium élément, Mg ++ , etc.

L'ion magnésium est la seule forme de magnésium qu'utilisent les cellules de tous les organismes vivants. L'ion magnésium est un atome de magnésium qui a perdu deux électrons. On l'appelle également Mg ++ , Mg 2+ ou magnésium-élément.

Le magnésium étant très réactif, on ne le trouve qu'associé à d'autres éléments sous forme de sels. Les sels de magnésium associent des ions magnésium à d'autres ions, comme les chlorures, les sulfates, les carbonates, par exemple, pour former le chlorure de magnésium, le sulfate de magnésium ou le carbonate de magnésium.

Tous les sels de magnésium disponibles sur le marché sont supposés fournir à notre organisme des ions magnésium et alimenter ainsi nos cellules. Mais tous ne remplissent pas cette mission de la même façon.

Un sel de magnésium étant une association de deux éléments, la quantité d'ions magnésium dans ce sel dépendra donc de son pourcentage.

Le chlorure de magnésium hexahydraté (MgCI 2 , 6H 2 0) contient, en masse, 12 % d'ions magnésium. 1 g contient donc 0,12 g d'ions magnésium, soit 120 mg. Le carbonate de magnésium, lui, contient 40 % d'ions magnésium. 1 g contient donc 0,400 g d'ions magnésium, soit 400 mg. Toutefois, ce n'est pas parce qu'un sel contient beaucoup d'ions magnésium que sa biodisponibilité est bonne. C'est l'ion associé au magnésium qui détermine la biodisponibilité de l'ensemble et ses effets sur l'organisme. L'oxyde de magnésium est à ce titre un bon exemple. Malgré sa forte teneur en ions magnésium (60,3 %), sa biodisponibilité est mauvaise.

Des études ont été effectuées à propos de la biodisponibilité des sels de magnésium. Mais leur intérêt est limité. En effet, les méthodes utilisées, basées sur la capacité d'un sel à déclencher des diarrhées, ne permettent en aucune manière de mesurer sa biodisponibilité. C'est au contraire sur son action physiologique effective que la mesure de la biodisponibilité du magnésium doit être établie.

Par exemple, comparons l'action du chlorure de magnésium et du glycérophosphate de magnésium, deux sels de magnésium qui contiennent sensiblement les mêmes proportions d'ions magnésium.

La biodisponibilité du chlorure de magnésium est jugée bonne. Or, la prise orale de chlorure de magnésium en quantité suffisante permet de stopper une attaque virale ou microbienne, dès ses premiers signes, en moins de vingt minutes ou de diminuer considérablement ses conséquences. Ceci, grâce à son action immédiate sur l'activité biochimique cellulaire et par conséquent sur les performances du système immunitaire.

Concernant le glycérophosphate de magnésium, l'absorption des mêmes quantités de glycérophosphate de magnésium ne pas de stopper une attaque virale ou microbienne en moins de vingt minutes. Pourtant, leur pourcentage d'ions magnésium est quasi identique : 12,4 % et 12 %. En conclusion, la biodisponibilité du chlorure de magnésium devrait être qualifiée de très bonne, et celle du glycérophosphate de magnésium de moindre.

Afin de limiter les carences indiquées ci-dessus, l'inventeur conseille de compléter l'alimentation quotidienne avec un sel riche en micronutriments, dont le magnésium.

La plupart des compléments alimentaires disponibles aujourd'hui sur le marché ne peuvent être consommés quotidiennement sur de longues périodes, car ils contiennent des résidus de synthèse industrielle comme l'arsenic, le mercure, le plomb, l'aluminium... Ils peuvent également faire l'objet de coupages avec des produits moins chers, comme le carbonate de calcium par exemple, ou d'autres produits à l'origine d'effets indésirables ou d'allergies. Ils peuvent enfin contenir du bromure en quantité trop importante, et provoquer des effets de somnolence difficiles à gérer au quotidien. D'autres préparations pharmaceutiques très onéreuses contiennent des sels de magnésium sans aucun intérêt et d'autres à des dosages trop faibles pour permettre à vos cellules d'y trouver leur compte.

L'inventeur a donc formulé un produit de soin prenant la forme d'un complément alimentaire. Il garantit l'absence d'arsenic, de plomb, de mercure, et d'aluminium. De plus, il interdit l'adjonction de tout produit de coupage. Ce complément alimentaire composé de 99 % de chlorure de magnésium, préférentiellement hexahydraté, et de quinze autres micronutriments. Il est issu d'une mine de chlorure de magnésium. Chaque dose de un gramme contient environ 120 d'ions magnésium et chaque dose de 2,5 g contient environ 300 mg d'ions magnésium.

Le chlorure de magnésium a, comme atouts, un effet immédiat, un très large spectre d'action et la toxicité la plus faible de tous les sels. D'autre part, dans le cadre d'une consommation orale, aucun cas d'accident mortel n'a été rapporté.

La particularité du complément alimentaire objet de la présente invention, c'est qu'il peut être consommé tous les jours et toute la vie, et qu'il n'est pas nécessaire de faire de cures (afin de permettre à l'organisme d'éliminer les produits toxiques contenus dans la plupart des produits proposés aujourd'hui sur le marché).

L'inventeur a réalisé des essais pendant quatre ans sur la consommation d'une alimentation contenant plus de 50 % d'aliments vivants, accompagnée de prises quotidiennes de 7,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention, soit une consommation moyenne de 1 400 mg de magnésium par jour. Dans tous les cas, il a été constaté une augmentation du moral et de l'énergie disponible, une amélioration de la qualité du sommeil et de la récupération, une dissolution totale des calculs rénaux pour les personnes concernées par ce problème, une amélioration globale de l'état de l'organisme, et une notable amélioration de la résistance aux virus et aux bactéries. Ces essais ayant pour objectif de vérifier l'impact d'une prise importante du complément alimentaire objet de la présente invention pendant une longue période, leur intérêt s'arrête là ; il est donc inutile d'adopter ce modèle, car une consommation moins importante du complément alimentaire objet de la présente invention est tout aussi efficace en matière de maintien de la santé et d'efficience du système immunitaire.

On note que le complément alimentaire objet de la présente invention n'agit ni sur les virus, ni sur les bactéries. Le complément alimentaire objet de la présente invention est une combinaison de micronutriments indispensables à l'activité biochimique optimale de nos cellules, permettant l'expression de leurs redoutables capacités de reconnaissance et de destruction des souches virales et bactériennes, de favoriser la résistance aux attaques de toute nature, et d'assurer une prévention efficace contre les pandémies de cancer, de maladies cardio-vasculaires, de diabète, d'ostéoporose, de dépression, de burn-out, de Parkinson, d'Alzheimer, et de sclérose en plaques et d'arthrose.

Avant d'aborder l'intérêt de la mesure du pH urinaire dans le cadre du contrôle du maintien de la santé, revenons tout d'abord sur sa définition. Le pH (potentiel Hydrogène) mesure l'activité des ions hydrogène (H+) dans un liquide.

Quand une molécule d'eau H 2 0 gagne un ion hydrogène H+ elle devient un ion Oxonium H 3 0+. Pour simplifier, nous l'appellerons H+. Quand une molécule d'eau H 2 0 perd un ion hydrogène H+ elle devient un ion Hydroxyde HO-. Pour simplifier, nous l'appellerons H-.

Comme nous l'avons vu au début de cet ouvrage, notre santé est liée à la qualité de l'activité biochimique cellulaire de notre organisme. Mais pour que celle-ci soit optimale, un élément est rigoureusement essentiel : l'eau.

Dans notre corps, l'eau a de multiples fonctions. Elle sert, entre autres, de solvant, de cofacteur, et assure le transport des nutriments. L'eau participe aux milliards de réactions biochimiques se déroulant quotidiennement dans notre corps. Enfin, l'eau assure l'évacuation des déchets liés à toutes ces réactions, sous forme d'urine.

Les ions H+ étant essentiellement des produits de l'activité biochimique cellulaire, leur concentration dans les urines permet d'établir un bilan de cette activité biochimique. Le pH urinaire peut donc être considéré comme un marqueur de la qualité globale de l'activité biochimique cellulaire d'un organisme humain.

En 2012, l'inventeur a fait effectuer en France des relevés de pH urinaires, sur des sujets bien portants des deux sexes, âgés de dix-huit à vingt-six ans. Ces relevés ont donné les résultats suivant : un pH urinaire moyen de 5,76, soit des urines particulièrement acides.

Ces relevés ont également été faits en Grèce en 2013 (pH urinaire moyen : 5,78), et au Japon (pH urinaire moyen : 5,73). Ces trois campagnes de relevés de pH urinaire confirment le niveau de pH dans les pays ou l'espérance de vie est importante, mais qu'en est-il des pays où l'espérance de vie est la plus faible au monde ?

L'inventeur a fait effectuer des relevés de pH urinaire en Côte d'Ivoire, où l'espérance de vie de la population est de 54 ans. 258 personnes du village de Moapé, au nord d'Abidjan ont participé à cette première campagne en mai 2013, et les résultats parlent d'eux même :

Un intervalle de valeurs entourant le pH moyen dans les pays où l'espérance de vie est importante (pH urinaire compris entre 5 et 6,2) est ici largement dépassé. L'espérance de vie très limitée des populations ivoiriennes est donc clairement liée à un déficit biochimique cellulaire, parfaitement identifié par les résultats des relevés de pH urinaire réalisés.

Ces résultats saisissants permettent de mieux comprendre le rôle du pH urinaire dans le contrôle de l'activité biochimique cellulaire. Un pH urinaire compris entre 5 et 6,2 doit donc être considéré comme le résultat d'une activité biochimique cellulaire optimale et comme une constante de la santé humaine.

La prévention des maladies cardio-vasculaires, du cancer, du diabète, de l'ostéoporose et de la dépression est intimement liée à la capacité de nos cellules à maintenir notre santé. Le maintien d'un pH urinaire compris entre 5 et 6,2 constitue donc un moyen de prévention efficace contre ces maladies, celles liées aux déficiences de notre système immunitaire ainsi que celles liées aux déficiences du métabolisme. La qualité de l'activité biologique de notre corps est donc mesurable grâce au pH urinaire, et l'intervalle cité ci-dessus permet de déterminer la qualité de cette activité biologique.

Grâce à cet intervalle, chacun peut mesurer la qualité de son activité biochimique cellulaire ; il suffit pour cela d'acquérir un pH-mètre électronique, de mesurer le pH de ses urines, et de les comparer aux valeurs de l'intervalle.

Plus la valeur du pH urinaire s'éloigne de 6,2 et se rapproche de 8,2 et plus notre organisme a de difficultés à assurer l'ensemble des réactions biochimiques nécessaires au maintien de notre santé.

Cette méthode simple, rapide et peu coûteuse, accessible à l'ensemble de la population humaine, est une première étape dans la recherche de solutions globales pour mesurer la santé en temps réel.

Elle permettra à des millions de familles de ne pas vivre l'expérience de la maladie, de l'invalidité, de la déchéance physique et intellectuelle et du décès avant l'heure. Grâce à elle, les États feront de considérables économies sur leur budget santé. Les sociétés, quant à elles, réaliseront des gains de productivité conséquents. Ceci, grâce au recul de l'absentéisme et à l'augmentation des niveaux de motivation, liés à un état de santé amélioré sur le long terme.

Le contrôle du pH urinaire est donc un outil incontournable du suivi de la santé au quotidien.

Le complément alimentaire objet de la présente invention permet d'améliorer le pH.

L'action du chlorure de magnésium sur l'activité biochimique cellulaire est rapide, de l'ordre d'une quinzaine de minutes, et mesurable grâce à la baisse du pH urinaire, ou à la diminution ou disparition des symptômes liés à une attaque virale ou bactérienne.

De tous les sels de magnésium, le chlorure de magnésium est celui qui présente le meilleur ratio efficacité/innocuité. Son champ d'action est très large. Microbiote, système nerveux, système immunitaire... Il restaure les équilibres et notamment l'équilibre acido- basique. Il assure la dissolution des calculs rénaux, régule les troubles de la prostate... et protège les cellules.

Immunostimulant de premier ordre, offrant une action globale sur la santé, le chlorure de magnésium dispose d'atouts majeurs. Grâce à son efficacité sur le système immunitaire et sur l'activité biochimique cellulaire, le chlorure de magnésium agit sur de nombreuses pathologies. En tête, de nombreuses maladies respiratoires : amygdalites, angines, bronchites, grippes, otites, sinusites, pharyngites. De même, des maladies infantiles comme la coqueluche, les oreillons, la rougeole, la rubéole, la scarlatine, la varicelle. Citons également : le chikungunya, les gastro-entérites ou la fièvre puerpérale. Le chlorure de magnésium est également actif sur l'herpès, l'hypertension, la mammite chronique, la poliomyélite, le rhume des foins, les allergies, le tétanos, la dépression, les calculs ou les troubles de la prostate. Son action est également bénéfique sur des pathologies du quotidien telles que la constipation, les courbatures, les crampes, les contractures, les troubles digestifs ou du sommeil...

Le chlorure de magnésium renforce notre immunité. Il permet, moins de trente minutes après son administration in vivo - et non dans des tubes à essais -, d'augmenter jusqu'à 330 % la phagocytose des globules blancs. Ces chiffres sont considérables en matière immunologique.

Ainsi, quand il est administré dès les premiers symptômes en quantité suffisante, le chlorure de magnésium est capable de freiner ou stopper la grippe, la coqueluche, la poliomyélite, le tétanos, le chikungunya, la bronchite... Rappelons qu'aujourd'hui aucun antiviral n'offre une telle protection contre la grippe, pas même le Tamiflu ou le Relenza (marques déposées).

Le chlorure de magnésium n'a, en lui-même, aucune action sur la grippe ou sur toute autre infection. Il offre simplement à nos cellules, et sous une forme très assimilable, les ions magnésium dont elles ont impérativement besoin pour assurer une activité biochimique cellulaire optimale, « technologie cellulaire » la plus avancée et la plus efficace disponible en matière d'identification et de destruction des souches virales et microbiennes par le système immunitaire.

L'un des principaux avantages de cette « technologie cellulaire » est de ne générer aucune résistance virale ou microbienne. Un atout supplémentaire, à l'heure où les problèmes de résistance aux antibiotiques inquiètent les plus hautes autorités médicales.

Les vertus du chlorure de magnésium sont donc clairement établies, pour la prévention comme pour le traitement de nombre de pathologies, mais également dans la lutte contre le développement mondial de l'antibio-résistance.

Carences en vitamines, intoxications, infections, cancérisation, allergies, infertilité... Les organismes magnésiés aux sels halogénés de magnésium résistent mieux que ceux qui ne le sont pas. Une résistance accrue, constatée chez l'homme, chez l'animal ainsi que chez les végétaux.

Parmi les consommateurs de sels halogénés de magnésium, un grand nombre de ceux qui sont atteints d'affections récidivantes - rhumes, angines, entérites, congestions hépatiques, cholécystites, cystites, herpès, mycoses... - les voient s'espacer ou disparaître. Ceux qui sont régulièrement touchés par des affections saisonnières - grippe, coryza, allergie - n'y sont plus sensibles, ou beaucoup moins.

Le chlorure de magnésium possède des propriétés exceptionnelles sur l'activité biochimique de nos cellules, et par conséquent sur notre système immunitaire. Si bien que ses quelques désagréments (légère amertume, effet laxatif les premiers temps) seront vite pardonnés et oubliés. Protéger en un simple geste, l'ensemble de son organisme et profiter d'une espérance de vie maximale en bonne santé est en soi une véritable motivation qui permet de passer ce cap avec facilité.

L'hémophilie constitue à ce jour la seule contre-indication justifiée à l'utilisation du chlorure de magnésium, dont l'action fluidifie le sang. Cette particularité, qui lui confère certaines propriétés en matière de santé, constitue jusqu'à preuve du contraire, un obstacle à son utilisation.

La consommation du complément alimentaire objet de la présente invention est préférentiellement intégrée à un environnement alimentaire contenant au moins 30 % d'aliments vivants, des aliments riches en micronutriments et en enzymes digestives, qui économisent nos ressources biologiques. Le choix des aliments bio est conseillé quand cela est possible, car leur valeur en micronutriments est statistiquement plus importante que celle des aliments issus de l'agriculture industrielle. L'interdiction des pesticides et des produits ionisés dans cette filière permet également une économie considérable de nos ressources biologiques.

En cas d'attaque virale ou bactérienne de grande ampleur, le premier réflexe consiste à stopper l'attaque. Une tâche tout à fait à la portée de notre formidable arsenal biologique et des 3,5 milliards d'années d'expérience cellulaire en matière de guerre virale et bactérienne.

Mais, pour que cette force de frappe soit opérationnelle, nos cellules doivent disposer de ressources en magnésium, biodisponibles immédiatement, et en grandes quantités. Dans ce cas, le complément alimentaire objet de la présente invention répond à ce besoin.

La méthode consiste, ici, à prendre une dose de 2,5 g. dans 10 cl d'eau. Ici, le volume d'eau a son importance : il est préférable de le respecter. Mais ne vous inquiétez pas s'il ne correspond pas au centilitre près, l'efficacité reste inchangée.

On peut, avec cette méthode, stopper ou considérablement diminuer les conséquences d'une grippe ou d'une gastro-entérite prise à son début. De même qu'une allergie, une angine, une bronchite, une otite, une pharyngite, ou le rhume des foins, la coqueluche, les oreillons, la rougeole, la rubéole, la scarlatine, la varicelle, la sinusite, le chikungunya, la grippe aviaire...

Une méthode simple en cas d'attaque : la méthode « 3 fois 1/3/6 », c'est-à-dire trois fois à une heure d'intervalle, trois fois à trois heures d'intervalle, trois fois à six heures d'intervalle.

Description :

- Phase 1 : une dose de 2,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention dans 10 cl d'eau toutes les heures, 3 fois. - Phase 2 : une dose de 2,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention dans 10 cl d'eau toutes les 3 heures, 3 fois.

- Phase 3 : une dose de 2,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention dans 10 cl d'eau toutes les 6 heures, 3 fois.

- Si les symptômes ont disparu, au cours d'une des phases, prendre une dose de 2,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention dans 10 cl d'eau 3 fois par jour pendant deux à trois jours.

- Si les symptômes n'ont pas disparu, au cours d'une des trois phases, prendre une dose de 2,5 g de complément alimentaire objet de la présente invention dans 10 cl d'eau 3 fois par jour jusqu'au terme de la maladie.

En optant pour cette méthode dès les premiers signes d'une attaque virale ou microbienne (nez qui coule, fatigue, maux de gorge, douleurs intestinales...), vous augmenterez vos chances de la stopper net durant l'une de ces trois premières phases. En cas d'intervention trop tardive, vous transformerez cette attaque virale ou microbienne en une pathologie confortable.

Plus généralement, l'inventeur recommande, pour prévenir des effets de la grippe :

trois prises de chlorure de Magnésium à des premiers intervalles de temps réguliers,

trois prises de chlorure de Magnésium à des deuxièmes intervalles de temps supérieurs aux premiers intervalles de temps et

trois prises de chlorure de Magnésium à des troisièmes intervalles de temps supérieurs aux deuxièmes intervalles de temps.

Bien évidemment, une prise quotidienne et régulière de complément alimentaire objet de la présente invention augmente les chances de ne rien attraper du tout.

Parallèlement, notre système intestinal doit pouvoir extraire ces micronutriments des aliments, et le magnésium contenu dans le complément alimentaire objet de la présente invention améliore le fonctionnement de notre microbiote, qui améliore le fonctionnement de nos intestins, qui améliore l'extraction intestinale des micronutriments contenus dans les aliments vivants.

Enfin, plus nous vieillissons et moins nous produisons d'enzymes digestives. C'est pourquoi les enzymes digestives contenues dans les aliments ont une importance croissante. Les aliments vivants répondent également à cette problématique.

Comme nous l'avons vu, le complément alimentaire objet de la présente invention rétablit l'équilibre acido-basique de l'appareil digestif, et permet au microbiote d'être un écosystème équilibré. En favorisant les processus de fermentation, il protège notre organisme. De plus, simultanément, le complément alimentaire objet de la présente invention limite les processus de putréfaction, processus à l'origine de nombreuses pathologies et désordres intestinaux...

La prise quotidienne de complément alimentaire objet de la présente invention permet aux cellules nerveuses de se mettre en veille. Le résultat est en général très efficace. Les personnes retrouvent rapidement un sommeil de qualité, particulièrement réparateur.

Le tableau 1 ci-dessous montre des résultats obtenus sur une population de patients atteints du diabète. On constate que, en trois mois de consommation quotidienne du complément alimentaire objet de la présente invention, la glycémie veineuse est, en moyenne, réduite de plus de moitié.

Glycémie veineuse en mars Glycémie veineuse

Le tableau 2 ci-dessous montre des résultats obtenus sur une population de patients atteints d'hypertension artérielle. L'intervalle de temps entre deux relevés de tensions artérielles est de trois semaines. On constate que, en neuf semaines de consommation quotidienne du complément alimentaire objet de la présente invention, les tensions sont, en moyenne, réduite de plus 20 %.

Tension Tension Tension Tension

1 2 3 4

Concernant l'Herpès, deux patientes ont été traitées, Pour la première, avant janvier 2013, début du traitement (5 grammes par jour, en deux prises), elle déclarait deux poussées labiales par mois avec vésicules. Deux ans après le début du traitement, uniquement quatre séquences sans vésicules ont été constatées. Les symptômes se sont limités à un petit bouton rouge qui démange puis disparaît sans formation de vésicules

Pour la deuxième, avant mars 2013, début du traitement (2,5 grammes par jour), elle déclarait deux à trois poussées labiales par mois avec vésicules. Deux ans après le début du traitement, seulement huit poussées avec vésicules ont été constatées. Concernant le fibrome, deux patientes ont été traitées. Pour la première, le traitement a été de trois prises par jour de 2,5 grammes. Le fibrome, initialement gros comme le poing, selon le médecin, a été expulsé lors d'une miction après deux mois de traitement. Pour la deuxième, après deux mois du même traitement, le fibrome est asséché et l'ablation chirurgicale qui avait été programmée est annulée.

Concernant le paludisme, un jeune patient de 7 ans, souffrant de trois crises de paludisme par mois était déscolarisé. Dès le début du traitement (deux prises quotidiennes de 2,5 grammes) la fréquence des crises de paludisme ont diminué. En deux ans de traitement, seulement dix crises ont été constatées.

Concernant les calculs rénaux, un patient de 61 ans a été traité. Fraîchement opéré du rein droit pour des calculs rénaux et en attente de son opération du rein gauche, le patient a consommé 2,5 grammes du complément alimentaire objet de la présente invention pendant sept jours. Pris d'une violente fièvre, il décide de voir son chirurgien en urgence. Ce dernier, après examen, lui annonce que l'opération du rein gauche n'est plus nécessaire, les calculs qu'il se proposait d'opérer étant descendus.

Concernant les hémorroïdes, un patient souffrant de crises hémorroïdaires fréquentes et particulièrement douloureuses a vu le problème disparaître dès la première semaine de traitement (deux prises quotidiennes de 2,5 grammes).

Concernant une opération chirurgicale, avec allogreffe et réimplantation d'humérus, radius et cubitus, les chirurgiens ont constaté une excellente cicatrisation avec un traitement de quatre prises quotidiennes de 2,5 grammes. Un des membres de l'équipe du Pr. Coulet a déclaré que le patient est une des seules personnes sur laquelle cette intervention a été couronnée d'un plein succès.

Concernant un problème important de peau grasse, avec sécrétion excessive de sébum, peau grasse, après trois semaines de traitement (deux prises de 2,5 grammes quotidiennes), il y a eu normalisation de la séborrhée et obtention d'une peau qualifié de normale

On donne, ci-dessous, d'autres exemples de bienfaits constatés médicalement de la consommation quotidienne du complément alimentaire objet de la présente invention :

2,5 à 5 g. par jour permet de supprimer les odeurs d'urée SUEUR liées à la décomposition de la sueur

2,5 à 5 g. par jour pour diminuer ou supprimer les remontées gastrooesophagiennes accompagné d'une augmenta-

REMONTEES tion de la ration d'aliments cru, fruits, légumes, viandes,

GASTROOESOPHAGIENNES poisson. 2,5 g./jour permet de supprimer la mauvaise haleine au bout

HALEINE de quelques jours.

2,5 g. à renouveler toutes les heures pendant 3 ou 4 heures suivant les besoins. Lors d'une sensation désagréable au niveau de l'abdomen une prise de 2,5 gr de chlorure de magnésium permet 15 minutes après son absorption dans 10cl d'eau de stopper ou de diminuer considérablement cette

MAL AU VENTRE sensation.

2,5 g. à renouveler toutes les heures pendant 3 heures, puis toutes les 3 heures pendant 9 heures permet généralement

GASTROENTERITE de stopper une gastroentérite.

2,5 g. avant de dormir permet de faciliter l'endormissement

SOMMEIL et favorise la récupération.

Neuf autres résultats de traitement documentés par des médecins sont détaillés ci- dessous. Tous les traitements indiqués sont de trois fois 2,5 grammes par jour du complémentaire alimentaire objet de la présente invention.

1 ) Initiales « AA », âge 44 ans, sexe F, Pathologie Gynéco (dystrophie ovarienne d'aspect micro folliculaire à droite et macro kystique à gauche) plus dysménorrhée plus leucorrhées abondantes.

Durée de traitement : 11 Mois

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Utérus normal, ovaires normaux d'après l'écographie

Régularité des ménorrhées, disparition des douleurs pelviennes - Absence de leucorrhée

2) Initiales « AS », âge 31 ans, sexe F, Pathologie Utérus poly fibromateux, et kyste andométriozique des deux ovaires. Dysménorrhée. Leucorrhée. Douleur Pelvienne.

Durée de traitement : 5 Mois

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Echographie du 14 Juillet 2015 :

utérus fibromateux ; Kyste andométriozique de l'ovaire gauche. Ovaire droit normal ce jour.

Absence de leucorrhée.

3) Initiales « YYL », âge 63 ans, sexe M. Pathologie : Calcul biliaire et dorsalgie.

Durée du traitement 4 Mois Commentaires à la fin de la durée de traitement : Disparition des calculs biliaires d'après le dernier scanner en date du 8 Juillet 2015.

4) Initiales « NCB », âge 28 ans, sexe F. Pathologie : Femme gestante de 26 semaines d'aménorrhée avec menace d'avortement (grossesse à risque).

Durée de traitement 2 Mois

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Bon pronostic avec accouchement par voie base à 37 semaines avec des données biochimique et biologique assez bon pour la maman et le bébé.

5) Initiales « GGG », âge 55 ans, sexe M. Pathologie : Hypertendu et diabétique confirmé sous insuline et tensionorme depuis 5 Ans avec des glycémies fluctuant de 2.80 à

3.20 G/L et des tensions Ocsian de 18/11 à 19/10 ou 20/11 (d'après dossier médicale).

Durée du traitement 6 Mois.

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Glycémie en baisse très significative (1 .06 g/L) avec la tension variant de 13/10 à 14/11 . Ce patient qui a été sous traitement à l'insuline depuis 5 Ans a été mis d'abord à la foi sous [te complément alimentaire objet de la présente invention] et ces traitements habituels pendant 3 Mois, et depuis 3 Mois il est uniquement sous [te complément alimentaire objet de la présente invention]. Il présente un état général assez bon et est encore suivi à l'institut.

6) Initiales « KL », âge 67 ans, sexe M. Pathologie : Diabétique et hypertendu confirmé avec dossier médicale complet (Glycémie 3.20 à 5.6 sous insuline depuis 10 Ans).

Durée de traitement 5 Mois.

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Glycémie en forte baisse (1 .13 et 1 .10 g/l au dernier contrôle) tension 13/11 . Etat général assez bon. Continu sous traitement à l'insuline avec une supplémentation à [te complément alimentaire objet de la présente invention].

7) Initiales « AE », âge 42 ans, sexe F. Pathologie : Dysménorrhée, leucorrhée et diabétique avec (1 .87 g/l ).

Durée de traitement 3 Mois.

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Les ménorrhées sont normalisées, glycémie 1 .03 au dernier contrôle. En attente des résultats des derniers examens biologique, biochimique et échographique.

8) Initiales « AF », âge 5 ans, sexe F. Pathologie Diabétique, dernière glycémie 1 .37 amaigrissement.

Durée de traitement 2 Mois.

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Glycémie = 1 .06, PHA=6.22. Etat général assez bon, suivie à l'institut. 9) Initiales « GN », âge 33 ans, sexe M. Pathologie : Amaigrissement, asthénie chronique, dépister diabétique à l'institut, glycémie = 3.15 G/l. Poids : 65 KG pour 1 M78.

Durée de traitement : 2 Mois.

Commentaires à la fin de la durée de traitement : Glycémie 0.96 L. Poids: 76.5 KG. PHU : 5.9. Disparition de l'asthénie au vu des données et des résultats d'examens biologique et biochimique, on note une évolution positive très significative chez ce patient. Un dossier médical est ouvert pour son suivi à l'institut.

Par ailleurs, l'inventeur a découvert que, en mélangeant, pour réaliser un produit de soin objet de la présente invention :

- du chlorure de magnésium et

- du glycérophosphate de magnésium,

on obtient différentes formes plus facilement utilisables et/ou assimilables d'ions magnésium.

En particulier, un gel est obtenu lorsque la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Ce gel présente des propriétés intéressantes lorsque la quantité, en masse, de glycérophosphate de magnésium est supérieure à cinq fois la quantité, en masse, de chlorure de magnésium.

Préférentiellement, la proportion, en masse, du chlorure de magnésium, du glycérophosphate de magnésium et d'eau est supérieure à 95 %. Par exemple, 2, 5 grammes de chlorure de magnésium hexahydraté et 2,5 grammes de glycérophosphate de magnésium sont mélangés dans 35 grammes d'eau. Le composé ainsi obtenu peut être nommé glycero-chlorophosphate de magnésium.

Dans des applications où il est ingéré, par exemple sous forme de complément alimentaire, ce produit comporte préférentiellement un agent de saveur, ou arôme. Préférentiellement, l'agent de saveur donne une saveur sucrée au complément alimentaire. Le complément alimentaire peut ainsi ressembler à une confiture ou un yaourt.

Lorsque l'on laisse sécher ce gel, par exemple dans un moule, on obtient un solide qui peut servir de bonbon. Le gel peut aussi être intégré dans un shampoing, un savon, une crème pour la peau ou un dentifrice.